L’HYPNOTHÉRAPIE DES SCHÉMAS – Dr Belmère – COTEHY – Rabat – Maroc

L’HYPNOTHÉRAPIE DES SCHÉMAS - Dr Belmère - COTEHY - Rabat - Maroc

L’hypnothérapie des schémas est une psychothérapie sous hypnose centrée sur les émotions

qui vise à aider les gens à comprendre et à changer les modèles de pensée et de comportement qui sont à l’origine de leurs difficultés émotionnelles. Il s’agit d’une approche holistique qui aborde les défis émotionnels à la fois sur le plan conscient et inconscient.

L’hypnothérapie des schémas se concentre sur les schémas de base de la personnalité,

qui sont des modèles de pensée et de comportement répétitifs qui ont été formés dans l’enfance et qui continuent de façonner les réponses émotionnelles de la personne à des situations actuelles. Les schémas peuvent inclure des croyances telles que « Je ne suis pas assez bon », « Je suis toujours seul » ou « Les gens ne sont pas dignes de confiance ».

Le but de l’hypnothérapie des schémas est de permettre aux gens de comprendre ces schémas et de les remplacer

par des pensées plus saines et des comportements plus adaptés. Cela se fait en travaillant sur les émotions et les souvenirs de l’enfance conscients et inconscients qui ont contribué à la formation de ces schémas, en développant des compétences de reproduction pour gérer les situations stressantes et en renforçant la confiance en soi.

L’hypnothérapie des schémas peut être utile pour traiter une variété de problèmes émotionnels

notamment la dépression, l’anxiété, les troubles de la personnalité, les troubles de l’alimentation et les troubles de l’humeur. Cette approche peut être particulièrement bénéfique pour les personnes qui ont des antécédents de traumatismes ou de relations dysfonctionnelles dans leur enfance.

En résumé, l’hypnothérapie des schémas est une forme de psychothérapie centrée sur les émotions

qui vise à aider les gens à comprendre et à changer les modèles de pensée et de comportement qui sont à l’origine de leurs difficultés émotionnelles. Cette approche aborde les défis émotionnels à la fois sur le plan conscient et inconscient pour aider les gens à atteindre une plus grande stabilité émotionnelle et un bien-être accru.

L’HYPNOTHÉRAPIE DES SCHÉMAS – Dr Belmère – COTEHY – Rabat – Maroc

L’HYPNOTHÉRAPIE DES SCHÉMAS - Dr Belmère - COTEHY - Rabat - Maroc

L’hypnothérapie des schémas est une psychothérapie sous hypnose

centrée sur les émotions qui vise à aider les gens à comprendre et à changer les modèles de pensée et de comportement qui sont à l’origine de leurs difficultés émotionnelles. Il s’agit d’une approche holistique qui aborde les défis émotionnels à la fois sur le plan conscient et inconscient.

L’hypnothérapie des schémas se concentre sur les schémas de base de la personnalité,

qui sont des modèles de pensée et de comportement répétitifs qui ont été formés dans l’enfance et qui continuent de façonner les réponses émotionnelles de la personne à des situations actuelles. Les schémas peuvent inclure des croyances telles que « Je ne suis pas assez bon », « Je suis toujours seul » ou « Les gens ne sont pas dignes de confiance ».

Le but de l’hypnothérapie des schémas est de permettre aux gens de comprendre ces schémas et de les remplacer

par des pensées plus saines et des comportements plus adaptatifs. Cela se fait en travaillant sur les émotions et les souvenirs de l’enfance conscients et inconscients qui ont contribué à la formation de ces schémas, en développant des compétences de reproduction pour gérer les situations stressantes et en renforçant la confiance en soi.

L’hypnothérapie des schémas est utile pour traiter une variété de problèmes

émotionnels, notamment la dépression, l’anxiété, les troubles de la personnalité, les troubles de l’alimentation et les troubles de l’humeur. Cette approche peut être particulièrement bénéfique pour les personnes qui ont des antécédents de traumatismes ou de relations dysfonctionnelles dans leur enfance.

En résumé, l’hypnothérapie des schémas est une psychothérapie centrée sur les émotions

qui vise à aider les gens à comprendre et à changer les modèles de pensée et de comportement qui sont à l’origine de leurs difficultés émotionnelles. Cette approche aborde les défis émotionnels à la fois sur le plan conscient et inconscient pour aider les gens à atteindre une plus grande stabilité émotionnelle et un bien-être accru.

L‘HYPNOTHÉRAPIE DE L’ACTIVATION COMPORTEMENTALE – Dr Belmère – COTEHY – Rabat – Maroc

L‘HYPNOTHÉRAPIE DE L'ACTIVATION COMPORTEMENTALE - Dr Belmère - COTEHY - Rabat - Maroc

L’hypnothérapie comportementale d’activation (CBT)

est une psychothérapie basée sur la théorie du comportement. Cette approche vise à identifier les pensées et comportements négatifs qui contribuent aux symptômes émotionnels et mentaux, tels que la dépression, l’anxiété, les troubles obsessionnels compulsifs (TOC), les troubles alimentaires, etc.

