TOCs, Troubles Obsessionnels Compulsifs – Dr Belmère Rabat

Troubles Obsessionnels Compulsifs

Les troubles obsessionnels compulsifs ou TOCs

Les TOCs sont des troubles de l’anxiété. Ils apparaissent dans la grande adolescence et s’amplifient dans l’âge adulte. Les patients vivent une souffrance souvent intolérable qui est liée à une rigidité mentale et comportementale. Souffrance telle que les patients sombrent dans une dépression profonde.

La thérapie des TOCs n’est pas simple

La psychanalyse est inopérante

Les thérapies comportementales et cognitives rendent des services mais sont incapables à elles seules de produire des résultats durables

Le recours à la pharmacopée, antidépresseurs inhibiteurs de la recapture de la sérotonine est loin d’être la médication « miracle » annoncée.

Mais la problématique de ces TOCs est très complexe et figure parmi les thérapies les plus complexes et les plus ardues à mettre en place pour obtenir un résultat durable, pertinent et qui soulage réellement le patient.

Il convient d’aborder la thérapie des Troubles Obsessionnels Compulsifs de manière holistique et plurielle, mais centralisée sur l’hypnothérapie qui demeure une méthode royale, mais qui implique une véritable expérience confortée par des connaissances médicales, neurologiques, psychologiques et physiologiques.

Le TOC est une véritable usine à Gaz

Dont le point de départ est une cause profonde, ancienne, probablement née avant que le cerveau n’ait atteint sa maturité et qui qui crée le terreau d’un isolement progressif.

Cet isolement consenti et structuré a pour but d’éviter toute confrontation, toute agressivité vis à vis d’autrui. Car le patient veut absolument protéger de toute agressivité ses proches et son environnement socio-professionnel.

Cette énergie produite et dépensée dans ce but crée une ou des routines pour pérenniser ce pacte de « non-agression » que le patient est obligé, en permanence, de vérifier.

Mais la réalisation se structure  à partir d’une difficulté réelle ou imaginée. Et le patient essaie de « protéger » du risque évoqué par sa pensée intrusive, ne cessant de tourner en boucle, un rituel.

Ce rituel est tel, que la focalisation du patient le pousse à entrer dans une sorte d’hypnose négative, où absent de ses vérifications, il s’oblige à les contrôler, et les re-contrôler sans fin, car il a été, en quelque sorte, absent de sa vérification précédente. L’obsessionnel est dissocié.

Et l’hypnose est une thérapie essentielle et paradoxale dans l’arsenal thérapeutique, car elle se propose de ré-associer le patient dissocié d’une manière chronique.

Car le patient utilise des artifices pour tenter de se prémunir de ce cercle infernal : Sur-cogiter, Ritualiser, Éviter, Rigidifier.

Ainsi l’obsessionnel est un « énervé » permanent cherchant à contrôler tous ses actes et toutes ses pensées, à emprisonner tous ses fonctionnements.

L’hypnothérapie des Troubles Obsessionnels et Compulsifs vise à

      • Libérer les pensées, les comportements produites par son isolation et obtenir un recul de ses symptômes. 
      • Il reconstruit son agressivité d’une manière positive et socialisée
      • Il retrouve sa liberté, sa spontanéité et il renoue avec les plaisirs, les passions qui sont à l’opposé de l’obsession

Il s’agit donc de dénouer les cercles vicieux qui amplifient les symptômes.

L’hypnothérapie des TOCs prend du temps au moins 12 à 20 séances avec une consultation tous les 15 jours, après une phase démarrage d’au moins de trois séances successives sur deux trois semaines.

Dans le cas de troubles psychiatriques associés (bi-polaires, dépressifs, schizophrènes) la thérapie peut se dérouler sur de longs mois.

La nosographie comprend : Obsessions, Compulsions, Évitements

Parfaitement définis par la nomenclature du DSM IV

Mais dans tous les cas le patient craint de faire mal ou de faire du mal.

Ainsi, l’agressivité bloque et isole, les idées obsessionnelles basées sur la peur d’être responsable de malheur, les rituels compulsifs se veulent être un « traitement » magique des idées de malheurs, et les évitements activent les rituels.

Témoignage première séance Dr Belmère – Rabat Maroc

Témoignage de Nassiba

Bonjour Docteur;

J’espère que vous allez bien.

Je souhaite vous faire un retour sur mes sensations post séance comme convenu.

C’est magique ce que j’ai ressenti!! une relaxation intense, un calme très agréable et une légèreté incomparable. En revenant à la maison, mon mari a remarqué que j’avais bonne mine et que j’étais zen! et moi aussi je ressentais cette zénitude au fond de moi. Vers 20h j’ai ressenti comme une somnolence et une grande fatigue et une fois au lit j’ai très bien dormi!

Ce matin aussi je ressens encore cette agréable sensation de relaxation et de repos. Même si j’ai des urgences à gérer j’arrive à le faire sans stress et tous les sentiments qui vont avec.
D’habitude quand j’ai des urgences au travail je ressens un malaise accompagné par une accélération du rythme cardiaque et des maux de tête et je me sens épuisée à la fin de journée. Là il est 14:15 et je ressens encore un bien être agréable.

