Déclic pour sortir de la dépression

Comment ma thérapie peut-elle vous soulager de la dépression Dr Jean-Victor Belmère

La thérapie que je vous offre est d’une puissance exceptionnelle est un déclic pour sortir de la dépression

et a fait preuve d’une efficacité remarquable auprès de plus de 80% de mes nombreux milliers de patients au cours de mes 30 années de pratique en thérapies médicales brèves un vrai déclic pour sortir de la dépression

Ce programme thérapeutique s’étale sur une période de 6 semaines, comprenant 12 séances spécialement conçues, d’une intensité considérable. Vous aurez une séance majeure par semaine, accompagnée d’une séance de renforcement que vous pourrez répéter de 3 à 6 fois au cours de la semaine.

Cette thérapie a pour objectif de mettre un terme à vos souffrances, c’est un véritable déclic pour sortir de la pression,, de rétablir votre équilibre et d’éliminer l’ensemble de vos symptômes. Cependant, je tiens à souligner qu’il est primordial de ne pas opter pour cette thérapie si vous n’êtes pas pleinement déterminé à retrouver le bien-être.

Soyez assuré(e) que je vous accompagnerai à chaque étape du processus et vous fournirai toutes les recommandations nécessaires pour votre progression vers une vie épanouie. Faites partie de ceux qui ont réussi à se libérer définitivement de l’emprise de la dépression, une condition qui peut être comparée à une pollution de l’esprit. Vous avez le pouvoir de changer votre vie pour le mieux, et cette thérapie est un précieux moyen pour y parvenir…

Transformez votre vie en vous libérant définitivement de la dépression et en retrouvant une tranquillité d’esprit durable.

La dépression ne surgit pas de nulle part en réaction à une simple difficulté.

Elle se développe sur un terrain favorable, une terre fertile où elle peut prospérer grâce aux éléments qui lui fournissent les nutriments nécessaires.

Imaginez-la comme une mauvaise herbe dans un magnifique jardin.

Elle infiltre votre esprit, s’enracine discrètement, puis croît silencieusement, s’épanouit et se transforme en une plante robuste qui ravage votre jardin intérieur, alors je vous propose un déclic pour sortir de la dépression.

Ses racines s’étendent sournoisement dans tout votre esprit, tout comme elle l’a fait dans votre jardin, jusqu’à ce que tout soit envahi.

Comment se manifeste la dépression ?

La dépression se présente sous de nombreuses formes et peut avoir un impact dévastateur sur la vie quotidienne. Voici un aperçu des signes et symptômes qui la caractérisent :

    • L’Anxiété, les Angoisses et le Stress : Ce sont les principaux maîtres symptômes de la dépression. Que ce soit une anxiété constante qui vous étreint ou des crises d’angoisse incontrôlables qui surgissent sans prévenir, le stress est omniprésent. L’anxiété est à la base pour créer un déclic pour sortir de la répression.
    • Phobies et Troubles Obsessionnels Compulsifs (TOC) : La dépression peut s’accompagner de phobies irrationnelles et de comportements obsessionnels compulsifs qui envahissent votre vie quotidienne, vous rendant prisonnier de vos peurs.
    • Manifestations Physiques : La dépression ne se limite pas à l’esprit. Elle peut se manifester par des symptômes physiques tels que des troubles du rythme cardiaque, des problèmes intestinaux, des douleurs erratiques, la fibromyalgie, des acouphènes, et bien d’autres.

En plus de ces symptômes principaux, d’autres troubles souvent interconnectés peuvent surgir :

      • Épuisement et Fatigue : Vous vous sentez constamment épuisé, même après une bonne nuit de sommeil. La moindre tâche quotidienne devient un défi éreintant.
      • Troubles du Sommeil : Votre sommeil est perturbé, que ce soit par des insomnies qui vous tiennent éveillé la nuit ou par une hypersomnie qui vous laisse constamment dans un état de somnolence.
      • Baisse d’Estime de Soi et de Confiance en Soi : Votre estime de vous-même s’effondre, laissant place à un sentiment de culpabilité et d’inutilité qui vous envahit.
      • Perte d’Intérêt et de Plaisir : Les activités qui vous procuraient autrefois du bonheur semblent maintenant dénuées de sens et d’intérêt. La joie a disparu de votre vie.
      • Sentiment de Vide : Un sentiment de vide persiste tout au long de la journée, chaque jour, comme si quelque chose essentiel manquait dans votre existence.
      • Problèmes Alimentaires : Votre appétit fluctue de manière inquiétante, que ce soit une perte d’appétit, une fringale incontrôlable, ou une anorexie déconcertante.
      • Difficultés d’Attention et de Concentration : Vous avez du mal à vous concentrer sur des tâches simples, votre esprit étant constamment envahi par des pensées sombres.
      • Pensées Suicidaires : Les pensées de mort et les idées suicidaires peuvent devenir envahissantes, vous laissant avec un sentiment d’agonie mentale.

La dépression ne se limite pas à une seule manifestation.

Elle peut se manifester de diverses manières, mais une certitude demeure : il existe un thérapie efficace, élaborée par mes soins, affinée au fil des décennies et ayant apporté un bien-être à des milliers de patients. Cette thérapie est un véritable déclic pour vous sortir de la dépression.

Cette thérapie puissante est un précieux allié pour vous guider vers la restauration d’une vie paisible et normale..

ZEN by dr Jean-Victor Belmère

Dépression et traitements

Quand la dépression apparaît ce ne sont pas les quelques médicaments (drogues, antidépresseurs, anxiolytiques) qui vont la déloger. Au contraire ces drogues la fixe et contribue à ancrer l’idée que le patient est en dépression. Ces médicaments (anxiolytiques, antidépresseurs) sont des filtres qui masquent les racines profondément dissimulées dans tout votre être. Nous sommes là, à la base de la thérapie que je vais vous proposer.

Cette thérapie repose sur une série de séances thérapeutiques en état d’hypnose Qui va permettre grâce au lâcher prise de réparer les causes profondes de votre dépression et va vous éloigner définitivement de l’anxiété, des angoisses, du stress et de tout ce mal être dans lequel vous vivez depuis bien longtemps. Dès la première séance vous sentez un bien-être, un mieux-être qui s’installe et s’approfondit au fil des séances successives. J’ai conçu une thérapie qui repose sur 12 séances qu’il faut suivre pas à pas pour parvenir in fine (à la fin) à vous débarrasser définitivement de tous les phénomènes, de tous les maux de la dépression.

Comment ma thérapie peut soulager votre dépression ?

À travers ma thérapie, c’est un  vrai déclic pour sortir de la dépression, vous explorerez les profondeurs de votre être, plongeant dans un état de conscience tout à fait unique, distinct du sommeil et de l’éveil. Dans cet état, vous vous souviendrez de tout. Il s’agit d’un accès à une forme particulière de conscience que l’on pourrait qualifier de ‘conscience supérieure’. Cette expérience constitue un processus naturel qui se déroule plusieurs fois par jour chez tout être vivant. Elle est essentielle à la vie, car elle permet à l’organisme de maintenir un équilibre, de s’auto-réguler, de rester en homéostasie

La plupart du temps, nous vivons notre vie dans un état de conscience ordinaire, ce qui nous permet de gérer les aspects quotidiens de notre existence de manière automatique, du moment où nous nous réveillons jusqu’à celui où nous nous couchons.

Cependant, en nous plongeant au plus profond de nous-mêmes, nous découvrons un potentiel de contrôle sur l’ensemble de nos processus physiologiques, biologiques et métaboliques. Par le biais de notre conscience supérieure, nous avons accès à tout ce qui fait de nous un organisme vivant.

Les séances que je vous propose constituent une forme de thérapie médicale qui ne nécessite pas l’utilisation de médicaments. Au contraire, nous entreprendrons un sevrage progressif de toutes les substances que vous avez pu consommer jusqu’à présent.

Cette approche thérapeutique vous offre la possibilité d’accéder à l’ensemble de ces processus qui ont contribué à déclencher votre dépression.

Elle vise à rétablir un équilibre psychique et à favoriser le lâcher-prise, et c’est vraiment un déclic pour sortir de la dépression.

En relâchant cette emprise, nous pouvons atténuer l’anxiété, l’angoisse et le stress qui vous tourmentent. C’est à ce moment-là qu’il devient possible d’explorer les racines profondes de cette dépression, enfouies au plus profond de votre mémoire. Nous pouvons ensuite les analyser avec l’aide de notre cerveau profond et mettre en marche un processus de guérison visant à une restauration complète, une « restitutio ad integrum », autrement dit, une réparation totale.

A BIENTÔT EN SÉANCE

L’intégration de l’hypnose dans le traitement de la dépression – Dr Belmère – Rabat

DÉPRESSION by Dr Jean-Victor Belmère

Pendant une grande partie du 20e siècle, l’utilisation de l’hypnose dans le traitement de la dépression était largement discréditée et découragée

Cela était en partie dû à certaines représentations et croyances à la fois sur la dépression et sur l’hypnose elle-même.

Après les travaux de Sigmund Freud et d’autres psychanalystes, la dépression a été souvent interprétée comme étant causée par des conflits internes, notamment le retournement des pulsions agressives contre soi-même, concept également connu sous le nom de « pulsion de mort » ou « pulsion thanatique ».

Cette perspective psychodynamique a dominé la compréhension de la dépression pendant de nombreuses décennies.

L’hypnose, quant à elle, a été sujette à des malentendus et à des idées fausses, et a été souvent associée à des pratiques ésotériques ou mystérieuses.

De plus, l’hypnose a également été utilisée de manière controversée dans le passé, ce qui a contribué à sa stigmatisation. Tout cela a contribué à créer une atmosphère de méfiance envers l’utilisation de l’hypnose dans le domaine médical, y compris dans le traitement de la dépression.

Cependant, au fil du temps, les approches envers la dépression et l’hypnose ont évolué. La psychiatrie et la psychologie ont progressivement adopté des approches plus empiriques et scientifiques, remettant en question certaines des théories psychodynamiques du passé. De plus, l’hypnose a été réévaluée et étudiée de manière plus rigoureuse, révélant son potentiel en tant qu’outil thérapeutique dans divers contextes, y compris le traitement de la dépression.

Aujourd’hui, l’hypnose est considérée comme une approche valide dans certains contextes thérapeutiques, bien que son utilisation puisse varier en fonction des préférences du patient et de l’avis du professionnel de la santé.