Le but de l’hypnothérapie CBT

est de remplacer ces pensées et comportements négatifs par des pensées et comportements plus positifs et adaptatifs. Elle utilise une combinaison d’expositions, de techniques de réapprentissage, de thérapie comportementale et cognitive pour aider les patients à changer leur façon de penser et de se comporter.

L’hypnothérapie CBT est souvent considérée comme un traitement efficace pour une variété de troubles

mentaux et émotionnels, et peut être administrée en individuel ou en groupe. Les séances de thérapie durent généralement environ 50 minutes, et le nombre de séances nécessaires varie en fonction de la gravité des symptômes et de la complexité du problème.

En résumé, L’hypnothérapie de l’activation comportementale est une psychothérapie

qui vise à aider les individus à comprendre et à changer les pensées et comportements qui contribuent à leurs problèmes émotionnels et mentaux. Elle peut aider à améliorer les symptômes de divers troubles mentaux et émotionnels, y compris la dépression, l’anxiété, les TOC, les troubles alimentaires, etc.

L’hypnothérapie d’Acceptation et d’Engagement (ACT) – Dr Belmère – COTEHY – Rabat – Maroc

L’hypnothérapie d'Acceptation et d'Engagement (ACT) - Dr Belmère - COTEHY - Rabat - Maroc

L’hypnothérapie d’Acceptation et d’Engagement (ACT)

est une forme de thérapie comportementale qui vise à aider les individus à gérer les émotions difficiles et les pensées négatives, tout en renforçant leur engagement dans des activités significatives et significatives.

Le but de l’hypnothérapie ACT

est d’aider les personnes à se déconnecter de leurs pensées négatives et de leurs émotions, pour qu’elles puissent vivre une vie plus riche et plus significative.

L’hypnothérapie ACT se concentre sur le développement de six compétences clés,

notamment l’acceptation consciente, la défusion de la pensée, la conscience de soi, la valeur dirigée, le choix de l’action et la persévérance. En mettant l’accent sur ces compétences, les thérapeutes peuvent aider les personnes à mieux comprendre leurs émotions, à les accepter et à les gérer, tout en se concentrant sur des activités qui sont importantes pour eux.

L’hypnothérapie ACT peut être utile pour une variété de troubles mentaux

comprenant l’anxiété, la dépression, la toxicomanie, les troubles obsessionnels compulsifs (TOC) et les troubles de l’humeur. Les thérapeutes peuvent travailler avec les personnes en individuel ou en groupe, et la thérapie peut durer entre 8 et 20 séances.

Il est important de noter que L’hypnothérapie ACT ne vise pas à éliminer ou à supprimer les émotions difficiles ou les pensées négatives,

mais plutôt à aider les personnes à les accepter et à se concentrer sur des activités qui les rendent heureux et satisfaits. En travaillant avec un thérapeute qualifié si possible médecin, les personnes peuvent développer les compétences nécessaires pour mieux gérer les difficultés émotionnelles et vivre une vie plus significative et satisfaisante.

Stress, dépression, peurs, phobies, troubles compulsionnels, troubles alimentaires ou sexuels, crises d’angoisse de panique, perte de confiance, d’estime de soi, etc. Dr Jean-Victor Belmère – Rabat – Maroc

Dynamique des ACEs selon les périodes de vie

Tous ces troubles dits psychologiques ont tous un dénominateur COMMUN : l’anxiété.

Je suis stupéfait de voir comme certains traitent ces manifestations, qui perturbent lourdement la vie de nos semblables, au symptôme. C’est dire que l’on « coache » ou « traite » (thérapie) la confiance en soi, la crise d’angoisse, le stress etc. comme si la cause n’existait pas !

Et je vois affluer dans mon cabinet ou par zoom une quantité de patients qui après avoir été « coachés » ou « soignés » se retrouvent dans le temps avec des pathologies semblables ou amplifiées…

Certes à court terme la thérapie ou le coaching « au symptôme » permet d’atténuer le trouble… Mais à moyen ou long terme quelle efficacité ???

Combien de patients m’expliquent qu’ils ont appliqué des méthodes de développement personnel pour travailler sur eux-mêmes et pour conséquence ils sont là… assis devant vous à exprimer leur mal-être.

Et pourtant l’anxiété est omniprésente.

Vous la sentez quand ils vous serrent la main. Quand ils vous disent bonjour…

Vous la sentez à la manière de s’assoir, de vous regarder, de parler, dans leur regard…

Et puis cette étrange sensation « électromagnétique » qui exprime la souffrance de l’anxiété…

Et puis viennent les mots qui déclenchent les émotions, les larmes, qui signent le mal-être…

Et la parole déverse le flot de situations anxieuses avec les parents, avec les relations sentimentales, avec les études, avec le métier, avec les collègues, avec le ou la conjoint(e), et puis ces situations anxieuses sans aucune cause apparente.