Je vous remercie du fond du cœur et j’ai hâte de continuer cette belle aventure avec vous! j’aspire du fond du cœur à être libérée de tout mon mal être vers la fin de mes séances !  

Hypnothérapie ou thérapie par l’hypnose – Rabat Maroc

HYPNOSE subconscient & inconscient

Qu’est-ce que l’hypnothérapie  ou thérapie par l’hypnose

La plupart des patients qui viennent consulter ont une idée très vague de l’hypnose et à fortiori de l’hypnose thérapeutique médicale.

Leur esprit s’est laissé influencé par les films, les séries et les émissions de divertissement où sont présentés une forme particulière, l’hypnose de spectacle !

L’hypnose est un mot inventé par un chirurgien écossais (James BRAID) qui voulait faire référence au sommeil en la baptisant du nom du dieu grec du sommeil « Hypnos ». 

C’est manqué car l’hypnose n’est ni du sommeil, ni de l’éveil !

L’hypnose c’est un no man’s land de l’esprit

qui se situe entre l’éveil et le sommeil et que nous pratiquons TOUS LES JOURS plusieurs fois par jour sans même nous en rendre compte.

L’objectif physiologique du vivant en se mettant en « hypnose » est de mettre toutes les fonctions vitales en mode équilibre. Ce que Claude Bernard a nommé l’homéostasie.

Ce mode « homéostasie » de l’esprit permet tout simplement de vivre, de survivre à toutes les agressions, à tous les stress que la vie nous réserve.

Mais ce mode hypnotique de l’esprit n’est pas un mode conscient 

Le conscient s’oriente en fonction de quatre types fonctionnels (Carl Gustav JUNG) :

        • La sensation révèle ce qui existe
        • La pensée révèle ce qui est 
        • Le sentiment ajoute une note « agréable ou pas »
        • L’intuition révèle d’où et vers quoi 

L’inconscient est quelque chose de beaucoup plus archaïque et qui nous vient de l’origine de la vie. 

Le subconscient est la puissance intérieure

Et le subconscient, cette prodigieuse force, à laquelle l’hypnose nous permet d’accéder, est aux confins de la conscience et de l’inconscient. Le subconscient est LA transition entre l’esprit conscient et les mécanismes automatiques qui concourent à la vie…

Subconscient la Puissance Intérieure

Le subconscient a la particularité de pouvoir accéder à l’ensemble de notre mémoire et donc de trouver toutes les solutions dont nous avons besoin pour vivre en harmonie avec nous-même, avec notre environnement social, culturel et nos écosystèmes.

En réalité le subconscient est une « boite noire« qui contient toutes les informations. Les vôtres, les nôtres… Mais celles de tous ceux qui vous ont précédé.  Car le subconscient a accès à votre mémoire.

On pense communément que la mémoire est contenue dans le cerveau. Le cerveau est un organe intégrateur. Lorsqu’il a besoin d’une information pour traiter un problème il missionne le subconscient d’aller lui dégotter. 

Car le subconscient connait toutes les adresses de toutes les mémoires. Et la mémoire est contenue partout dans votre corps au fond de chaque cellule ou plus exactement au centre de chaque cellule, dans son noyau. Et dans le noyau, dans la mémoire brute, dans l’ADN, Acide DésoxyriboNucléique.

L’ADN est connu pour les « fameux » caractères héréditaires. Mais il s’agit d’une toute partie(moins de 10%) de l’ADN, l’ADN codant. Tout le reste constitue l’épigénétique (à coté de la génétique) qui correspond à plus de 90% de la molécule, il s’agit de l’ADN non codant où sont stockées toutes les informations.

Cette mémoire comprend toute la mémoire de l’humanité, toute la mémoire de la saga de votre famille maternelle ou paternelle et bien sûr toute votre mémoire acquise. Mémoire acquise qui elle se développe dans les premières semaines de vie intra-utérine et va croire dès votre atterrissage dans ce monde. Influencée par votre entourage immédiat, puis de proche en proche au fur et à mesure que votre cercle relationnel s’élargit. Cette mémoire est influencée par votre éducation, votre culture et les croyances de ceux qui vous entourent.

Et vous allez vous développer dans un tunnel, aux parois renforcées, et vous développer avec les informations que l’on vous bourre dans le crâne… 

Ce lavage de cerveau éducationnel, culturel et des croyances font ce que vous êtes CONSCIEMMENT. Mais se heurte à ce que vous êtes au fond de vous. Se heurte à votre inconscient. Se heurte à ce que vous êtes originellement. Et cette confrontation est à l’origine de tous vos maux.

Et bien l’hypnose thérapeutique médicale c’est le moyen d’accéder

à ce moi profond, à ce moi intérieur, à ce qui est de plus profond et de plus original et originel en vous, et à tous les mécanismes automatiques qui régissent votre vie.