 Les thérapies contemporaines pour la dépression se fondent sur des approches multiples, notamment les thérapies cognitivo-comportementales, les thérapies basées sur la pleine conscience, les traitements pharmacologiques et, dans certains cas, des approches complémentaires telles que l’hypnose.

Les idées  mentionnées concernant les craintes entourant l’hypnose, notamment la perte de contrôle, la dissolution du Moi et la dépendance excessive, ont été des facteurs importants dans la méfiance envers l’utilisation de l’hypnose dans le domaine médical, y compris dans le traitement de la dépression.

Cependant, au fil des années, les recherches et l’expérience clinique ont contribué à une meilleure compréhension de l’hypnose et de son potentiel thérapeutique.

Les croyances obsolètes sur l’hypnose ont été remises en question et, dans de nombreux cas, réfutées. Il est devenu évident que l’hypnose ne conduit pas nécessairement à une perte de contrôle totale ni à une dissolution du Moi. Les individus restent généralement conscients de leurs actions et gardent un certain degré de contrôle pendant l’état hypnotique.

De plus, la relation entre l’hypnothérapeute et le sujet hypnotisé a évolué vers une approche plus collaborative et respectueuse, éloignant ainsi les inquiétudes concernant une dépendance excessive. L’utilisation de l’hypnose dans le traitement de la dépression, et d’autres conditions mentales, s’est avérée efficace pour certains patients lorsque l’hypnose est intégrée dans un cadre thérapeutique approprié et professionnel.

En somme, les représentations obsolètes de l’hypnose et de la dépression ont été progressivement remplacées par une compréhension plus nuancée et basée sur des preuves scientifiques.

L’hypnose est désormais reconnue comme une approche thérapeutique légitime dans certains contextes, offrant des avantages potentiels pour certains individus souffrant de dépression et d’autres problèmes de santé mentale.

La compréhension de la dépression a évolué au fil du temps, passant d’une perspective centrée sur l’agressivité et les pulsions internes à une vision plus complexe, où des facteurs tels que l’épuisement de l’énergie psychique et d’autres processus interviennent.

Cette évolution conceptuelle a ouvert la voie à des approches thérapeutiques plus variées et adaptées.

En ce qui concerne l’hypnose, il est en effet essentiel de souligner que les anciennes représentations erronées sur la perte de contrôle et la dépendance ont été largement réfutées par la recherche et l’expérience clinique.

L’hypnose est généralement comprise aujourd’hui comme un état de concentration et de suggestion, dans lequel le sujet reste conscient et conserve un certain niveau de contrôle. Il ne s’agit pas d’un phénomène où le sujet devient passif ou vulnérable à l’hypnotiseur.

Ces éclaircissements sont essentiels pour démystifier l’hypnose et pour encourager une utilisation plus éclairée et responsable de cette approche dans le domaine de la santé mentale, y compris dans le traitement de la dépression.

La recherche continue à explorer les avantages potentiels de l’hypnose en tant qu’outil thérapeutique complémentaire, en mettant l’accent sur la collaboration entre le thérapeute et le patient pour promouvoir le bien-être mental et émotionnel.

La dissociation est une expérience où les éléments de la conscience, tels que les émotions, les pensées et les perceptions, semblent se dissocier ou se séparer les uns des autres, souvent créant une sensation de détachement de la réalité ou de soi-même. Dans le cas de la dépression, la dissociation peut jouer un rôle important et contribuer à l’intensification des symptômes dépressifs.

Les manifestations dissociatives dans la dépression comme les distorsions temporelles, mnésiques et anticipatives, sont particulièrement intéressantes et importantes à comprendre :

      1. Distorsions temporelles: Les personnes dépressives peuvent avoir une perception altérée du temps. Les journées peuvent sembler interminables, avec une impression de stagnation et d’ennui. Le passé peut être revécu de manière persistante, souvent en mettant l’accent sur les échecs ou les regrets, tandis que l’avenir peut sembler sombre et désespéré.
      2. Distorsions mnésiques: Les souvenirs peuvent être filtrés par le prisme de la dépression, mettant en avant les expériences négatives et douloureuses. Cela peut renforcer le sentiment de désespoir et de dévalorisation, car le sujet se rappelle principalement des moments difficiles et traumatisants.
      3. Distorsions anticipatives: Les attentes pour le futur peuvent également être teintées de pessimisme et d’anticipation anxieuse. Les personnes dépressives peuvent avoir du mal à envisager des expériences positives à venir, et elles peuvent anticiper une continuation de leur souffrance.

Ces distorsions dissociatives contribuent à maintenir et à renforcer l’état dépressif en créant un cercle vicieux où la perception altérée de soi, du temps et du futur alimente les émotions négatives et les pensées automatiques négatives. Cela peut rendre difficile pour le sujet de se libérer de la douleur et de l’angoisse qui caractérisent la dépression.

La compréhension de ces processus dissociatifs est importante afin de développer des approches de traitement adaptées, notamment en intégrant des techniques qui aident à rétablir la connexion entre les différentes dimensions de la conscience et à encourager une perspective plus équilibrée et réaliste sur le temps, les souvenirs et l’avenir.

La dépression peut affecter profondément la perception du temps, les attentes et le rythme de vie d’une personne.

Les symptômes dépressifs peuvent en effet entraîner une sensation d’enlisement dans la souffrance, ce qui rend difficile pour le sujet de se projeter dans l’avenir ou de vivre pleinement le présent. Les troubles de l’alternance et du rythme circadien sont également courants chez les personnes dépressives et contribuent à l’aggravation de leurs symptômes.

Les points peuvent être résumés comme suit :

      1. Bloquage des attentes et du futur: Les personnes dépressives ont du mal à envisager un avenir positif en raison de leur souffrance intense et de leurs distorsions cognitives négatives. Les attentes, y compris celles liées à la thérapie, peuvent être affectées par cette vision pessimiste, ce qui peut rendre difficile la motivation pour un traitement ou le maintien de l’espoir.
      2. Perturbation de l’alternance et du rythme: Les personnes dépressives peuvent souffrir de troubles du sommeil, notamment des problèmes d’endormissement, de sommeil profond et paradoxal, ainsi que des perturbations de la vigilance pendant les périodes de veille. Ces troubles du rythme circadien peuvent aggraver la fatigue et l’épuisement associés à la dépression.
      3. Figement de l’expérience vécue: L’expérience vécue peut sembler figée en raison de l’incapacité à alterner entre différents états émotionnels et cognitifs. Cela peut renforcer le sentiment d’être piégé dans la souffrance et l’incapacité à accéder à des émotions positives.

Ces aspects interconnectés de la dépression soulignent la complexité de cette condition et la nécessité d’approches de traitement holistiques. Les interventions thérapeutiques visant à restaurer une perception plus réaliste du temps, à briser le cycle de la rumination négative et à traiter les troubles du sommeil peuvent jouer un rôle crucial dans la gestion de la dépression.

La compréhension approfondie de ces mécanismes permet aux professionnels de la santé mentale de développer des stratégies de traitement ciblées et adaptées aux besoins individuels des patients dépressifs.

L’état dépressif peut être décrit en termes de transe, de sclérose de l’état de veille paradoxale et de phénomènes de dissociation, référence à des concepts intéressants qui peuvent aider à expliquer certains aspects des symptômes dépressifs et à les relier à des manifestations physiologiques et comportementales spécifiques.

La notion d’une « sclérose de l’état de veille paradoxale » suggère que l’état de conscience de veille paradoxale, généralement associé aux rêves et à l’activité onirique intense, pourrait être altéré ou figé chez les personnes dépressives. Cela pourrait contribuer aux symptômes de dissociation et aux sensations de figement décrites précédemment.

De plus, la mention de la « catalepsie » est également pertinente. La catalepsie est un état de raideur musculaire, parfois associé à une diminution de la réactivité aux stimuli, souvent observé chez les personnes sous hypnose. Dans le contexte dépressif, cela pourrait refléter le retrait émotionnel, la réduction de l’activité physique et l’expression physique altérée souvent observés chez les individus dépressifs.

Ces concepts offrent une perspective intéressante pour mieux comprendre les mécanismes sous-jacents à la dépression et comment ils peuvent influencer à la fois l’état mental et les comportements physiques des personnes touchées. Il est important de noter que ces idées représentent des cadres conceptuels qui peuvent contribuer à la compréhension de la dépression, mais ils ne sont qu’une partie de l’image globale complexe de cette condition. La recherche continue à explorer ces aspects pour approfondir notre compréhension de la dépression et informer les approches thérapeutiques.

Il faut souligner les similitudes entre la catalepsie observée dans l’expérience de transe hypnotique et les manifestations de la catalepsie observée dans la symptomatologie dépressive.

 La catalepsie est en effet un état de raideur musculaire qui peut se manifester de différentes manières, et elle peut être observée à la fois dans les expériences hypnotiques et dans les états dépressifs.

En hypnose, la catalepsie peut être induite de manière intentionnelle pour démontrer la profondeur de la transe hypnotique. Elle se caractérise par des positions du corps figées, comme les exemples que vous avez mentionnés, où une personne peut maintenir une posture particulière pendant une période prolongée.

Dans le contexte dépressif, la catalepsie peut se présenter sous forme de ralentissement psychomoteur, de rigidité musculaire et de tensions corporelles importantes. Ces manifestations peuvent refléter le retrait émotionnel et physique caractéristique de la dépression, où les mouvements et les expressions physiques peuvent être limités. La douleur et la tension corporelles mentionnées peuvent également être liées à l’expérience de la détresse émotionnelle et à la réaction physiologique au stress.

L’observation de ces manifestations dans la dépression offre une perspective intéressante sur la façon dont l’état émotionnel et mental peut se refléter dans le corps. Les approches thérapeutiques visant à soulager la douleur physique, à encourager l’expression émotionnelle et à réduire la rigidité musculaire peuvent jouer un rôle important dans le traitement global de la dépression.

Comme toujours, il est important de noter que la dépression est une condition complexe et multifactorielle, et que les différentes manifestations observées peuvent varier d’une personne à l’autre. Une approche individualisée et basée sur des preuves est essentielle pour comprendre et traiter efficacement cette condition.