Et souvent, très souvent -Trop souvent ( ?) – cette anxiété térébrante qui pollue chaque moment de la vie, cette anxiété généralisée, ce trouble d’anxiété généralisée (TAG) qui va s’amplifier et s’exprimer :

        • Dans des crises de panique, d’angoisse
        • Dans des compulsions alimentaires, (boulimie, hyperphagie, anorexie…)
        • Dans des addictions (shit, cocaïne, alcool, jeux, sexe, tabagie, …)
        • Dans des tics, des obsessions, des ruminations, des gestes répétitifs (TOCs)…
        • Dans des somatisations (boule dans la gorge, dans l’estomac, difficultés à respirer, accélération du cœur, rougeur du visage, sudations excessives, bouffées de chaleur, etc.)…
        • Dans des troubles du sommeil (insomnies, réveils nocturnes, cauchemars, sommeil non réparateur, fatigue…)
        • Dans des troubles de la relation (manque de confiance en soi, timidité, manque d’estime de soi, trouble de la parole en public, peur du regard de l’autre, difficultés à savoir qui l’on est, difficultés à dire « Non », troubles de relation dans le couple, phobie sociale, phobie scolaire… etc.)
        • Dans des peurs, phobies,
        • Dans des troubles apparemment organiques : Troubles digestifs, gastriques, colon et intestin irritables, douleurs musculaires, migraines, céphalées, tremblements, douleurs articulaires erratiques, dans des paralysies, des pertes de la sensibilité (parésie),
        • Dans les stress, Car il faut préciser que la plupart du temps quand les patients parlent de stress, ils parlent de l’anxiété : « Je suis stressé » est à traduire par « je suis anxieux »

L’anxiété… L’anxiété… Toujours l’anxiété
Thérapies brèves par Mansouria El Bouchikhi (coachMansouria) et Dr Jean-Victor Belmère

L’anxiété est une souffrance source de toutes ces manifestations dont je viens de parler.

Mais traiter ces manifestations d’une manière autonome est une hérésie… Un NON-SENS !

        • Traiter une confiance en soi comme une perte de confiance en soi pure est dépourvue de bon sens…
        • Traiter une prise de poids comme une compulsion alimentaire pure est dépourvue de bon sens…
        • Traiter un stress en proposant d’apprendre à « gérer » son stress est une imbécilité crasse…
        • Traiter un TOC comme simplement une répétition impulsive et irrépressible c’est méconnaitre tous les mécanismes neurophysiologiques qui y concourent…
        • Traiter une addiction sans prendre en considération ses origines anxieuses c’est aboutir à une récidive…

Et je pourrais allonger la liste des énormités que l’on voit en coaching ou en thérapie.

Et je voudrais dire à ce sujet qu’un « bon coach » ou un « bon thérapeute » qui n’a pas été formé à la neurophysiologie, à la psychopathologie s’expose à des aggravations monstrueuses des états qu’il est sensé apaisé.

Soigné au symptôme est une aberration !

L’anxiété est une souffrance, qui altère les capacités fonctionnelles, mentales et émotionnelles.

L’anxiété a toujours une cause !

Au moment de la conception d’un enfant il y a un BIG BANG.
La pénétration d’une cellule dans une autre qui déploie une énergie considérable.

Et il se crée quelque chose.

Il se crée, ce que d’aucuns appellent l’âme, que l’on nomme aussi le moi, l’enfant intérieur, le subconscient et que je nommerai, personnellement, la conscience supérieure ou la conscience amplifiée, la subconscience…

Cette partie de soi est à l’origine de tout ce que l’on est…

Cette partie contrôle tout, tous vos systèmes, tous vos organes, tous vos métabolismes,

Au départ c’est originel, c’est totalement PUR, dépourvu de tout trouble, de toute pensée nuisible, de toute émotion intempestive.

Mais dès que le système neurologique et le cerveau se développe cette partie originelle et pure de vous, dans le ventre de votre mère, engrange des pollutions :

      • Les émotions de votre mère
      • Ses pensées
      • Ses conversations, notamment avec ses proches

Pollutions qui commencent à informer et influencer l’être pur que vous êtes.

Et puis vient le grand jour de la délivrance pour votre mère et votre venue au monde. Un grand bol d’air ! Vos poumons se déploient

Commence alors le calvaire.