Accès au subconscient

L’hypnose c’est le moyen magique de faire des miracles en Nous…

En exploitant la puissance de notre subconscient, car nos images mentales et la manière de penser façonnent fatalement votre vie.

Et il faut prendre conscience que l’énergie créatrice qui est à notre origine, à nos sources, qui fait fonctionner tous nos systèmes harmonieusement, est capable de tout guérir, en contrôlant TOUT, grâce à l’hypnose.

Ce qu’il faut savoir : le subconscient répond à l’image mentale, c’est-à-dire à la pensée qui est entretenue dans l’esprit

Le subconscient est une puissance de transformation exceptionnelle

Qui peut guérir les blessures mentales,  les blessures physiques et qui délivre de toute limitation. Et l’hypnose en est la clé. Car toute bonne thérapie par l’hypnose doit conduire le patient à utiliser SEUL cet outil merveilleux. SEUL. Dans ce qu’on appelle l’autohypnose enseignée au cours de séances d’hypnose bien conduites par un praticien expérimenté et maitrisant à la fois la neurophysiologie et la pathologie médicale celle-ci englobant la psychopathologie et la psychologie.

On reste sans voix quand on voit sur le net, sur les réseaux sociaux des formations, des formateurs qui délivrent des « certificats » en quelques semaines alors que les mécanismes qui sous-tendent l’hypnose thérapeutique doivent s’appuyer sur une connaissance que toute une vie ne suffit pas à maitriser.

D’ailleurs tous les grands hypnothérapeutes auquel chacun fait référence sont des médecins, des psychiatres, des psychologues avec des bases solides acquises au cours de longues études et constamment remises à jour en formations continues, en colloques, en congrès en échanges scientifiques, etc…

 

 

Docteur Jean-Victor Belmère – COTEHY – Rabat Maroc

Les troubles anxieux et l’hypnose – Rabat Maroc

Les troubles anxieux et l'hypnose

L’anxiété est un état psychophysiologique

caractérisé par

      • une agitation,
      • des préoccupations,
      • de la peur ou de l’angoisse,
      • de durée et d’intensité variables,
      • liée à un stimulus interne ou externe, qui n’est pas toujours facilement identifiable.
      • Entre certaines limites, l’anxiété doit être considérée comme une émotion adaptative, car indispensable à la survie.

Cependant, si elle se présente de manière chronique et excessive, jusqu’à modifier la vie d’une personne à divers degrés, un diagnostic de trouble anxieux peut être posé, caractérisé par une « anxiété pathologique ».

L’anxiété pathologique peut se manifester en relation avec des moments de fort stress exclusivement ou bien être présente de manière plutôt stable, c’est-à-dire prendre la forme d’un trait caractéristique de la personnalité.

Il existe évidemment des conditions intermédiaires, dans lesquelles l’individu fait l’expérience d’anxiété pathologique exclusivement durant certaines périodes de sa vie.

Les principaux troubles anxieux sont :

      • trouble d’anxiété de séparation,
      • mutisme sélectif,
      • phobie spécifique,
      • trouble d’anxiété sociale,
      • trouble panique,
      • agoraphobie,
      • trouble d’anxiété généralisée.

Trouble d’anxiété de séparation :

correspond à de la peur ou de l’anxiété excessive et inappropriée par rapport au stade du développement, concernant la séparation avec des personnes auxquelles l’individu est lié.

Mutisme sélectif :

il s’agit d’une difficulté continue à parler dans des situations sociales spécifiques où l’on s’attend à ce que le sujet parle (par exemple à l’école), bien qu’il soit à même de parler dans d’autres situations. Cette condition affecte les résultats scolaires, professionnels ou la communication sociale.

Phobie spécifique :

il s’agit d’une peur intense et irrationnelle face à un ou plusieurs objets ou bien face à des situations bien déterminées ; le symptôme principal de ce trouble est la très forte tendance à éviter l’objet qui fait peur. La personne phobique ne peut pas se soustraire volontairement à sa peur, tout en ayant une assez bonne conscience du fait que son intense émotion est irrationnelle et peut affecter l’adaptation optimale à son milieu de vie.

Trouble d’anxiété sociale :

c’est la peur, souvent intense et envahissante, de se trouver dans une situation sociale donnée ou à avoir une prestation inhabituelle qui entraîne, en quelque sorte, le jugement de la part d’autres personnes ; le contact avec les autres est caractérisé par la peur d’être mal jugé et de se comporter de manière gênante et humiliante.

Trouble panique :

il s’agit de la répétition chronique d’attaques de malaise et peur très intenses (attaques de paniques provoquant tremblements, vertiges, douleurs à la poitrine, difficultés dans la respiration, sensation de mourir et d’autres symptômes moins fréquents ; la durée est d’habitude – mais pas toujours – brève, de l’ordre de quelques minutes). L’individu a peur que l’attaque se représente et/ou de ses conséquences et tend à modifier son style de vie à cause de ces possibilités.