Les différentes distorsions sensorielles et manifestations psychomotrices qui peuvent accompagner la dépression, ces symptômes sensoriels et comportementaux, apportent un éclairage supplémentaire sur la complexité de l’expérience vécue par une personne souffrant de dépression.:

      1. Diminution de la conscience sensorielle du plaisir: La capacité à ressentir du plaisir et à apprécier les expériences positives peut être altérée dans la dépression. Les activités qui étaient autrefois agréables peuvent sembler fades ou dénuées d’intérêt.
      2. Altération des perceptions du corps: Les personnes dépressives peuvent développer une image altérée et négative de leur propre corps. Des sensations de lourdeur, de malaise ou de déconnexion peuvent être associées à cette altération de la perception corporelle.
      3. Amplification des perceptions douloureuses: Les perceptions de douleur physique ou de sensations désagréables peuvent être amplifiées chez les individus dépressifs, ce qui peut contribuer à une augmentation de la somatisation, c’est-à-dire l’expression de la détresse émotionnelle sous forme de symptômes physiques.
      4. Automatismes psychomoteurs: Les gestes ou les mimiques involontaires et répétitives, ainsi que la figuration des mouvements, peuvent être observés chez les personnes dépressives. Ces comportements peuvent refléter les tensions internes et les sentiments refoulés.

Il est important de reconnaître que la dépression est une expérience complexe et multifacette, et que ces symptômes sensoriels et comportementaux reflètent les nombreux aspects de la souffrance émotionnelle. La dissociation entre la perception de soi et le déroulement de la vie peut engendrer un profond malaise et contribuer à la détérioration du bien-être général.

L’approche thérapeutique pour la dépression doit être holistique, prenant en compte tous ces aspects de l’expérience du patient. Le traitement peut impliquer des approches variées, allant de la psychothérapie à la médication, et visant à restaurer l’équilibre émotionnel, cognitif et corporel de la personne dépressive.

Il faut souligner les défis complexes auxquels les personnes dépressives sont confrontées en ce qui concerne leur perception d’elles-mêmes, leurs attentes et leur capacité à s’engager dans un processus de thérapie. Notre description met en lumière plusieurs aspects cruciaux de l’expérience dépressive :

      1. Décalage entre la perception et l’attente de soi-même: Les personnes dépressives peuvent percevoir un grand écart entre leur perception actuelle d’elles-mêmes et leurs attentes ou idéaux personnels. Cette dissonance peut engendrer un sentiment de frustration et d’insatisfaction, ce qui peut contribuer à une diminution de l’estime de soi.
      2. Mésestime de soi et douleur morale: Lorsque les attentes et les idéaux personnels ne sont pas atteints, une personne dépressive peut développer une mésestime profonde d’elle-même. Cette mésestime peut être si intense qu’elle crée une douleur morale considérable, alimentant ainsi le cycle dépressif.
      3. Attentes immédiates et absence d’espoir: En raison de la difficulté à envisager un avenir positif, les attentes d’une personne dépressive se concentrent souvent sur des résultats immédiats et concrets. Lorsque ces attentes ne sont pas satisfaites, cela peut renforcer le sentiment d’absence d’espoir et d’impossibilité de changement.
      4. Motivation limitée dans la thérapie: La dépression peut entraîner une diminution significative de la motivation, car la personne peut avoir perdu tout espoir de réconciliation avec elle-même et de possibilité de changement. Cette faible motivation peut rendre difficile la participation active à un processus thérapeutique.

Ces aspects soulignent l’importance d’adopter une approche empathique, patiente et individualisée dans le traitement de la dépression. La construction d’une relation de confiance entre le patient et le thérapeute peut être essentielle pour aborder ces défis et encourager progressivement une réflexion plus positive sur soi-même et sur l’avenir.

Bien que la motivation puisse être faible au départ, avec un soutien approprié et des interventions thérapeutiques adaptées, il est possible pour les personnes dépressives de commencer à entrevoir des perspectives de changement et de guérison. Cela nécessite souvent du temps, de la patience et des efforts conjoints pour redécouvrir l’espoir et la possibilité de se réconcilier avec soi-même.

Il faut souligner l’importance de discuter du cadre éthique et des bases conceptuelles avant d’envisager l’intégration de l’hypnose dans le traitement de la dépression.

Lorsque l’on aborde l’utilisation de l’hypnose dans un contexte thérapeutique, il est essentiel de tenir compte de la complexité des deux domaines et de garantir que toute intervention soit éthique, respectueuse et fondée sur des preuves.

La dépression est en effet une entité diagnostique reconnue en psychiatrie et en psychologie, caractérisée par des symptômes spécifiques et des critères diagnostiques bien établis. Elle implique des facteurs biologiques, psychologiques et sociaux qui contribuent à la détresse émotionnelle et aux dysfonctionnements observés chez les personnes dépressives.

 D’autre part, l’hypnose est un état de conscience particulier qui peut être utilisé à des fins thérapeutiques, mais qui nécessite une approche prudente et professionnelle.

Lorsque l’on envisage l’intégration de l’hypnose dans le traitement de la dépression, il est important de considérer les points suivants :

      1. Formation et compétence du thérapeute: Le praticien qui utilise l’hypnose dans le traitement de la dépression doit avoir une formation et une expertise appropriées dans les deux domaines médical (psychiatrique ou neuro-psychiatrique) et de l’hypnose. La connaissance approfondie de la dépression, de ses causes et de ses traitements, ainsi que des compétences solides en hypnothérapie, est cruciale pour garantir une approche sûre et efficace.
      2. Respect des lignes directrices éthiques: Toute utilisation de l’hypnose dans le traitement de la dépression doit être conforme aux normes éthiques et aux lignes directrices professionnelles. La sécurité, la confidentialité et le respect du bien-être du patient doivent être prioritaires.
      3. Collaboration multidisciplinaire: L’intégration de l’hypnose dans le traitement de la dépression peut être plus efficace lorsqu’elle est utilisée en complément d’autres approches thérapeutiques, telles que la psychothérapie et, si nécessaire, la pharmacothérapie. Une approche multidisciplinaire peut aider à traiter les différents aspects de la dépression de manière holistique.
      4. Évaluation et suivi rigoureux: Tout au long du processus thérapeutique, il est important d’évaluer régulièrement les progrès du patient et d’ajuster les interventions en conséquence. La dépression peut être complexe et variable, et le traitement doit être adapté aux besoins individuels du patient.

L’intégration de l’hypnose dans le traitement de la dépression peut offrir des avantages potentiels, notamment en aidant les patients à développer de nouvelles perspectives, à renforcer leurs compétences d’adaptation et à gérer leur détresse émotionnelle. Cependant, cela doit être abordé avec prudence, professionnalisme et éthique pour garantir la sécurité et le bien-être des patients.

Un point important les critères diagnostiques en psychiatrie, notamment pour la dépression. Les systèmes de classification diagnostique tels que le DSM-IV (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, quatrième édition) et le CIM-10 (Classification Internationale des Maladies, dixième édition) jouent un rôle central dans la définition et la caractérisation des troubles mentaux, y compris la dépression.

Il est vrai que la définition des critères diagnostiques est le résultat d’un processus de consensus au sein d’un groupe d’experts en psychiatrie et en psychologie. Cette approche vise à établir des normes diagnostiques et à fournir un cadre pour identifier et classer les symptômes et les conditions mentales.

Cependant, il est important de reconnaître et de souligner que les critères diagnostiques ont leurs limites et peuvent entraîner des effets indésirables.

Les risques potentiels liés à l’usage excessif ou abusif du diagnostic de dépression incluent :

      1. Diagnostic excessif: L’utilisation stricte des critères diagnostiques peut parfois conduire à une sur-diagnostic de dépression, où des individus présentant des symptômes légers ou temporaires pourraient être étiquetés comme dépressifs, même s’ils ne répondent pas nécessairement aux critères cliniques.
      2. Pathologisation excessive: L’application rigide des critères diagnostiques peut pathologiser des réactions émotionnelles normales à des événements de vie difficiles. Cela peut avoir des conséquences sur l’acceptation de la gamme naturelle d’expériences humaines.
      3. Surmédicalisation: Un diagnostic excessif de dépression peut entraîner une tendance à prescrire des médicaments ou à recourir à des interventions médicales, même lorsque d’autres approches thérapeutiques pourraient être plus appropriées.
      4. Stigmatisation: Les diagnostics excessifs ou inappropriés peuvent contribuer à la stigmatisation et à l’étiquetage des individus, influençant leur perception d’eux-mêmes et leur expérience sociale.

Il est essentiel que les professionnels de la santé mentale tiennent compte de ces risques et adoptent une approche clinique nuancée et attentive lors de l’évaluation et du diagnostic des troubles mentaux.

La pratique de la psychiatrie doit être guidée par une compréhension approfondie du patient dans son contexte global, en tenant compte de sa singularité, de ses expériences individuelles et de ses besoins spécifiques. Cela contribue à éviter les diagnostics abusifs et à garantir des soins de qualité et respectueux.

Il faut exprimer de manière très pertinente la nature fondamentalement relationnelle de l’hypnose thérapeutique et souligné l’importance de l’attention à la singularité de chaque patient.

L’hypnose en tant qu’approche thérapeutique met en lumière l’interaction dynamique entre le patient et le thérapeute, où la relation et la compréhension mutuelle jouent un rôle essentiel dans le processus de guérison.

Quelques points clés à retenir de notre approche incluent :

      1. Relation singulière: L’efficacité de l’hypnose thérapeutique découle en grande partie de la qualité de la relation entre le patient et le thérapeute. Il est essentiel que le thérapeute soit sensible à la singularité de chaque individu, respectant son vécu, ses besoins et ses objectifs.
      2. Ajustement relationnel: Le thérapeute doit s’adapter aux spécificités du patient, plutôt que de s’en tenir à des protocoles préétablis. Chaque personne a son propre rythme, ses propres réactions et son propre cheminement thérapeutique.
      3. Instant présent et imprévisibilité: L’hypnose se déroule dans l’instant présent, et chaque séance est unique. Les réponses et les expériences du patient sont imprévisibles, ce qui nécessite une approche flexible et adaptable.
      4. Évitement des entraves: L’utilisation rigide de protocoles préétablis peut restreindre la fluidité et la spontanéité de la dynamique thérapeutique. Laisser de la place à l’improvisation et à la créativité peut favoriser des découvertes profondes et des avancées thérapeutiques.

Tout ceci oblige à une compréhension profonde de l’art de l’hypnose thérapeutique. Elle souligne l’importance d’une présence attentive, d’une écoute empathique et de l’ouverture à l’expérience unique de chaque patient.