Et vous êtes formatés par :

      • L’éducation : fais ceci, ne fais pas cela ! Termine ton assiette ! ETC.
      • La culture où vous vous développez (les règles de la famille, de la société, de la religion, etc.)
      • Et les croyances que l’on vous inculque (par exemple la peur du noir, des djinns, le conte de fée, les bonbons de récompense, l’instruction religieuse, etc. …)

Et la manière dont vous êtes formatés fabrique un personnage qui obéit à cette éducation, à cette culture, à ces croyances…

Mais au fond de vous… Votre subconscience a d’autres valeurs… D’ailleurs il vous arrive souvent d’entendre une petite voix qui vous dit : « Mais que fais-tu ? Ce n’est pas toi ! ».

Et ce conflit entre cet être pur et original et le personnage que vous êtes devenu crée un fond anxieux ! Un terreau d’anxiété où va pouvoir se développer la misère…

Un état anxieux plus ou moins important en fonction de votre épigénétique. Car cette confrontation peut être plus ou moins importante et anxiogène.

Sur ce fond anxieux va se faire votre développement d’enfant, d’adolescent et d’adulte jeune.

Or entre 0 et 8-10 ans – en fonction de chacun – le cerveau est immature. Il est incapable d’analyser certains événements de sa vie. Au-delà il les subit et les enregistre et deviennent des éléments pathogènes.

Cette mémorisation vécue génère l’anxiété et semble même déterminer la survenue de maladies diverses (obésité, cardiopathies, diabète) ou de troubles du comportement en matière de santé (comportements alimentaires, prise de risque, addictions…) à l’âge adulte. Cette mémorisation va jusqu’à modifier l’expression de notre épigénétique.

Et je voudrai citer Miller & Coll. à ce propos :

(Miller, G. E., Chen, E., & Parker, K. J. (2011). Psychological stress in childhood and susceptibility to the chronic diseases of aging: Moving toward a model of behavioral and biological mechanisms. Psychological Bulletin, 137(6), 959–997. https://doi.org/10.1037/a0024768 :

« … Les données les plus convaincantes proviennent d’études sur des enfants élevés dans la pauvreté ou maltraités par leurs parents, qui présentent une vulnérabilité accrue aux maladies vasculaires, aux maladies auto-immunes et à la mortalité prématurée.

Ces résultats soulèvent des questions théoriques difficiles.

Comment l’anxiété infantile pénètre-t-il sous la peau, au niveau moléculaire, pour affecter le risque de maladies ultérieures ?

Et comment y incube-t-il, donnant naissance à des maladies plusieurs décennies plus tard ?

Miller & coll. présente un modèle d’intégration biologique… qui soutient que l’anxiété infantile est « programmée » dans une cellule particulière, les macrophages, par le biais de marquages ​​épigénétiques, de modifications post-traductionnelles et de remodelage tissulaire.

Le modèle propose qu’au cours de la vie, ces tendances sont exacerbées par des tendances comportementales et une dérégulation hormonale, elle-même produit d’une exposition à l’anxiété précoce. Sur le plan comportemental, le modèle postule que l’anxiété de l’enfance engendre une vigilance excessive face aux menaces, une méfiance envers les autres, de mauvaises relations sociales, une autorégulation altérée et des choix de vie malsains. Sur le plan hormonal, l’anxiété précoce confère des schémas altérés de décharge endocrinienne et et du système nerveux autonome (végétatif). La réaction qui en résulte fait avancer les mécanismes pathogènes qui favorisent finalement les maladies chroniques »).

En réalité le cerveau immature se retrouve dans l’impossibilité d’identifier le caractère traumatique de ce qu’il vit et donc d’identifier ce qui lui fait du mal.

Il se retrouve, ainsi, confiné dans l’expérience pathogène. L’enfant va, alors, développer de graves troubles qui vont s’exprimer dans sa vie d’adolescent puis d’adulte dans l’anxiété et ses désordres (ceux décrits plus haut dans cet article).

Paradoxalement il y a eu peu d’études ou de travaux sur le sujet mis à part dans le contexte des enfants placés (Dumaret et al., 1997).

Il existe un véritable vide culturel et scientifique, qui conduit de nombreuses professions (médecins, soignants, travailleurs sociaux, psychologues et surtout coachs et thérapeutes…) à ne pas connaître, voire à occulter les liens entre le vécu traumatique des enfants, des adolescents et ses conséquences à l’âge adulte, et les conséquences en termes de santé physique et de maladies chroniques.

Mais dès 1998 les publications anglophones abondent d’articles sur la fréquence, la sévérité et les formes multiples des conséquences, à l’âge adulte. Les résultats de ces recherches sont issus d’études soit rétrospectives, soit prospectives.

Dans les années 1990 Vincent Felitti (1993), responsable du département de médecine préventive au sein de la clinique Kaiser Permanente à San Diego, en Californie, s’est engagé ces études. Elles ont abouti à la célèbre communication de 1998 (Felitti et al., 1998 https://www.ajpmonline.org/article/S0749-3797(98)00017-8/fulltext)

D’ailleurs dans la littérature scientifique internationale les termes d’Adverse Childhood Experiences (ACEs) font l’unanimité. (La première étude sur les ACEs a été menée aux États-Unis dans le cadre d’une collaboration entre les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et le Kaiser Permanente de San Diego entre 1995 et 1997, auprès d’une cohorte d’adultes (n=17 000) nés entre 1900 et 1978.)