Agoraphobie :

il s’agit de la peur ou de l’anxiété importante qui se manifestent pendant l’utilisation de moyens de transport public, dans les espaces ouverts, pendant les queues ou dans la foule ou encore en étant tout seul en dehors de chez soi. Le trouble implique que la personne, en ayant peur, tende à éviter ces situations. Elle considère qu’il serait difficile ou gênant de sortir, car elle craint de ne pas être secourue en cas de besoin.

Trouble d’anxiété généralisée :

il s’agit d’un trouble chronique commun, caractérisé par un état d’anxiété durable et fluctuant, qui n’est pas justifié ni par un objet ni par une situation particulière. La personne souffrant de ce trouble ressent en permanence la sensation de craindre quelque chose d’indéfini ; elle est tout le temps dans une agitation constante qui lui est très difficile de contrôler. La tension musculaire continue et la réaction du système nerveux autonome peuvent amener au développement de migraines, de palpitations, de vertiges, de troubles gastriques et d’insomnie.

Les troubles anxieux ont comme dénominateur commun une réponse excessive du système nerveux sympathique,

qui se traduit en une série de symptômes corporels non adaptatifs, en réponse à des événements plus ou moins stressants ou perçus comme tels.

Certaines hormones produites en réponse au stress, comme le cortisol, peuvent contribuer à augmenter l’état d’activation psychophysiologique.

Sur le plan psychologique, un Moi affaibli, des capacités d’élaboration cognitive et émotionnelle insuffisantes et des comportements dysfonctionnels peuvent maintenir ou aggraver les symptômes.

Critères diagnostiques

On relève : un sentiment de peur, d’angoisse ou de préoccupation inappropriée sans rapport avec la situation réelle, des symptômes physiques, tels que la transpiration, la tachycardie, les tremblements, les vertiges, l’évanouissements, les nausées, l’agitation psychomotrice, les douleurs à la poitrine, un blocage du langage ou de certains comportements.

Pour une présentation plus détaillée des critères de chaque trouble, on renvoie à la consultation du DSM-5.

Indications thérapeutiques cliniques

L’hypnose peut être employée efficacement dans les troubles anxieux, pour agir sur les symptômes physiques, sur l’élaboration cognitive et émotionnelle (en intervenant sur les schémas cognitifs et sur les convictions dysfonctionnelles, sur les images mentales et sur la perception des émotions) et sur les comportements dysfonctionnels.

Dr Jean-Victor Belmère 

L’état d’hypnose est un état très particulier, naturel, qui se produit plusieurs fois par jour

La transe hypnotique, un voyage à l'intérieur de soi

L’hypnose thérapeutique médicale est un état de conscience particulier

qui se présente à l’intérieur de la relation entre un acteur dûment formé, c’est-à-dire l’hypnotiseur, et un sujet disponible à en faire l’expérience, c’est-à-dire le patient.

Dans cet état particulier, appelé également de transe,

il est possible d’apprendre à modifier activement des fonctions psychiques et somatiques normalement non contrôlables par la volonté.

On peut produire des modifications, par exemple

cardio-vasculaires, une vasodilatation, une vasoconstriction, des modifications de l’activité gastro-intestinale, de la perception de la douleur jusqu’à l’analgésie, des changements d’états émotionnels et d’humeur, réduire l’anxiété, contrôler la sensation de faim, induire l’appétit, récupérer des souvenirs oubliés, inhiber ou abandonner des habitudes nocives (telles que fumer ou boire de l’alcool), surmonter des traumatismes du passé, modifier des pensées déformées ou des attitudes inadaptées limitant la pleine expression de la personnalité, etc.

Soulager la douleur par l’hypnose et l’autohypnose – Rabat Maroc

comment avec l'hypnose et l'autohypnose contrôler vos douleurs.

J’ai opéré du crâne et de la face des milliers de patients.

La plupart étaient porteurs de douleurs chroniques très invalidantes qui avaient bouleversé leur vie. J’ai acquis la preuve que le meilleur anti-douleur, au-delà des traitements déjà entrepris, c’était leur état d’esprit, la capacité de leur cerveau à gérer leurs pensées et leurs émotions.

Je vais vous apprendre concrètement comment avec l’hypnose et l’autohypnose comment utiliser la puissance de votre esprit et de vos pensées pour mieux contrôler vos douleurs. 

Les douleurs vont de manière insidieuse et diffuse modifier les comportements et les habitudes de vie des personnes qui en souffrent

Toutes les zones du corps humain sont concernées

      • maux de dos,
      • sciatiques,
      • douleurs articulaires par arthrose ou inflammation (rhumatismes articulaires chroniques),
      • maux de tête (céphalées ou migraines),
      • douleurs abdominales,
      • douleurs diffuses de l’appareil locomoteur comme la fibromyalgie ou les troubles musculo-squelettiques (TMS), etc.
      • Concernant le cancer, plus de un patient sur deux présentent des douleurs quel que soit le stade d’avancée de sa maladie. Et seulement 5 % de ces douleurs sont contrôlées

Les conséquences médicales des douleurs chroniques peuvent être importantes

      •  troubles psychiques (dépression, insomnie, risque suicidaire),
      • surpoids ou amaigrissement,
      • addictions (alcool, toxicomanie),
      • consommation médicamenteuse excessive.