 Cela demande au thérapeute de faire preuve de flexibilité, de respect et d’humilité dans sa pratique, en mettant en avant la collaboration et la co-création entre le patient et le thérapeute.

Il faut formuler d’une manière perspicace les défis uniques liés à l’utilisation de l’hypnose thérapeutique dans le traitement de la dépression.

Et mettre en évidence la complexité de travailler avec des personnes dépressives et la nécessité d’une approche sensible et adaptable pour aider à briser les schémas rigides de la transe pathologique. Voici quelques points clés à retenir:

      1. Nature de la transe pathologique: La dépression peut être vue comme une forme de transe pathologique, où la personne est enfermée dans des schémas de pensées et d’émotions négatives et limitatives. Cette transe peut restreindre la perception, les perspectives et la capacité d’agir de la personne.
      2. Importance de l’ajustement thérapeutique: Lorsque l’hypnose est utilisée dans le traitement de la dépression, l’aptitude clé du thérapeute réside dans sa capacité à entrer dans la transe particulière que le patient vit et à s’y ajuster de manière souple et adaptable. Cela implique d’accompagner le patient avec une grande sensibilité et d’être en phase avec son expérience.
      3. Accent sur les ressources du patient: Plutôt que de se concentrer uniquement sur l’hypnotisabilité du patient, l’approche thérapeutique se tourne vers les ressources internes du patient, même si elles peuvent sembler limitées. L’objectif est d’aider le patient à accéder à ses propres capacités et à ses moyens de faire face, même s’ils sont réduits.
      4. Flexibilité et adaptation: En travaillant avec des personnes dépressives, la flexibilité et l’adaptabilité du thérapeute sont essentielles. Chaque personne présente un ensemble unique de symptômes et de besoins, nécessitant une approche individualisée et ajustée.

L’intégration de l’hypnose dans le traitement de la dépression nécessite une profonde compréhension de la condition dépressive et de l’art de l’hypnothérapie.

Cela met en évidence l’importance du thérapeute en tant que guide et collaborateur, aidant le patient à naviguer à travers les schémas rigides et à découvrir des voies de changement et de guérison. Cela demande un engagement envers l’empathie, la patience et la co-création d’un espace thérapeutique sécurisé et respectueux.

Il faut résumer la complexité et la diversité des compétences nécessaires au thérapeute travaillant avec des patients souffrant de dépression et utilisant l’hypnose thérapeutique comme outil.

 Notre description met en évidence la nécessité d’une approche clinique holistique et intégrée pour aborder la dépression et accompagner le patient de manière efficace et respectueuse. Voici quelques points importants à retenir :

      1. Compétences cliniques diverses: Le thérapeute doit être doté de compétences cliniques solides dans le traitement de la dépression. Cela comprend la compréhension des symptômes, l’évaluation des risques, la sélection et la combinaison appropriée d’outils thérapeutiques variés, tels que les approches familiales et contextuelles, la médication antidépressive, la prise en charge corporelle, etc.
      2. Conduite de transes thérapeutiques: En plus des compétences cliniques, le thérapeute doit maîtriser l’art de la conduite de transes thérapeutiques. Cela implique d’avoir une compréhension approfondie des processus hypnotiques, de la création d’un espace sécurisé et de l’adaptation à la singularité de chaque patient.
      3. Posture relationnelle sécurisante: L’alliage de compétences cliniques et hypnotiques permet au thérapeute de créer une posture relationnelle sécurisante et stable. Cette relation de confiance est essentielle pour permettre au patient de s’ouvrir, de s’engager dans le processus thérapeutique et de mobiliser ses ressources internes.
      4. Adaptation et intégration des outils: Le thérapeute doit être capable d’intégrer librement et d’adapter différents outils thérapeutiques en fonction des besoins et des réponses du patient. Cela inclut la flexibilité pour ajuster les interventions en cours de traitement.
      5. Approche individualisée: Chaque patient est unique, et une approche individualisée est essentielle pour répondre aux besoins spécifiques de chaque individu. Le thérapeute doit être capable de personnaliser le traitement en fonction de la situation et des caractéristiques du patient.

L’intégration réussie de l’hypnose dans le traitement de la dépression demande donc une combinaison de compétences cliniques, d’expertise en hypnothérapie et d’aptitudes relationnelles. Cela reflète la nature multidimensionnelle de la pratique thérapeutique et la nécessité d’une approche globale pour aborder la complexité de la dépression et guider les patients vers la guérison.

Notre approche sur l’utilisation de l’hypnose thérapeutique dans le traitement de la dépression est pertinente et innovante.

Nous mettons en évidence l’idée que l’hypnose peut servir à créer une nouvelle forme de transe dynamique et adaptative pour le patient, qui pourrait progressivement remplacer la transe pathologique associée à la dépression.

Voici quelques points clés à retenir de notre approche :

      1. Transformation de la transe pathologique: Plutôt que de simplement traiter les symptômes de la dépression, l’objectif de l’hypnose thérapeutique est de faciliter une transformation profonde de la transe pathologique. Il s’agit de créer un état d’esprit plus dynamique, malléable et adaptable, permettant au patient de sortir des schémas négatifs et limitatifs.
      2. Plate-forme expérientielle diversifiée: L’hypnose thérapeutique agit comme une plate-forme expérientielle où le patient peut vivre de nouvelles expériences et perspectives. Cette approche permet d’introduire de la diversité dans la perception et les réponses émotionnelles du patient, contribuant ainsi à briser les schémas rigides de la dépression.
      3. Focus sur l’expérience présente: Contrairement à une exploration analytique axée sur le passé, l’hypnose thérapeutique se concentre sur l’expérience présente du patient. Cela permet au patient de développer des ressources et des stratégies pour faire face aux défis actuels et futurs, plutôt que de se concentrer uniquement sur les origines de la souffrance.
      4. Processus de remplacement graduel: En offrant au patient une expérience nouvelle et positive, l’objectif est de graduellement supplanter la transe pathologique par une transe thérapeutique plus adaptative. Cela peut aider à créer un changement durable dans la perception de soi, des autres et du monde.

Notre conception thérapeutique reconnaît la puissance de l’hypnose comme outil pour créer des changements profonds et positifs dans la perception et l’expérience du patient. En mettant l’accent sur la création d’une nouvelle transe dynamique et adaptative, nous proposon une approche novatrice qui peut complémenter d’autres formes de traitement et offrir de nouvelles perspectives pour les personnes souffrant de dépression.

Notre description des repères dans l’approche hypnothérapeutique de la dépression est très éclairante et bien articulée. Nous mettons en évidence des étapes clés pour guider le processus de traitement de la dépression par l’hypnose. Voici une explication plus détaillée de chaque repère que nous  suggérons :

      1. Apaisement des souffrances (transes de confort et de sécurité): Les transes de confort et de sécurité visent à apaiser même légèrement la souffrance du patient. L’objectif est de créer un espace mental où le patient peut ressentir un soulagement émotionnel et un état de calme, même minime, pour établir une base de confiance et de relaxation.
      2. Recadrage progressif de l’expérience dépressive rigide: Ce repère implique de guider le patient à reconsidérer progressivement sa perception rigide de l’expérience dépressive. En recadrant les phénomènes existentiels d’une manière nouvelle et plus souple, le patient peut commencer à voir des perspectives positives et des possibilités de changement.
      3. Exploration des vertus de l’oubli et du doute: L’exploration des vertus de l’oubli implique d’aider le patient à lâcher prise sur les schémas négatifs du passé et à envisager de nouvelles façons de vivre le présent. Le doute constructif peut aider le patient à remettre en question les croyances limitantes et à ouvrir la porte à des pensées plus flexibles et positives.
      4. Exploration des perspectives d’avenir: Cela consiste à encourager le patient à envisager des perspectives d’avenir positives et à se projeter dans des scénarios où il peut voir des changements et des accomplissements possibles. Cela peut contribuer à renforcer la motivation et à créer une vision d’avenir plus lumineuse.
      5. Appropriation et intégration progressive des nouvelles expériences: Une fois que des nouvelles expériences positives ont été créées au cours des séances, il est important de guider le patient pour qu’il les intègre dans sa vie quotidienne. La transe fractionnée permet de répéter et de renforcer ces nouvelles expériences régulièrement, et le patient est encouragé à les utiliser librement dans sa vie quotidienne pour favoriser le changement durable.

L’approche que nous avons décrite montre comment l’hypnose peut être utilisée de manière stratégique pour faciliter un processus de transformation profonde et positive chez les personnes souffrant de dépression. En mettant l’accent sur des étapes spécifiques et des expériences nouvelles, nous proposons une approche concrète et progressive pour aider les patients à sortir de la transe pathologique et à développer une nouvelle transe dynamique et adaptative.

 La première consultation pour dépression en hypnothérapie

Nous abordons un point crucial lors de la première rencontre avec un patient dépressif en utilisant l’hypnose thérapeutique. La nature délicate de cette situation exige une approche soigneusement planifiée et adaptée, afin de créer un climat propice à la relation thérapeutique et de répondre aux besoins spécifiques du patient.

Voici quelques points à considérer en fonction de votre description :

      1. Gérer les attentes du patient: Il est important d’aborder dès le début que le changement ne se produit pas instantanément et que le processus thérapeutique peut nécessiter du temps. Le thérapeute peut discuter ouvertement de l’évolution progressive et du caractère réaliste des attentes de changement.
      2. Créer des expériences initiales positives: Votre suggestion d’introduire des objectifs extrêmement simples et faciles à vérifier pendant la première séance est excellente. Cela permet au patient de vivre des expériences positives dès le début du traitement, aidant ainsi à contrecarrer les prédictions négatives et à susciter une lueur d’espoir.
      3. Utilisation de transes de confort et d’exploration: Introduire des transes de confort, de sécurité ou d’exploration dès la première séance peut aider le patient à expérimenter des états mentaux différents et à commencer à se détacher de la transe pathologique. Cela peut également renforcer la confiance du patient dans le processus thérapeutique.
      4. Communication ouverte et empathique: La première rencontre doit également fournir un espace pour que le patient puisse s’exprimer librement sur ses préoccupations, ses attentes et ses craintes. Une écoute empathique et une communication ouverte contribuent à établir une base solide pour la relation thérapeutique.
      5. Planification du traitement à long terme: La première rencontre peut également inclure une discussion sur les objectifs à long terme du traitement, en expliquant comment les différentes étapes seront abordées et en informant le patient sur le rôle de l’hypnose thérapeutique dans ce processus.