Dynamique des ACEs selon les périodes de vie

Mon approche thérapeutique tient compte de ces données scientifiques et de mes connaissances en physiologie, physiopathologie et tout particulièrement en neurophysiologie. Elle tient compte de mon passé de chirurgien de médecin clinicien, activité exercée depuis bientôt 50 ans.

Classiquement l’anxiété semble avoir des moyens thérapeutiques bien codifiés :

      • Thérapie de la parole :
        • Psychothérapie spécifique
        • Thérapie des schémas
        • Thérapie cognitivo-comportementale
      • Médicaments anxiolytiques voire antidépresseurs (benzodiazépines, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine)

Les indications thérapeutiques varient selon le trouble anxieux, mais impliquent généralement l’association d’une psychothérapie spécifique du trouble et d’un traitement pharmacologique.Les classes de médicaments les plus couramment utilisés sont les benzodiazépines et les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine

Et alors ?

On sait maintenant, avec le recul et l’expérience des thérapies ayant débutées au début du XXème siècle et se sont intensifiées au cours de la deuxième partie du XXème surtout après la 2eme guerre mondiale, on sait maintenant :

        • Que la thérapie par la parole demande du temps et la multiplication de séances sur plusieurs mois, voire plusieurs années, avec des résultats très aléatoires…
        • Que les thérapies médicamenteuses marchent dans les formes mineures avec des durée de traitement courts. Beaucoup de patients ingurgitent ces médicaments sur des années voire des décennies et, en contre-coup, deviennent dépendants…

Avec l’expérience clinique, des adaptations je me suis tourné vers ce qui m’a donné les meilleurs résultats sur du moyen-terme 10 – 15 séances et une stabilité sur le long terme.

J’utilise un mix que j’ai mis au point avec le temps et que j’adapte, en permanence, entre l’hypnose, l’EMDR, la thérapie des schémas, la TCC et l’EFT et que je détermine en fonction du patient qui est en face de moi et de la manière dont il évolue.

En réalité le cerveau crée des routines. Et j’utilise ces routines du cerveau pour vous débarrasser d’une manière profonde et durable tous les troubles dont j’ai parlé plus haut :

      • Dans des crises de panique, d’angoisse…
      • Dans des compulsions alimentaires, (boulimie, hyperphagie, anorexie…)
      • Dans des addictions (shit, cocaïne, alcool, jeux, sexe, tabagie, …)
      • Dans des tics, des obsessions, des ruminations, des gestes répétitifs (TOCs)…
      • Dans des somatisations (boule dans la gorge, dans l’estomac, difficultés à respirer, accélération du cœur, rougeur du visage, sudations excessives, bouffées de chaleur, etc.)…
      • Dans des troubles du sommeil (insomnies, réveils nocturnes, cauchemars, sommeil non réparateur, fatigue…)
      • Dans des troubles de la relation (manque de confiance en soi, timidité, manque d’estime de soi, trouble de la parole en public, peur du regard de l’autre, difficultés à savoir qui l’on est, difficultés à dire « Non », troubles de relation dans le couple, phobie sociale, phobie scolaire… etc.)
      • Dans des peurs, phobies,
      • Dans des troubles apparemment organiques : Troubles digestifs, gastriques, colon et intestin irritables, douleurs musculaires, migraines, céphalées, tremblements, douleurs articulaires erratiques, dans des paralysies, des pertes de la sensibilité (parésie),
      • Dans les stress

Mais mes indications thérapeutiques feront l’objet d’un autre article

Mots clés

Anxiété, abus sexuel, violence domestique, violence conjugale, violence domestique, maltraitance, enfants de parents handicapés, harcèlement, abus de substance, alcoolisme, fumeur, obésité, activité physique, dépression, suicide, comportement sexuel, maladies sexuellement, cardiopathie, Adverse Childhood Experiences, ACE,

Les troubles anxieux et l’hypnose – Rabat Maroc

Les troubles anxieux et l'hypnose

L’anxiété est un état psychophysiologique

caractérisé par

      • une agitation,
      • des préoccupations,
      • de la peur ou de l’angoisse,
      • de durée et d’intensité variables,
      • liée à un stimulus interne ou externe, qui n’est pas toujours facilement identifiable.
      • Entre certaines limites, l’anxiété doit être considérée comme une émotion adaptative, car indispensable à la survie.

Cependant, si elle se présente de manière chronique et excessive, jusqu’à modifier la vie d’une personne à divers degrés, un diagnostic de trouble anxieux peut être posé, caractérisé par une « anxiété pathologique ».