Les médicaments contre la douleur sont très utiles et même indispensables lors d’une phase aiguë. Sans eux, aucune intervention chirurgicale ne serait possible et ils font partie des médicaments de premier ordre dans toutes les structures médicales d’urgence.

Mais sur des traitements longs, de plusieurs mois ou années, leur efficacité diminue avec le temps et les effets secondaires s’accentuent : allergies et intolérances, troubles digestifs, ulcérations duodénales et gastriques, surcharge du foie, atteinte rénale, problèmes hématologiques.

Les excès médicamenteux sont parfois une cause réelle de passage à la chronicité de la douleur, comme dans le cas de la migraine.

En modifiant le filtre cérébral, l’intensité et la nature des émotions associées,

il est possible d’atténuer le ressenti et le vécu de la douleur, car on peut moduler l’état émotionnel, subjectif, qui y est associé. L’hypnose est un des meilleurs moyens pour y parvenir.

Si vous pratiquez selon les techniques que je vous apprendrez, vous parviendrez à obtenir un état d’auto-hypnose qui vous aidera dans la vie quotidienne.

Et l’auto-hypnose vous permettra d’agir sur la façon dont votre cerveau va percevoir le message douloureux. Vous allez apprendre à optimiser vos séances pour agir plus efficacement sur la douleur, à vous ouvrir à des émotions agréables et à accueillir de nouvelles ressources.

L’hypnose va vous aider à modifier vos habitudes de vie.

L’hypnose n’est pas un placebo ; elle modifie puissamment les connexions neuronales des régions du cerveau qui régulent la douleur et les émotions.

Je vous apprendrai toutes les techniques et astuces que j’ai pu appliquer sur moi-même, les conseils que j’ai donnés à des centaines de patients pour contrôler leurs douleurs.

Leur facilité d’entrer seuls en état d’hypnose leur a permis d’avancer dans leur vie et sur le chemin du mieux-être. Je suis certain que vous maîtriserez rapidement et facilement les concepts et outils développés dans cet ouvrage. Faites-vous confiance, et comme le disait Milton Erickson, « faites toujours confiance à votre inconscient ». Certains bénéfices ont été spectaculaires, d’autres plus modestes. Mais il y a toujours eu, chez mes patients, un mouvement interne, des changements à partir du moment où l’inconscient a été écouté et qu’il a été possible de communiquer avec lui.

Au cours de mes consultations je vais vous montrer comment

      1. – obtenir des résultats dès la première séance ;
      2. – ne pas vous décourager ;
      3. – entrer vous-même facilement en état d’hypnose ;
      4. – appliquer les techniques les plus efficaces ;
      5. – contrôler vos douleurs grâce à l’auto-hypnose ;
      6. – utiliser des techniques de diversion de la douleur vous permettant de ressentir le bien-être rapidement ;
      7. – parvenir à une utilisation intelligente de votre temps pour pratiquer sereinement ;
      8. – repartir « gonflé à bloc » après une séance ;
      9. – être efficace dans votre pratique.

Hypnose Rabat Maroc – Indications scientifiques

Indications thérapeutiques médicales de l'hypnose

La thérapie hypnotique en tant que telle, une des méta-analyses parmis les plus récentes et les plus vastes, en identifie clairement l’efficacité,

Les données scientifiques médicales et neurophysiologiques convergent vers son évidente efficacité dans le traitement 

Vous avez ici les références des publications scientifiques qui ont montré l’efficacité de l’hypnose thérapeutique médicales