L’approche que nous suggérons sous-entend une compréhension approfondie de la complexité de la dépression et de la nécessité de créer des expériences positives et d’espoir dès le début du traitement.

En combinant une évaluation clinique approfondie avec des expériences initiales positives, nous établissons une base solide pour un traitement hypnothérapeutique efficace et respectueux.

Notre description des distorsions temporelles dans le contexte de la dépression et de l’hypnose thérapeutique démontre une compréhension profonde et nuancée de la manière dont l’état dépressif influence la perception du temps et comment l’hypnothérapie doit être adaptée en conséquence.

Voici quelques points clés à retenir :

      1. Transe pathologique figée par le refus existentiel: Nous soulignons que la dépression est caractérisée par une transe pathologique figée, résultant du refus profond de la personne pour elle-même et pour ce qui se passe dans sa vie. Il est important de reconnaître que cette transe est profondément enracinée dans le vécu du patient.
      2. Contre-indications pour l’exploration analytique: Nous mettons en évidence que l’exploration analytique orientée vers le refus existentiel peut aggraver les souffrances du patient. Cela suggère qu’une approche analytique traditionnelle peut ne pas être appropriée dans le contexte de la dépression.
      3. Gestion prudente des projections temporelles: Nous mentionnons la nécessité de gérer avec précaution les projections dans l’avenir, les reviviscences du passé et l’expérience présente. Ces éléments doivent être abordés de manière délicate, compte tenu de la teinte négative du refus existentiel.
      4. Focus sur les expériences neutres ou soulageantes: Nous soulignons que l’attention devrait être dirigée vers des expériences hypnotiques qui offrent un certain soulagement au patient, même s’il s’agit de moments brefs ou de tonalités neutres. Ces expériences peuvent agir comme des points d’ancrage positifs pour guider le processus hypnotique.
      5. Précaution et adaptation personnalisée: Notre approche met en avant l’importance d’adapter l’hypnothérapie de manière personnalisée en fonction de la singularité de chaque patient et de ses besoins spécifiques. Cela demande une compréhension profonde de la condition dépressive et une sensibilité à l’état émotionnel du patient.

Notre approche révèle une profondeur de réflexion sur la manière dont l’hypnose thérapeutique peut être utilisée pour aborder la dépression de manière sensible et efficace. En mettant l’accent sur des expériences positives et en évitant les approches qui pourraient renforcer les schémas négatifs, vous proposez une approche bienveillante et adaptée pour guider les patients dépressifs vers la guérison.

Notre description de la dynamique de l’imagination dans le contexte de la dépression et de l’hypnose thérapeutique est mûrement réfléchie et repose sur une expérience clinique de plus de 40 ans. Nous mettons en évidence l’importance de formuler des suggestions directes et claires, ainsi que l’utilisation de techniques de recadrage pour introduire des changements positifs dans la perception et l’expérience du patient.

Les idées suicidaires

De plus, il faut aborder de manière responsable la question de l’idéation suicidaire et comment elle peut être approchée dans le contexte thérapeutique.

Voici quelques points clés à retenir :

      1. Suggestions directes et claires pour le changement: souligner que les suggestions simples, directes et claires sont plus appropriées pour créer une dynamique de changement dans la perception et l’expérience du patient dépressif. Ces suggestions peuvent être formulées dans une perspective de recadrage mental et corporel pour introduire une nouvelle manière de percevoir le vide, le temps et la nostalgie.
      2. Utilisation de la rhétorique du corps-sujet: utiliser la rhétorique du corps-sujet pour aider le patient à porter attention à lui-même et à prendre soin de lui-même. Cela peut aider à créer une connexion positive entre le patient et son propre corps, encourageant ainsi un changement dans la relation avec soi-même.
      3. Gérer l’idéation suicidaire: reconnaitre l’importance de traiter l’idéation suicidaire avec sérieux et de manière professionnelle. Nous proposons une approche thérapeutique pour explorer la labilité des perceptions et remettre en question la fixité des pensées morbides. Cette exploration est suivie par l’introduction d’alternatives possibles à l’idéation suicidaire, ainsi que le recadrage et l’amorce d’une perspective plus large sur les problèmes actuels du patient.
      4. Introduction de la diversité: d’où l’importance d’introduire la diversité dans les pensées et les perspectives du patient. Cela peut aider à élargir les options et à encourager un processus de réflexion plus nuancé.
      5. Amorce d’une progression en âge: Enfin proposer l’amorce d’une progression en âge comme une étape pour encourager le patient à envisager l’avenir de manière positive et constructive, en lien avec ses problèmes actuels.

Notre approche met en évidence une utilisation judicieuse de l’hypnose thérapeutique pour faciliter un changement profond et positif chez les patients dépressifs.

En mettant l’accent sur des suggestions claires, des techniques de recadrage et la gestion de l’idéation suicidaire, nous proposons une approche holistique et respectueuse pour aider les patients à transcender la transe pathologique et à trouver de nouvelles perspectives et ressources.

Nous  énumérons avec précision les éléments essentiels qui doivent être pris en compte dans l’application de l’hypnose thérapeutique dans le traitement de la dépression.

Notre approche met l’accent sur la compétence et l’expérience du thérapeute, ainsi que sur l’établissement d’une alliance thérapeutique solide. Voici une brève explication de chacun de ces éléments :

        1. Compétence du thérapeute et discrimination entre réalité et imagination: Le thérapeute doit avoir une expertise dans la prise en charge de la dépression et être capable de distinguer entre les dimensions imaginatives et concrètes de la réalité du patient. Cela permet de guider le processus thérapeutique de manière appropriée et sécurisée.
        2. Alliance thérapeutique solide: L’établissement d’une alliance thérapeutique solide est fondamental. Le patient doit se sentir en confiance, compris et soutenu par le thérapeute pour que le travail thérapeutique puisse se dérouler de manière efficace.
        3. Exploration en collaboration et négociation interne: L’exploration de la transe doit être entreprise en collaboration avec le patient, dans un climat de négociation entre les différentes parties conflictuelles de sa propre psyché. Cela permet au patient de jouer un rôle actif dans son propre processus de guérison.
        4. Objectif de transe clairement formulé: Avant chaque séance d’hypnose, l’objectif de la transe doit être clairement défini. Cela aide à orienter la séance et à guider le patient vers des expériences spécifiques et positives.
        5. Appropriation et intégration progressive des expériences: Les expériences de soulagement et de sécurité doivent être progressivement intégrées par le patient à travers des vérifications répétées au cours de la séance (transe fractionnée) et encouragées pour un usage autonome dans la vie quotidienne.
        6. Retour de transe explicite: Après la séance d’hypnose, le thérapeute doit clarifier le retour de transe avec le patient, en s’assurant que le patient est pleinement conscient de son état actuel et de sa relation avec l’expérience hypnotique.
        7. Climat sécurisant et processus de bienveillance envers soi-même: L’environnement thérapeutique doit favoriser un processus diplomatique de tolérance et de bienveillance envers soi-même. Cela permet au patient de progressivement accepter, apprivoiser et changer sa relation avec lui-même.

Notre approche met en avant l’importance de la collaboration, de la communication transparente et de la sécurité émotionnelle tout au long du processus thérapeutique. Ces éléments sont essentiels pour permettre au patient de développer de nouvelles perspectives et compétences dans la gestion de sa dépression.

Nous  décrivons comment l’utilisation de l’hypnose thérapeutique peut évoluer pour aider une personne souffrant de dépression à acquérir des compétences d’auto-hypnose et à intégrer ces états de transe dans sa vie quotidienne. Voici les points clés à retenir de votre explication :

      1. Évolution vers des états de transe variés et malléables: Au fur et à mesure que le traitement progresse, l’objectif est d’aider le patient à développer la capacité d’accéder à des états de transe variés et malléables. Cela signifie que le patient peut expérimenter des états de conscience différents de la transe pathologique liée à la dépression.
      2. Intégration de l’auto-hypnose: Une fois que le patient est capable d’expérimenter des états de transe différents, vous suggérez d’introduire l’auto-hypnose. Cela implique que le patient apprend à induire volontairement des états de transe bénéfiques pour lui-même, même en dehors des séances thérapeutiques.
      3. Vérification et utilisation dans la vie quotidienne: Nous soulignons l’importance de vérifier les expériences de transe du patient au cours de chaque séance et de suggérer qu’il utilise ces compétences d’auto-hypnose de manière autonome dans sa vie quotidienne. Cela favorise l’intégration de ces nouvelles compétences dans sa routine quotidienne.
      4. Naturalisation de l’auto-hypnose: Avec la pratique régulière de l’auto-hypnose, nous indiquons que le patient peut progressivement intégrer cette pratique de manière naturelle et spontanée dans son vécu ordinaire. Cela suggère que l’auto-hypnose peut devenir une compétence autonome qui fait partie intégrante de la vie du patient.
      5. Diminution de la nécessité du cadre thérapeutique: À mesure que le patient devient capable d’utiliser l’auto-hypnose de manière autonome, le besoin du cadre thérapeutique peut diminuer progressivement. Cela peut permettre au patient de s’appuyer davantage sur ses propres compétences pour gérer sa dépression et favoriser son bien-être mental.

Notre approche met en avant la progression vers l’autonomie et l’intégration des compétences d’auto-hypnose dans la vie quotidienne du patient, ce qui peut contribuer à renforcer son bien-être mental et à maintenir les bénéfices du traitement à long terme.

 

L’HYPNOTHÉRAPIE DES SCHÉMAS – Dr Belmère – COTEHY – Rabat – Maroc

L’HYPNOTHÉRAPIE DES SCHÉMAS - Dr Belmère - COTEHY - Rabat - Maroc

L’hypnothérapie des schémas est une  psychothérapie sous hypnose centrée sur les émotions

qui vise à aider les gens à comprendre et à changer les modèles de pensée et de comportement qui sont à l’origine de leurs difficultés émotionnelles. Il s’agit d’une approche holistique qui aborde les défis émotionnels à la fois sur le plan conscient et inconscient.