L’anxiété pathologique peut se manifester en relation avec des moments de fort stress exclusivement ou bien être présente de manière plutôt stable, c’est-à-dire prendre la forme d’un trait caractéristique de la personnalité.

Il existe évidemment des conditions intermédiaires, dans lesquelles l’individu fait l’expérience d’anxiété pathologique exclusivement durant certaines périodes de sa vie.

Les principaux troubles anxieux sont :

      • trouble d’anxiété de séparation,
      • mutisme sélectif,
      • phobie spécifique,
      • trouble d’anxiété sociale,
      • trouble panique,
      • agoraphobie,
      • trouble d’anxiété généralisée.

Trouble d’anxiété de séparation :

correspond à de la peur ou de l’anxiété excessive et inappropriée par rapport au stade du développement, concernant la séparation avec des personnes auxquelles l’individu est lié.

Mutisme sélectif :

il s’agit d’une difficulté continue à parler dans des situations sociales spécifiques où l’on s’attend à ce que le sujet parle (par exemple à l’école), bien qu’il soit à même de parler dans d’autres situations. Cette condition affecte les résultats scolaires, professionnels ou la communication sociale.

Phobie spécifique :

il s’agit d’une peur intense et irrationnelle face à un ou plusieurs objets ou bien face à des situations bien déterminées ; le symptôme principal de ce trouble est la très forte tendance à éviter l’objet qui fait peur. La personne phobique ne peut pas se soustraire volontairement à sa peur, tout en ayant une assez bonne conscience du fait que son intense émotion est irrationnelle et peut affecter l’adaptation optimale à son milieu de vie.

Trouble d’anxiété sociale :

c’est la peur, souvent intense et envahissante, de se trouver dans une situation sociale donnée ou à avoir une prestation inhabituelle qui entraîne, en quelque sorte, le jugement de la part d’autres personnes ; le contact avec les autres est caractérisé par la peur d’être mal jugé et de se comporter de manière gênante et humiliante.

Trouble panique :

il s’agit de la répétition chronique d’attaques de malaise et peur très intenses (attaques de paniques provoquant tremblements, vertiges, douleurs à la poitrine, difficultés dans la respiration, sensation de mourir et d’autres symptômes moins fréquents ; la durée est d’habitude – mais pas toujours – brève, de l’ordre de quelques minutes). L’individu a peur que l’attaque se représente et/ou de ses conséquences et tend à modifier son style de vie à cause de ces possibilités.

Agoraphobie :

il s’agit de la peur ou de l’anxiété importante qui se manifestent pendant l’utilisation de moyens de transport public, dans les espaces ouverts, pendant les queues ou dans la foule ou encore en étant tout seul en dehors de chez soi. Le trouble implique que la personne, en ayant peur, tende à éviter ces situations. Elle considère qu’il serait difficile ou gênant de sortir, car elle craint de ne pas être secourue en cas de besoin.

Trouble d’anxiété généralisée :

il s’agit d’un trouble chronique commun, caractérisé par un état d’anxiété durable et fluctuant, qui n’est pas justifié ni par un objet ni par une situation particulière. La personne souffrant de ce trouble ressent en permanence la sensation de craindre quelque chose d’indéfini ; elle est tout le temps dans une agitation constante qui lui est très difficile de contrôler. La tension musculaire continue et la réaction du système nerveux autonome peuvent amener au développement de migraines, de palpitations, de vertiges, de troubles gastriques et d’insomnie.

Les troubles anxieux ont comme dénominateur commun une réponse excessive du système nerveux sympathique,

qui se traduit en une série de symptômes corporels non adaptatifs, en réponse à des événements plus ou moins stressants ou perçus comme tels.

Certaines hormones produites en réponse au stress, comme le cortisol, peuvent contribuer à augmenter l’état d’activation psychophysiologique.

Sur le plan psychologique, un Moi affaibli, des capacités d’élaboration cognitive et émotionnelle insuffisantes et des comportements dysfonctionnels peuvent maintenir ou aggraver les symptômes.

Critères diagnostiques

On relève : un sentiment de peur, d’angoisse ou de préoccupation inappropriée sans rapport avec la situation réelle, des symptômes physiques, tels que la transpiration, la tachycardie, les tremblements, les vertiges, l’évanouissements, les nausées, l’agitation psychomotrice, les douleurs à la poitrine, un blocage du langage ou de certains comportements.

Pour une présentation plus détaillée des critères de chaque trouble, on renvoie à la consultation du DSM-5.

Indications thérapeutiques cliniques

L’hypnose peut être employée efficacement dans les troubles anxieux, pour agir sur les symptômes physiques, sur l’élaboration cognitive et émotionnelle (en intervenant sur les schémas cognitifs et sur les convictions dysfonctionnelles, sur les images mentales et sur la perception des émotions) et sur les comportements dysfonctionnels.