          • des troubles anxieux (Golden, 2012) ;
          • de l’anxiété sociale (Lipsitz et Marshall, 2001) ;
          • du trouble de stress post-traumatique (Abramovitz et Bonne, 2013) ;
          • des phobies spécifiques (Stanton, 1994 ; McIntosh, 2007) ;
          • des phobies générales (Sommer, 1995 ; Willemsen, 2003) ;
          • de la dépression (Alladin, Alibhai, 2007 ; Kirsch, Low, 2013) ;
          • des troubles du sommeil (Becker, 2015) ;
          • des troubles alimentaires (Kirsch, 1996), tels que l’obésité (Faith, 1996), l’anorexie (Roy, 2014 ; Walsh, 2008 ; Baker et Nash, 1987 ; Vanderlinden et Vandereycken, 1988) et la boulimie (Barabasz, 2012) ;
          • des dysfonctions sexuelles (Lemke, 2005 ; Chiasson, 1992 ; Gilmore, 1987) ;
          • des addictions générales (Potter, 2004) ou spécifiques, p. ex. à la méthadone (Manganiello, 1984), à la cocaïne, à l’héroïne, au cannabis et autres drogues (Kaminsky et al., 2008 ; Page et Handley, 1993), à l’alcool (Potter, 2004) ou au tabac (Barber, 2001 ; Ahijevych et al., 2000) ;
          • de la douleur aiguë et chronique (Dahlgren et al., 1995 ; Patterson et Jensen, 2003 ; De Benedittis, 2013a, 2013 b) ; en utilisant le potentiel de l’analgésie hypnotique, comme pour la fibromyalgie (Wic et al., 1999 ; De Benedittis, 2012), pour l’arthrite rhumatoïde (Domangue et al., 1985), pour la douleur provoquée par les brûlures graves (Patterson et Ptacek, 1997) et pour la douleur du travail et de l’accouchement (Harmon et al., 1990 ; Schwartz, 1963) ;
          • des céphalées musculo-tensives (Melis et al., 1991) ; des migraines (Anderson et al., 1975) ;
          • des pathologies tumorales (Spiegel et Bloom, 1983, Spiegel et al., 1989) et des nausées/vomissements liés à la chimiothérapie (Zeltzer et al., 1984 ; Co- tanch et al., 1985).
          • L’efficacité est mise en évidence également : en chirurgie (Montgomery et al., 2002 ; Facco et al., 2013) ; en gastro-entérologie générale (Palsson et Whitehead, 2013) ;
          • dans le traitement du côlon irritable (Whorwell et al., 1984) ;
          • en dermatologie générale (Phoenix, 2007), p. ex. pour le traitement du psoriasis (Kantor, 1990) ou de l’alopécie areata (Wil- lemsen et al., 2011) ;
          • en hématologie (Swirsky-Sacchetti et Margolis, 1986) ;
          • dans le traitement de l’hypertension artérielle (Kekecs et al., 2016 ; Schwickert et al., 2006) ;
          • en odonto-stomatologie (Jugé et Tubert-Jeannin, 2013) ;
          • en médecine d’urgence (Peebles-Kleiger, 2000).

L’hypnose est la plus ancienne parmi toutes les psychothérapies

Psychologie et Psyché Hypnose

Il faut faire attention aux formations dont se targuent les hypnothérapeutes. et à leur diplôme

Il faut savoir que la plupart des écoles de formation en hypnose, en France et à l’étranger, délivrent des certificats qui sont en réalité du niveau du CAP (certificat d’aptitude professionnelle) le même qui est délivré aux bouchers, charcutiers, pâtissiers ou boulanger homologué au niveau 3, le plus bas sur la liste, c’est à dire qu’il donne une qualification d’ouvrier ou d’employé qualifié.

L’hypnose médicale thérapeutique est essentiellement d’essence médicale et repose sur des connaissances médicales approfondies. Ces écoles qui forment des « praticiens » et des « maitres praticiens » et délivrent ces fameux certificats forment en quelques WE et donnent des recettes de cuisines aux étudiant futurs hypnothérapeutes pour « soigner » des cas. 

Le plus souvent les formateurs n’ont aucune formation médicale ou psychologique

Gare aux catastrophes !

Nous croyons que notre effort représente une tentative innovante et nécessaire pour favoriser, dans un esprit de service, la diffusion de l’hypnose dans le domaine clinique et de renforcer ainsi les possibilités de l’outil hypnotique dans une perspective rigoureusement scientifique.

L’hypnose est la plus ancienne parmi toutes les psychothérapies 

Et, malgré une popularité variable, caractérisée par des périodes de grande diffusion et d’autres d’abandon apparent. 

Dans ces dernières décennies, elle a retrouvé une seconde jeunesse. 

Le développement de la dénommée « nouvelle hypnose », surtout grâce à Milton Erickson, à travers l’introduction de nouvelles – et aussi plus sophistiquées – techniques d’induction indirecte et la retombée importante des neurosciences, ayant contribué à clarifier grand nombre des mécanismes de l’hypnose et de ses effets (p. ex. l’analgésie hypnotique), ont donné un nouvel élan et une nouvelle dignité à la fois clinique et scientifique à l’outil hypnotique.

De nombreux essais contrôlés et de méta-analyse

ont affirmé l’efficacité de l’hypnose dans de nombreuses pathologies d’intérêt médical et psychologique (p. ex. la douleur aiguë et chronique, le côlon irritable, les troubles anxieux, etc.) sur la base de l’évidence clinique. 

L’hypnose n’a pas seulement été reconnue en tant qu’outil efficace et sûr dans le traitement de nombreux syndromes cliniques,

mais dans les dernières années elle a été aussi, de plus en plus utilisée en dehors de la communauté hypnotique, en tant qu’outil physiologique et fiable d’investigation du système nerveux central. 

Il s’agit donc d’une sorte de précieuse « sonde » qui a significativement accru nos connaissances dans le domaine. Et cela constitue bien une véritable révolution copernicienne. 

La nouvelle hypnose a tout naturellement eu un important impact sur l’intérêt clinique et médiatique que l’outil hypnotique a depuis toujours suscité. 