L’hypnothérapie des schémas se concentre sur les schémas de base de la personnalité,

qui sont des modèles de pensée et de comportement répétitifs qui ont été formés dans l’enfance et qui continuent de façonner les réponses émotionnelles de la personne à des situations actuelles. Les schémas peuvent inclure des croyances telles que « Je ne suis pas assez bon », « Je suis toujours seul » ou « Les gens ne sont pas dignes de confiance ».

Le but de l’hypnothérapie des schémas est de permettre aux gens de comprendre ces schémas et de les remplacer

par des pensées plus saines et des comportements plus adaptés. Cela se fait en travaillant sur les émotions et les souvenirs de l’enfance conscients et inconscients qui ont contribué à la formation de ces schémas, en développant des compétences de reproduction pour gérer les situations stressantes et en renforçant la confiance en soi.

L’hypnothérapie des schémas peut être utile pour traiter une variété de problèmes émotionnels

notamment la dépression, l’anxiété, les troubles de la personnalité, les troubles de l’alimentation et les troubles de l’humeur. Cette approche peut être particulièrement bénéfique pour les personnes qui ont des antécédents de traumatismes ou de relations dysfonctionnelles dans leur enfance.

En résumé, l’hypnothérapie des schémas est une forme de psychothérapie centrée sur les émotions

qui vise à aider les gens à comprendre et à changer les modèles de pensée et de comportement qui sont à l’origine de leurs difficultés émotionnelles. Cette approche aborde les défis émotionnels à la fois sur le plan conscient et inconscient pour aider les gens à atteindre une plus grande stabilité émotionnelle et un bien-être accru.

L’HYPNOTHÉRAPIE DES SCHÉMAS – Dr Belmère – COTEHY – Rabat – Maroc

L’HYPNOTHÉRAPIE DES SCHÉMAS - Dr Belmère - COTEHY - Rabat - Maroc

L’hypnothérapie des schémas est une  psychothérapie sous hypnose

centrée sur les émotions qui vise à aider les gens à comprendre et à changer les modèles de pensée et de comportement qui sont à l’origine de leurs difficultés émotionnelles. Il s’agit d’une approche holistique qui aborde les défis émotionnels à la fois sur le plan conscient et inconscient.

L’hypnothérapie des schémas se concentre sur les schémas de base de la personnalité,

qui sont des modèles de pensée et de comportement répétitifs qui ont été formés dans l’enfance et qui continuent de façonner les réponses émotionnelles de la personne à des situations actuelles. Les schémas peuvent inclure des croyances telles que « Je ne suis pas assez bon », « Je suis toujours seul » ou « Les gens ne sont pas dignes de confiance ».

Le but de l’hypnothérapie des schémas est de permettre aux gens de comprendre ces schémas et de les remplacer

par des pensées plus saines et des comportements plus adaptatifs. Cela se fait en travaillant sur les émotions et les souvenirs de l’enfance conscients et inconscients qui ont contribué à la formation de ces schémas, en développant des compétences de reproduction pour gérer les situations stressantes et en renforçant la confiance en soi.

L’hypnothérapie des schémas est utile pour traiter une variété de problèmes

émotionnels, notamment la dépression, l’anxiété, les troubles de la personnalité, les troubles de l’alimentation et les troubles de l’humeur. Cette approche peut être particulièrement bénéfique pour les personnes qui ont des antécédents de traumatismes ou de relations dysfonctionnelles dans leur enfance.

En résumé, l’hypnothérapie des schémas est une  psychothérapie centrée sur les émotions

qui vise à aider les gens à comprendre et à changer les modèles de pensée et de comportement qui sont à l’origine de leurs difficultés émotionnelles. Cette approche aborde les défis émotionnels à la fois sur le plan conscient et inconscient pour aider les gens à atteindre une plus grande stabilité émotionnelle et un bien-être accru.

L‘HYPNOTHÉRAPIE DE L’ACTIVATION COMPORTEMENTALE – Dr Belmère – COTEHY – Rabat – Maroc

L‘HYPNOTHÉRAPIE DE L'ACTIVATION COMPORTEMENTALE - Dr Belmère - COTEHY - Rabat - Maroc

L’hypnothérapie comportementale d’activation (CBT)

est une psychothérapie basée sur la théorie du comportement. Cette approche vise à identifier les pensées et comportements négatifs qui contribuent aux symptômes émotionnels et mentaux, tels que la dépression, l’anxiété, les troubles obsessionnels compulsifs (TOC), les troubles alimentaires, etc.

Le but de l’hypnothérapie CBT

est de remplacer ces pensées et comportements négatifs par des pensées et comportements plus positifs et adaptatifs. Elle utilise une combinaison d’expositions, de techniques de réapprentissage, de thérapie comportementale et cognitive pour aider les patients à changer leur façon de penser et de se comporter.

L’hypnothérapie CBT est souvent considérée comme un traitement efficace pour une variété de troubles

mentaux et émotionnels, et peut être administrée en individuel ou en groupe. Les séances de thérapie durent généralement environ 50 minutes, et le nombre de séances nécessaires varie en fonction de la gravité des symptômes et de la complexité du problème.

En résumé, L’hypnothérapie de l’activation comportementale est une  psychothérapie

qui vise à aider les individus à comprendre et à changer les pensées et comportements qui contribuent à leurs problèmes émotionnels et mentaux. Elle peut aider à améliorer les symptômes de divers troubles mentaux et émotionnels, y compris la dépression, l’anxiété, les TOC, les troubles alimentaires, etc.

L’hypnothérapie d’Acceptation et d’Engagement (ACT) – Dr Belmère – COTEHY – Rabat – Maroc

L’hypnothérapie d'Acceptation et d'Engagement (ACT) - Dr Belmère - COTEHY - Rabat - Maroc

L’hypnothérapie d’Acceptation et d’Engagement (ACT)

est une forme de thérapie comportementale qui vise à aider les individus à gérer les émotions difficiles et les pensées négatives, tout en renforçant leur engagement dans des activités significatives et significatives.

Le but de l’hypnothérapie ACT

est d’aider les personnes à se déconnecter de leurs pensées négatives et de leurs émotions, pour qu’elles puissent vivre une vie plus riche et plus significative.

L’hypnothérapie ACT se concentre sur le développement de six compétences clés,

notamment l’acceptation consciente, la défusion de la pensée, la conscience de soi, la valeur dirigée, le choix de l’action et la persévérance. En mettant l’accent sur ces compétences, les thérapeutes peuvent aider les personnes à mieux comprendre leurs émotions, à les accepter et à les gérer, tout en se concentrant sur des activités qui sont importantes pour eux.

L’hypnothérapie ACT peut être utile pour une variété de troubles mentaux

comprenant l’anxiété, la dépression, la toxicomanie, les troubles obsessionnels compulsifs (TOC) et les troubles de l’humeur. Les thérapeutes peuvent travailler avec les personnes en individuel ou en groupe, et la thérapie peut durer entre 8 et 20 séances.

Il est important de noter que L’hypnothérapie ACT ne vise pas à éliminer ou à supprimer les émotions difficiles ou les pensées négatives,

mais plutôt à aider les personnes à les accepter et à se concentrer sur des activités qui les rendent heureux et satisfaits. En travaillant avec un thérapeute qualifié si possible médecin, les personnes peuvent développer les compétences nécessaires pour mieux gérer les difficultés émotionnelles et vivre une vie plus significative et satisfaisante.

Stress, dépression, peurs, phobies, troubles compulsionnels, troubles alimentaires ou sexuels, crises d’angoisse de panique, perte de confiance, d’estime de soi, etc. Dr Jean-Victor Belmère – Rabat – Maroc

Dynamique des ACEs selon les périodes de vie

Tous ces troubles dits psychologiques ont tous un dénominateur COMMUN : l’anxiété.

Je suis stupéfait de voir comme certains traitent ces manifestations, qui perturbent lourdement la vie de nos semblables, au symptôme. C’est dire que l’on « coache » ou « traite » (thérapie) la confiance en soi, la crise d’angoisse, le stress etc. comme si la cause n’existait pas !

Et je vois affluer dans mon cabinet ou par zoom une quantité de patients qui après avoir été « coachés » ou « soignés » se retrouvent dans le temps avec des pathologies semblables ou amplifiées…

Certes à court terme la thérapie ou le coaching « au symptôme » permet d’atténuer le trouble… Mais à moyen ou long terme quelle efficacité ???

Combien de patients m’expliquent qu’ils ont appliqué des méthodes de développement personnel pour travailler sur eux-mêmes et pour conséquence ils sont là… assis devant vous à exprimer leur mal-être.

Et pourtant l’anxiété est omniprésente.

Vous la sentez quand ils vous serrent la main. Quand ils vous disent bonjour…

Vous la sentez à la manière de s’assoir, de vous regarder, de parler, dans leur regard…

Et puis cette étrange sensation « électromagnétique » qui exprime la souffrance de l’anxiété…

Et puis viennent les mots qui déclenchent les émotions, les larmes, qui signent le mal-être…

Et la parole déverse le flot de situations anxieuses avec les parents, avec les relations sentimentales, avec les études, avec le métier, avec les collègues, avec le ou la conjoint(e), et puis ces situations anxieuses sans aucune cause apparente.

Et souvent, très souvent -Trop souvent ( ?) – cette anxiété térébrante qui pollue chaque moment de la vie, cette anxiété généralisée, ce trouble d’anxiété généralisée (TAG) qui va s’amplifier et s’exprimer :

        • Dans des crises de panique, d’angoisse
        • Dans des compulsions alimentaires, (boulimie, hyperphagie, anorexie…)
        • Dans des addictions (shit, cocaïne, alcool, jeux, sexe, tabagie, …)
        • Dans des tics, des obsessions, des ruminations, des gestes répétitifs (TOCs)…
        • Dans des somatisations (boule dans la gorge, dans l’estomac, difficultés à respirer, accélération du cœur, rougeur du visage, sudations excessives, bouffées de chaleur, etc.)…
        • Dans des troubles du sommeil (insomnies, réveils nocturnes, cauchemars, sommeil non réparateur, fatigue…)
        • Dans des troubles de la relation (manque de confiance en soi, timidité, manque d’estime de soi, trouble de la parole en public, peur du regard de l’autre, difficultés à savoir qui l’on est, difficultés à dire « Non », troubles de relation dans le couple, phobie sociale, phobie scolaire… etc.)
        • Dans des peurs, phobies,
        • Dans des troubles apparemment organiques : Troubles digestifs, gastriques, colon et intestin irritables, douleurs musculaires, migraines, céphalées, tremblements, douleurs articulaires erratiques, dans des paralysies, des pertes de la sensibilité (parésie),
        • Dans les stress, Car il faut préciser que la plupart du temps quand les patients parlent de stress, ils parlent de l’anxiété : « Je suis stressé » est à traduire par « je suis anxieux »

L’anxiété… L’anxiété… Toujours l’anxiété
Thérapies brèves par Mansouria El Bouchikhi (coachMansouria) et Dr Jean-Victor Belmère 

L’anxiété est une souffrance source de toutes ces manifestations dont je viens de parler.