Dr Jean-Victor Belmère

Hypnose@docteurbelmere.com

Docteur Belmère Carte de Visite
HYPNOSE – DÉPRESSION – TOC – PEURS – PHOBIES – ANXIÉTÉ – ANGOISSES – MAL-ÊTRE – TABAC – POIDS – PERFORMANCE – TROUBLES SEXUELS – TROUBLES ALIMENTAIRES – ENFANTS – ADOLESCENTS – ADULTES – COUPLES

Guérissez de votre dépression, définitivement et reprenez une vie normale et tranquille -Dr Belmère Rabat

Fini la dépression avec le Dr Belmère

Une dépression ne se développe PAS à partir de rien, comme cela, en réaction à une difficulté.

Une dépression se développe sur un bon terreau, une bonne terre où elle peut grandir avec les éléments nutritifs

C’est comme une mauvaise herbe dans un beau jardin

Ses mauvaises racines vont se nourrir de tout en se développant à bas bruit

Et puis à l’instant elle bourgeonne, et prend son envolée et devient, apparemment, une belle plante qui dévaste le jardin. Car elle a pris la précaution d’étendre ses racines, à bas bruit, et dans tout le jardin.

Quand elle apparaît ce ne sont PAS quelques petites drogues qui vont la déloger !

Au contraire ces drogues (anxiolytiques, antidépresseurs) la fixe, Et contribue à ancrer l’idée que vous êtes en dépression.

Ces drogues sont des filtres qui masquent les racines profondément dissimulées dans tout votre être. Nous sommes là, à la base de la thérapie que je vais vous proposer

Dans un premier il faudra accéder à la cause initiale, Sur laquelle s’est construit un château d’émotions comme un château de cartes. Émotions qui deviennent prépondérantes et masquent la cause originelle.

L’économie du vivant a prévu des processus de réparation physique et mental et c’est à ces process de réparation que nous allons accéder.

Une fois la cause initiale cicatrisée et les racines profondes éradiquées le château de cartes des émotions s’effondrent

Il reste des comportements, des réflexes compulsifs qu’il faut alors nettoyer

Et la guérison survient comme par magie !

Il faut alors protéger le terreau profond par des ancrages répulsifs en utilisant les moyens de défense innés et spécifiques propres à l’économie du vivant

Et alors ?

Vous êtes ENFIN, face à vous-même, face à la (le) vrai(e) Vous…

Débarrassé(e) du lavage de cerveau que l’Éducation, l’environnement, la culture et les croyances ont emprisonnée dans une sorte de cadre (je préfère tunnel) mortifère et vicieux

Et le jour où cette cage est enfin ouverte, Vous et votre entourage, par effets « miroir » en subissent toute l’amplitude car connectés avec vous-même (la vraie ou le vrai) vous êtes connecté(e) avec ce qui est le plus originel et naturel dans la vie, et votre vie dans l’univers.

Une paix, une sérénité, une tranquillité s’installe en vous qui sont communicatives

Dans ce conteste l’association thérapeutique médicale de plusieurs « techniques » dont l’HYPNOSE est le centre est la seule alternative possible en traitement définitif de cela dépression

L’industrie pharmaceutique fait son fric avec ses remèdes sans cesse plus performant dans l’addiction mais je vais vous conduire à une désaccoutumance complète de tout antidépresseurs ou anxiolytiques

Protocole contre la dépression – Rabat

Protocole contre la dépression

Comme vous le savez une dépression (quelque soit sa forme) a toujours une cause profonde.

Cause sur laquelle se sont greffées des manifestations émotionnelles plus ou moins larvées.
Puis un phénomène survient et en réaction la dépression s’exprime

Le Burnout apparait quand les constantes métaboliques ne sont plus en capacité de produire d’une manière équilibrée un certain nombre d’hormones avec une prépondérance de l’adrénaline. Car il n’y a plus de phase de récupération.

Pour ma part, avec plusieurs dizaines d’années d’expérience, j’ai admis qu’anxiolytiques et antidépresseurs ne peuvent pas « guérir » une dépression

Quelque soit son origine (sauf peut-être les petites déprimes saisonnières ou sentimentales brèves, qui guériraient de toute façon).

Ce sont simplement des filtres qui « coupent » quelques manifestations de l’humeur mais sans avoir d’effets thérapeutiques curateurs.

Mon schéma thérapeutique est assez standardisé :

      1. – Obtenir un lâcher-prise réel et établir une confiance profonde thérapeute/patient(e), souvent deux trois séances…
      2. – Enquêter sur la cause profonde afin de la révéler aux mécanismes de réparation mentaux (conscients et inconscients) souvent deux séances
      3. – Travailler sur chaque symptomatologie de façon à les déstructurer pour permettre une prise de conscience (consciente et inconsciente) et un retour à l’état originel ( dans les dépressions très profondes cela peut aller jusqu’à 10, 12 séances)…

C’est avec ce protocole que je sors les déprimés chroniques de leur état de dépression profonde, récurrente et inaccessible…

La partie sensible est la recherche de la cause initiale.