Cependant, face à une plus grande sensibilité vis-à-vis de l’utilisation de l’outil hypnotique dans le domaine clinique et, par conséquent, l’augmentation significative des demandes de la part des patients et des professionnels de la santé, il faut enregistrer le manque d’une adéquate information afin de la divulguer, ainsi que la difficulté pour l’utilisateur final à sélectionner et à repérer le professionnel adapté à un problème clinique déterminé.

« Chercheurs et thérapeutes, après plusieurs années d’études et d’observations s’accordent largement à affirmer que l’hypnose, par elle-même, ne présente aucun risque lorsqu’elle est utilisée correctement par un thérapeute possédant une formation adéquate » (Yapko, 2003, p. 217). 

Cependant, malgré le fait que l’hypnose puisse être utilisée de façon compétente et experte au bénéfice du patient, elle peut également être utilisée de manière potentiellement dangereuse (Yapko, 2003, p. 216 ; Hambelton, 2005). 

Les problèmes n’émergent pas de l’hypnose en elle-même, mais plutôt des principes éthico-moraux du professionnel qui, par ignorance ou mauvaise foi, peut l’utiliser pour atteindre des objectifs inappropriés par rapport à la santé de l’individu ou par rapport aux motifs du traitement. 

Pour cette raison, il est très important qu’il s’agisse de médecins ou psychologues formés de manière adéquate par des spécialisations universitaires post-lauream en psychothérapie hypnotique. 

Se confier à un professionnel dépourvu de compétences certifiées signifie, dans le meilleur des cas, assister à l’émergence de problèmes liés au manque de connaissances des dynamiques psychiques émergentes, à des retombées au niveau du comportement humain, à des modèles d’interaction corps-esprit et à des effets du traitement à court, moyen et long terme. 

Dans le pire des cas, le risque étant des répercussions négatives immédiates au niveau de la santé mentale et physique du patient. S’agissant d’une action sur la psyché de l’individu, il doit s’appliquer le principe éthique de Martin Orne (1965) selon lequel : celui qui n’est pas qualifié à traiter un problème sans l’hypnose, n’est pas qualifié non plus à le traiter avec l’hypnose.

Docteur Jean-Victor Belmère 

 

Hypnothérapie à Rabat – Maroc

Docteur Jean-Victor Belmère

Souvent après une longue pratique de la médecine et de la chirurgie,

comme c’est mon cas, on s’interroge sur l’action thérapeutique que l’on a pu avoir après des décennies de pratiques (plus de 40 ans pour moi). Et on se rend compte, que ce soit en chirurgie, ou en médecine, que la manière dont on donne et bien supérieure à ce que l’on donne.

Et bien souvent dans mes discussions avec mes patients dans la préparation d’un acte chirurgical,

j’ai vu, lors de mes explications, le regard se voiler, se figer, les gestes devenant plus rares, plus parcimonieux, le patient se retrouver en hypnose, sans qu’il le sache et sans que je le susse à l’époque. La chirurgie ou l’acte médical devenait plus simple à réaliser et les résultats et leurs suites  beaucoup plus harmonieuses.

Sous l’impulsion de Jean Godin j’ai rapidement utilisé l’hypnose à des fins anesthésiques et analgésiques

pour des interventions chirurgicales ambulatoires en chirurgie de jour ou au cabinet en particulier pour l’ablation de matériel d’ostéosynthèse (AOS). 

Puis après avoir cesser la chirurgie en raison de la perte de l’usage de ma main gauche je me suis intéressé à l’hypnothérapie ou hypnose thérapeutique sous la pression de mon épouse, coach et thérapeute, qui rencontrait des difficultés dans certains cas.

L’HYPNOTHÉRAPIE EST L’APPLICATION DE L’HYPNOSE à un vaste éventail de troubles médicaux et psychologiques.

Avant de pratiquer l’hypnose, il faut avoir reçu une bonne formation en psychothérapie, que l’on soit psychologue, médecin, ou dentiste.

En fait, la formation en psychothérapie et en hypnothérapie est un processus sans fin.

Par bien des aspects, l’hypnose est l’art d’obtenir l’attention du patient et ensuite de communiquer efficacement des idées qui augmentent sa motivation et changent sa façon de percevoir les choses.

Ayant une solide formation en psychiatrie (CES), en biologie humaine (doctorat) et en neurophysiologie (agrégation) je me suis plongé dans l’hypnose thérapeutique avec délectation.

Mon approche a surtout une approche scientifique de neurophysiologiste, de neuro-psychiatre, de neurologue. Et progressivement j’ai développé mes propres outils qui me permettent de faire face à des pathologies très diverses, souvent inaccessibles à la médecine traditionnelle. 

Si mes connaissances en anatomie, en physiologie, en biologie me permettent de visualiser le parcours de la pathologie, il faut bien avouer les mécanismes intrinséques de l’hypnose sont en encore flous. 