Mais traiter ces manifestations d’une manière autonome est une hérésie… Un NON-SENS !

        • Traiter une confiance en soi comme une perte de confiance en soi pure est dépourvue de bon sens…
        • Traiter une prise de poids comme une compulsion alimentaire pure est dépourvue de bon sens…
        • Traiter un stress en proposant d’apprendre à « gérer » son stress est une imbécilité crasse…
        • Traiter un TOC comme simplement une répétition impulsive et irrépressible c’est méconnaitre tous les mécanismes neurophysiologiques qui y concourent…
        • Traiter une addiction sans prendre en considération ses origines anxieuses c’est aboutir à une récidive…

Et je pourrais allonger la liste des énormités que l’on voit en coaching ou en thérapie.

Et je voudrais dire à ce sujet qu’un « bon coach » ou un « bon thérapeute » qui n’a pas été formé à la neurophysiologie, à la psychopathologie s’expose à des aggravations monstrueuses des états qu’il est sensé apaisé.

Soigné au symptôme est une aberration !

L’anxiété est une souffrance, qui altère les capacités fonctionnelles, mentales et émotionnelles.

L’anxiété a toujours une cause !

Au moment de la conception d’un enfant il y a un BIG BANG.
La pénétration d’une cellule dans une autre qui déploie une énergie considérable.

Et il se crée quelque chose.

Il se crée, ce que d’aucuns appellent l’âme, que l’on nomme aussi le moi, l’enfant intérieur, le subconscient et que je nommerai, personnellement, la conscience supérieure ou la conscience amplifiée, la subconscience…

Cette partie de soi est à l’origine de tout ce que l’on est…

Cette partie contrôle tout, tous vos systèmes, tous vos organes, tous vos métabolismes,

Au départ c’est originel, c’est totalement PUR, dépourvu de tout trouble, de toute pensée nuisible, de toute émotion intempestive.

Mais dès que le système neurologique et le cerveau se développe cette partie originelle et pure de vous, dans le ventre de votre mère, engrange des pollutions :

      • Les émotions de votre mère
      • Ses pensées
      • Ses conversations, notamment avec ses proches

Pollutions qui commencent à informer et influencer l’être pur que vous êtes.

Et puis vient le grand jour de la délivrance pour votre mère et votre venue au monde. Un grand bol d’air ! Vos poumons se déploient

Commence alors le calvaire.

Et vous êtes formatés par :

      • L’éducation : fais ceci, ne fais pas cela ! Termine ton assiette ! ETC.
      • La culture où vous vous développez (les règles de la famille, de la société, de la religion, etc.)
      • Et les croyances que l’on vous inculque (par exemple la peur du noir, des djinns, le conte de fée, les bonbons de récompense, l’instruction religieuse, etc. …)

Et la manière dont vous êtes formatés fabrique un personnage qui obéit à cette éducation, à cette culture, à ces croyances…

Mais au fond de vous… Votre subconscience a d’autres valeurs… D’ailleurs il vous arrive souvent d’entendre une petite voix qui vous dit : « Mais que fais-tu ? Ce n’est pas toi ! ».

Et ce conflit entre cet être pur et original et le personnage que vous êtes devenu crée un fond anxieux ! Un terreau d’anxiété où va pouvoir se développer la misère…

Un état anxieux plus ou moins important en fonction de votre épigénétique. Car cette confrontation peut être plus ou moins importante et anxiogène.

Sur ce fond anxieux va se faire votre développement d’enfant, d’adolescent et d’adulte jeune.

Or entre 0 et 8-10 ans – en fonction de chacun – le cerveau est immature. Il est incapable d’analyser certains événements de sa vie. Au-delà il les subit et les enregistre et deviennent des éléments pathogènes.

Cette mémorisation vécue génère l’anxiété et semble même déterminer la survenue de maladies diverses (obésité, cardiopathies, diabète) ou de troubles du comportement en matière de santé (comportements alimentaires, prise de risque, addictions…) à l’âge adulte. Cette mémorisation va jusqu’à modifier l’expression de notre épigénétique.

Et je voudrai citer Miller & Coll. à ce propos :

(Miller, G. E., Chen, E., & Parker, K. J. (2011). Psychological stress in childhood and susceptibility to the chronic diseases of aging: Moving toward a model of behavioral and biological mechanisms. Psychological Bulletin, 137(6), 959–997. https://doi.org/10.1037/a0024768 :

« … Les données les plus convaincantes proviennent d’études sur des enfants élevés dans la pauvreté ou maltraités par leurs parents, qui présentent une vulnérabilité accrue aux maladies vasculaires, aux maladies auto-immunes et à la mortalité prématurée.

Ces résultats soulèvent des questions théoriques difficiles.

Comment l’anxiété infantile pénètre-t-il sous la peau, au niveau moléculaire, pour affecter le risque de maladies ultérieures ?

Et comment y incube-t-il, donnant naissance à des maladies plusieurs décennies plus tard ?

Miller & coll. présente un modèle d’intégration biologique… qui soutient que l’anxiété infantile est « programmée » dans une cellule particulière, les macrophages, par le biais de marquages ​​épigénétiques, de modifications post-traductionnelles et de remodelage tissulaire.

Le modèle propose qu’au cours de la vie, ces tendances sont exacerbées par des tendances comportementales et une dérégulation hormonale, elle-même produit d’une exposition à l’anxiété précoce. Sur le plan comportemental, le modèle postule que l’anxiété de l’enfance engendre une vigilance excessive face aux menaces, une méfiance envers les autres, de mauvaises relations sociales, une autorégulation altérée et des choix de vie malsains. Sur le plan hormonal, l’anxiété précoce confère des schémas altérés de décharge endocrinienne et et du système nerveux autonome (végétatif). La réaction qui en résulte fait avancer les mécanismes pathogènes qui favorisent finalement les maladies chroniques »).

En réalité le cerveau immature se retrouve dans l’impossibilité d’identifier le caractère traumatique de ce qu’il vit et donc d’identifier ce qui lui fait du mal.

Il se retrouve, ainsi, confiné dans l’expérience pathogène. L’enfant va, alors, développer de graves troubles qui vont s’exprimer dans sa vie d’adolescent puis d’adulte dans l’anxiété et ses désordres (ceux décrits plus haut dans cet article).

Paradoxalement il y a eu peu d’études ou de travaux sur le sujet mis à part dans le contexte des enfants placés (Dumaret et al., 1997).

Il existe un véritable vide culturel et scientifique, qui conduit de nombreuses professions (médecins, soignants, travailleurs sociaux, psychologues et surtout coachs et thérapeutes…) à ne pas connaître, voire à occulter les liens entre le vécu traumatique des enfants, des adolescents et ses conséquences à l’âge adulte, et les conséquences en termes  de santé physique et de maladies chroniques.

Mais dès 1998 les publications anglophones abondent d’articles sur la fréquence, la sévérité et les formes multiples des conséquences, à l’âge adulte. Les résultats de ces recherches sont issus d’études soit rétrospectives, soit prospectives.

Dans les années 1990 Vincent Felitti (1993), responsable du département de médecine préventive au sein de la clinique Kaiser Permanente à San Diego, en Californie, s’est engagé ces études. Elles ont abouti à la célèbre communication de 1998 (Felitti et al., 1998 https://www.ajpmonline.org/article/S0749-3797(98)00017-8/fulltext)

D’ailleurs dans  la littérature scientifique internationale les termes d’Adverse Childhood Experiences (ACEs) font l’unanimité. (La première étude sur les ACEs a été menée aux États-Unis dans le cadre d’une collaboration entre les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et le Kaiser Permanente de San Diego entre 1995 et 1997, auprès d’une cohorte d’adultes (n=17 000) nés entre 1900 et 1978.)

Dynamique des ACEs selon les périodes de vie

Mon approche thérapeutique tient compte de ces données scientifiques et de mes connaissances en physiologie, physiopathologie et tout particulièrement en neurophysiologie. Elle tient compte de mon passé de chirurgien de médecin clinicien, activité exercée depuis bientôt 50 ans.

Classiquement l’anxiété semble avoir des moyens thérapeutiques bien codifiés :

      • Thérapie de la parole :
        • Psychothérapie spécifique
        • Thérapie des schémas
        • Thérapie cognitivo-comportementale
      • Médicaments anxiolytiques voire antidépresseurs (benzodiazépines, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine)

Les indications thérapeutiques varient selon le trouble anxieux, mais impliquent généralement l’association d’une psychothérapie spécifique du trouble et d’un traitement pharmacologique.Les classes de médicaments les plus couramment utilisés sont les benzodiazépines et les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine 

Et alors ?

On sait maintenant, avec le recul et l’expérience des thérapies ayant débutées au début du XXème siècle et se sont intensifiées au cours de la deuxième partie du XXème surtout après la 2eme guerre mondiale, on sait maintenant :

        • Que la thérapie par la parole demande du temps et la multiplication de séances sur plusieurs mois, voire plusieurs années, avec des résultats très aléatoires…
        • Que les thérapies médicamenteuses marchent dans les formes mineures avec des durée de traitement courts. Beaucoup de patients ingurgitent ces médicaments sur des années voire des décennies et, en contre-coup, deviennent dépendants…

Avec l’expérience clinique, des adaptations je me suis tourné vers ce qui m’a donné les meilleurs résultats sur du moyen-terme 10 – 15 séances et une stabilité sur le long terme.

J’utilise un mix que j’ai mis au point avec le temps et que j’adapte, en permanence, entre l’hypnose, l’EMDR, la thérapie des schémas, la TCC et l’EFT et que je détermine en fonction du patient qui est en face de moi et de la manière dont il évolue.

En réalité le cerveau crée des routines. Et j’utilise ces routines du cerveau pour vous débarrasser d’une manière profonde et durable tous les troubles dont j’ai parlé plus haut :

      • Dans des crises de panique, d’angoisse…
      • Dans des compulsions alimentaires, (boulimie, hyperphagie, anorexie…)
      • Dans des addictions (shit, cocaïne, alcool, jeux, sexe, tabagie, …)
      • Dans des tics, des obsessions, des ruminations, des gestes répétitifs (TOCs)…
      • Dans des somatisations (boule dans la gorge, dans l’estomac, difficultés à respirer, accélération du cœur, rougeur du visage, sudations excessives, bouffées de chaleur, etc.)…
      • Dans des troubles du sommeil (insomnies, réveils nocturnes, cauchemars, sommeil non réparateur, fatigue…)
      • Dans des troubles de la relation (manque de confiance en soi, timidité, manque d’estime de soi, trouble de la parole en public, peur du regard de l’autre, difficultés à savoir qui l’on est, difficultés à dire « Non », troubles de relation dans le couple, phobie sociale, phobie scolaire… etc.)
      • Dans des peurs, phobies,
      • Dans des troubles apparemment organiques : Troubles digestifs, gastriques, colon et intestin irritables, douleurs musculaires, migraines, céphalées, tremblements, douleurs articulaires erratiques, dans des paralysies, des pertes de la sensibilité (parésie),
      • Dans les stress

Mais mes indications thérapeutiques feront l’objet d’un autre article

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mots clés

Anxiété, abus sexuel, violence domestique, violence conjugale, violence domestique, maltraitance, enfants de parents handicapés, harcèlement,  abus de substance, alcoolisme, fumeur, obésité, activité physique, dépression, suicide, comportement sexuel, maladies sexuellement, cardiopathie, Adverse Childhood Experiences, ACE,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les troubles anxieux et l’hypnose – Rabat Maroc

Les troubles anxieux et l'hypnose

L’anxiété est un état psychophysiologique

caractérisé par

      • une agitation,
      • des préoccupations,
      • de la peur ou de l’angoisse,
      • de durée et d’intensité variables,
      • liée à un stimulus interne ou externe, qui n’est pas toujours facilement identifiable.
      • Entre certaines limites, l’anxiété doit être considérée comme une émotion adaptative, car indispensable à la survie.

Cependant, si elle se présente de manière chronique et excessive, jusqu’à modifier la vie d’une personne à divers degrés, un diagnostic de trouble anxieux peut être posé, caractérisé par une « anxiété pathologique ».

L’anxiété pathologique peut se manifester en relation avec des moments de fort stress exclusivement ou bien être présente de manière plutôt stable, c’est-à-dire prendre la forme d’un trait caractéristique de la personnalité.

Il existe évidemment des conditions intermédiaires, dans lesquelles l’individu fait l’expérience d’anxiété pathologique exclusivement durant certaines périodes de sa vie.

Les principaux troubles anxieux sont :

      • trouble d’anxiété de séparation,
      • mutisme sélectif,
      • phobie spécifique,
      • trouble d’anxiété sociale,
      • trouble panique,
      • agoraphobie,
      • trouble d’anxiété généralisée.

Trouble d’anxiété de séparation :

correspond à de la peur ou de l’anxiété excessive et inappropriée par rapport au stade du développement, concernant la séparation avec des personnes auxquelles l’individu est lié.

Mutisme sélectif :

il s’agit d’une difficulté continue à parler dans des situations sociales spécifiques où l’on s’attend à ce que le sujet parle (par exemple à l’école), bien qu’il soit à même de parler dans d’autres situations. Cette condition affecte les résultats scolaires, professionnels ou la communication sociale.

Phobie spécifique :

il s’agit d’une peur intense et irrationnelle face à un ou plusieurs objets ou bien face à des situations bien déterminées ; le symptôme principal de ce trouble est la très forte tendance à éviter l’objet qui fait peur. La personne phobique ne peut pas se soustraire volontairement à sa peur, tout en ayant une assez bonne conscience du fait que son intense émotion est irrationnelle et peut affecter l’adaptation optimale à son milieu de vie.

Trouble d’anxiété sociale :

c’est la peur, souvent intense et envahissante, de se trouver dans une situation sociale donnée ou à avoir une prestation inhabituelle qui entraîne, en quelque sorte, le jugement de la part d’autres personnes ; le contact avec les autres est caractérisé par la peur d’être mal jugé et de se comporter de manière gênante et humiliante.

Trouble panique :

il s’agit de la répétition chronique d’attaques de malaise et peur très intenses (attaques de paniques provoquant tremblements, vertiges, douleurs à la poitrine, difficultés dans la respiration, sensation de mourir et d’autres symptômes moins fréquents ; la durée est d’habitude – mais pas toujours – brève, de l’ordre de quelques minutes). L’individu a peur que l’attaque se représente et/ou de ses conséquences et tend à modifier son style de vie à cause de ces possibilités.

Agoraphobie :

il s’agit de la peur ou de l’anxiété importante qui se manifestent pendant l’utilisation de moyens de transport public, dans les espaces ouverts, pendant les queues ou dans la foule ou encore en étant tout seul en dehors de chez soi. Le trouble implique que la personne, en ayant peur, tende à éviter ces situations. Elle considère qu’il serait difficile ou gênant de sortir, car elle craint de ne pas être secourue en cas de besoin.

Trouble d’anxiété généralisée :

il s’agit d’un trouble chronique commun, caractérisé par un état d’anxiété durable et fluctuant, qui n’est pas justifié ni par un objet ni par une situation particulière. La personne souffrant de ce trouble ressent en permanence la sensation de craindre quelque chose d’indéfini ; elle est tout le temps dans une agitation constante qui lui est très difficile de contrôler. La tension musculaire continue et la réaction du système nerveux autonome peuvent amener au développement de migraines, de palpitations, de vertiges, de troubles gastriques et d’insomnie.

Les troubles anxieux ont comme dénominateur commun une réponse excessive du système nerveux sympathique,

qui se traduit en une série de symptômes corporels non adaptatifs, en réponse à des événements plus ou moins stressants ou perçus comme tels.

Certaines hormones produites en réponse au stress, comme le cortisol, peuvent contribuer à augmenter l’état d’activation psychophysiologique.

Sur le plan psychologique, un Moi affaibli, des capacités d’élaboration cognitive et émotionnelle insuffisantes et des comportements dysfonctionnels peuvent maintenir ou aggraver les symptômes.

Critères diagnostiques

On relève : un sentiment de peur, d’angoisse ou de préoccupation inappropriée sans rapport avec la situation réelle, des symptômes physiques, tels que la transpiration, la tachycardie, les tremblements, les vertiges, l’évanouissements, les nausées, l’agitation psychomotrice, les douleurs à la poitrine, un blocage du langage ou de certains comportements.

Pour une présentation plus détaillée des critères de chaque trouble, on renvoie à la consultation du DSM-5.

Indications thérapeutiques cliniques

L’hypnose peut être employée efficacement dans les troubles anxieux, pour agir sur les symptômes physiques, sur l’élaboration cognitive et émotionnelle (en intervenant sur les schémas cognitifs et sur les convictions dysfonctionnelles, sur les images mentales et sur la perception des émotions) et sur les comportements dysfonctionnels.

Dr Jean-Victor Belmère 

Hypnose@docteurbelmere.com

Docteur Belmère Carte de Visite
HYPNOSE – DÉPRESSION – TOC – PEURS – PHOBIES – ANXIÉTÉ – ANGOISSES – MAL-ÊTRE – TABAC – POIDS – PERFORMANCE – TROUBLES SEXUELS – TROUBLES ALIMENTAIRES – ENFANTS – ADOLESCENTS – ADULTES – COUPLES

Guérissez de votre dépression, définitivement et reprenez une vie normale et tranquille -Dr Belmère Rabat

Fini la dépression avec le Dr Belmère

Une dépression ne se développe PAS à partir de rien, comme cela, en réaction à une difficulté.

Une dépression se développe sur un bon terreau, une bonne terre où elle peut grandir avec les éléments nutritifs

C’est comme une mauvaise herbe dans un beau jardin

Ses mauvaises racines vont se nourrir de tout en se développant à bas bruit

Et puis à l’instant elle bourgeonne, et prend son envolée et devient, apparemment, une belle plante qui dévaste le jardin. Car elle a pris la précaution d’étendre ses racines, à bas bruit, et dans tout le jardin.

Quand elle apparaît ce ne sont PAS quelques petites drogues qui vont la déloger !

Au contraire ces drogues (anxiolytiques, antidépresseurs) la fixe, Et contribue à ancrer l’idée que vous êtes en dépression.

Ces drogues sont des filtres qui masquent les racines profondément dissimulées dans tout votre être. Nous sommes là, à la base de la thérapie que je vais vous proposer

Dans un premier il faudra accéder à la cause initiale, Sur laquelle s’est construit un château d’émotions comme un château de cartes. Émotions qui deviennent prépondérantes et masquent la cause originelle.

L’économie du vivant a prévu des processus de réparation physique et mental et c’est à ces process de réparation que nous allons accéder.

Une fois la cause initiale cicatrisée et les racines profondes éradiquées le château de cartes des émotions s’effondrent

Il reste des comportements, des réflexes compulsifs qu’il faut alors nettoyer

Et la guérison survient comme par magie !

Il faut alors protéger le terreau profond par des ancrages répulsifs en utilisant les moyens de défense innés et spécifiques propres à l’économie du vivant

Et alors ?

Vous êtes ENFIN, face à vous-même, face à la (le) vrai(e) Vous…

Débarrassé(e) du lavage de cerveau que l’Éducation, l’environnement, la culture et les croyances ont emprisonnée dans une sorte de cadre (je préfère tunnel) mortifère et vicieux

Et le jour où cette cage est enfin ouverte, Vous et votre entourage, par effets « miroir »  en subissent toute l’amplitude car connectés avec vous-même (la vraie ou le vrai) vous êtes connecté(e) avec ce qui est le plus originel et naturel dans la vie, et votre vie dans l’univers.

Une paix, une sérénité, une tranquillité s’installe en vous qui sont communicatives

Dans ce conteste l’association thérapeutique médicale de plusieurs « techniques » dont l’HYPNOSE est le centre est la seule alternative possible en traitement définitif de cela dépression

L’industrie pharmaceutique fait son fric avec ses remèdes sans cesse plus performant dans l’addiction mais je vais vous conduire à une désaccoutumance complète de tout antidépresseurs ou anxiolytiques