L’hypnose marche parfaitement, et « soigne » toute une pathologie inaccessible

à la pharmacopée ou à la « parole » psychanalytique, psychologique ou autre acte « psychiatrique ». C’est le cas des phobies, des TOCs, des Dépressions, des peurs et toutes ces anxiétés, angoisses et crises de panique… et bien d’autres pathologiques qui troublent les comportements de l’être humain comme  les compulsions (onychophagie, trichotillomanie, par exemple), les troubles anxieux et les phobies, les dysfonctions sexuelles et les problèmes relationnels, les troubles de la concentration et de la réussite scolaire ou sportive, les techniques de renforcement du moi pour développer l’estime de soi et l’efficacité personnelle, les troubles du stress post-traumatique, les troubles des personnalités multiples, les patients gravement perturbés (par exemple, borderline, schizophrènes), et d’autres troubles émotionnels. Mais aussi la douleur et l’hypnoanesthésie, la dyslexie, le bégaiement, l’énurésie, le syndrome de de La Tourette, la phobie scolaire, les troubles allergiques et immunitaires et l’asthme.

Dans certains cas, les problèmes et les symptômes sont liés à des facteurs historiques (par exemple, un traumatisme), ou bien ont des fonctions adaptatives ou servent des objectifs qui échappent à la perception consciente. Dans de tels cas, les suggestions et métaphores hypnotiques seront surtout efficaces après un travail d’exploration et de régression en âge (travail d’abréaction).

Une approche intégrative complète de l’hypnose comporte donc l’utilisation de techniques hypnotiques exploratoires et orientées vers la compréhension intérieure (insight) est par contre beaucoup plus difficile de donner des modèles de ces interventions dans un espace relativement limité.

L’hypnose est comme toutes les autres techniques ou modalités médicales ou psychologiques : son efficacité n’est pas égale pour tous les problèmes et tous les patients.

Il est donc d’une importance capitale de ne pas être identifiés en tant qu’«hypnotistes », mais plutôt en tant que psychologues, médecins,  infirmières, anesthésistes, etc., qui utilisons l’hypnose comme l’une de nos modalités d’intervention, parmi nos autres outils cliniques.

En outre, l’éthique nous impose de n’utiliser l’hypnose que pour traiter des problèmes que nous sommes qualifiés à traiter avec des techniques non hypnotiques.

Quand on n’a pas reçu de formation supérieure spécialisée et de supervision pour exercer avec des enfants ou faire de la sexothérapie, il semble contraire à l’éthique de se servir de l’hypnose pour travailler dans ces domaines.

La seule formation à l’hypnose ne nous rend pas aptes à travailler dans des domaines spécialisés qui sont en dehors de nos compétences.

De même, apprendre simplement quelques inductions hypnotiques et chercher ensuite à appliquer des suggestions glanées dans des livres ou des articles.

Comment ? Malgré ma somme de connaissances

médicales, anatomiques, physiologiques, biologiques, fonctionnelles, philosophiques, psychologiques, psychopathologiques je ne sais pas comment et pourquoi… Mais l’hypnose est utilisée pour explorer des fonctions préconscientes et inconscientes, résoudre des problèmes du passé, et utiliser les ressources inconscientes.

Cette façon de travailler s’appuie sur le principe général de l’éclectisme technique  qui encourage l’utilisation de techniques consacrées par l’usage en fonction d’indications et de contre-indications fondées sur l’empirisme et la validation expérimentale plutôt que sur des théories.

L’hypnothérapie, comme la psychothérapie, est encore plutôt du domaine de l’Art et son développement scientifique est à ses balbutiements. Des lignes directrices expérimentales et cependant systématiques et explicites  voient le jour à propos du choix des stratégies et des techniques avec différents patients, et ce processus est en cours de développement

Mais l’hypnose « marche » exceptionnellement.

Les progrès de l’imagerie médicale fonctionnelle et des explorations ciblées sur la fonction cérébrale objectivent des modifications patentes en cours de séances d’hypnose et prouvent que l’hypnose a une action « organique », bien que l’on ne sache pas, encore, comment et pourquoi. 

 

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Le Dr Jean-Victor Belmère  est un clinicien de génie, d’une étoffe et d’un talent rares, et il est devenu l’un des géants du domaine de l’hypnose clinique. Une partie de son mérite réside dans sa capacité à intégrer les contributions pratiques que l’on trouve dans une grande variété d’orientations et d’approches différentes de l’hypnose.

Même si son érudition et ses recherches font avancer notre domaine, le Dr Belmère est avant tout un clinicien de tout premier plan et l’une des rares personnes qui soit capable de concevoir des thérapies adaptées à presque tous les cas. Tous ceux qui travaillent dans ce domaine garderont une dette envers lui pour sa largeur de vue en clinique, son expérience pratique étendue, et sa connaissance approfondie de la question.

« Les hommes m’ont crédité d’un certain génie, mais mon seul génie repose en ceci : quand j’ai un sujet en tête, je l’étudie en profondeur, jour et nuit il est devant mes yeux. J’explore tous ses tenants et aboutissants. Mon esprit en est envahi. Le résultat en est ce que les gens appellent les fruits du génie, quand ce ne sont en réalité que les fruits de l’étude et du travail. »