Dans 90% il s’agit d’une mauvaise interprétation par le cerveau d’un(e) enfant d’une situation banale pour un adulte mais dont les conséquences sont cataclysmiques pour un jeune esprit en cours de maturation. Dans 10% des cas il s’agit de causes graves (attouchements, incestes, viols, visualisation de situations très traumatiques etc. etc.) qui paradoxalement sont plus faciles à réparer qu’une cause banale.

Le traitement repose sur l’assiduité du patient et la confiance qui s’établit soignant/soigné

Dr Jean-Victor Belmère

Guérir de la dépression – Rabat Maroc

Hypnose guérir la dépression

Peut-on s’éloigner de la dépression et guérir ? OUI grâce à l’hypnose (selon un protocole strict) !

Docteur Jean-Victor Belmère – Rabat Maroc

La dépression est un terme générique qui couvre plusieurs aspects de la maladie. #balancetadepression.

Ce qu’il faut savoir sur la dépression :

      1. La dépression est toujours liée à une cause, une cause profonde souvent révélée dans l’enfance, et cette causse profonde fait le lit, le terreau de la dépression future, si elle se manifeste.
      2. La dépression est toujours réactionnelle.
        Sur ce terreau de cause profonde se développe , face à des conflits internes, des difficultés familiales (rupture sentimentale, perte d’un être cher) ou sociales, des difficultés professionnelles, des échecs, des maladies somatiques souvent chroniques se développent une spirale négative qui a des incidences psychologiques, physiopathologiques, endocriniens et métaboliques…
      3. Les anxiolytiques et les antidépresseurs ne guérissent pas la dépression. Ce sont des écrans qui masquent les signes mais ne traitent le problème de fond. C’est comme si mettez une couche de peinture sur un mur humide… Au début c’est beau. Mais rapidement l’humidité réapparait.

Qu’est-ce que la dépression ? Elle est caractérisée par trois types de symptômes

      1. La chute de l’humeur
        Plus le moral, broie du noir..
        une vison pessimiste, dramatique, dramatisante de la vie, de son passé, du futur, du présent.
      2. Le blocage
        concerne tous les domaines, psychologiques, sentimentaux, relationnels, somatiques (le corps)
        fermeture, repli sur soi, avec une « grosse » fatigue, tout devient corvée,
        tout baisse, combativité, motivation, énergie, appétit, désir sexuel,
        sommeil perturbé, transit intestinal troublé,
        tout se ralentit concentration, mémoire, raisonnement
      3. La souffrance morale
        sa conscience reste intacte mais avec des sentiments d’infériorité, d’échec, dénigrement de soi,
        angoisses, culpabilité,
        impression d’incurabilité, certitude de ne jamais en sortir
        tentatives de suicide pour retrouver la paix de l’âme.

La dépression indifféremment touche les deux sexes.

Un homme sur 10 et deux femmes sur 10.

Guérir de la dépression

On a décrit plusieurs type de dépression

          • la dysthymie qui serait une dépression chronique mineure
          • la dépression saisonnière
          • la dépression post natale
          • la dépression masquée
          • le burnout
          • la dépression majeure
          • les troubles bipolaires
          • même la dépression exogène ou endogène
          • il faut mettre en exergue le Syndrome Dysphorique Prémentruel

Cette classification n’a pas d’intérêt en hypnose ou le travail est surtout centré sur la cause profonde à élucider, puis un travail conséquent sur les symptômes eux-mêmes

Comme je l’ai dit plus haut toute dépression a une cause et le traitement symptomatique à base d’antidépresseurs et d’anxiolytiques ne permet pas de la guérir. Il faut donc entrer en subconscience pour aller dénicher cette cause, éventuellement par des techniques de régression.

Découverte fortuite en 1951 du premier anti-dépresseur utilisé pour traiter, au départ, la tuberculose, l’iproniazide

Il devient le chef de file des anti-dépresseurs tricycliques avec une descendance innombrable de dérivés. Les anti-dépresseurs constituent le premier volet d’un marché pharmacologiques juteux.

Seul problème un antidépresseur n’a jamais soigné une dépression. Il est plutôt là pour la masquer et l’entretenir. les anti-dépresseurs entretiennent des revenus mirobolants pour les laboratoires qui les produisent car plus de 300 millions de personnes sont soignées chaque jour dans le monde !

Médecins et psychiatriques les prescrivent à tour de bras. Ces praticiens revoient régulièrement les « déprimés » pour renouveler leurs ordonnances, modifier la posologie ou prescrire le « nouvel antidépresseur » dernière génération informé de leur sortie par les visiteurs médicaux…

Mais vous connaissez-vous un seul patient qu'un antidépresseur ait sorti de la dépression ? Malheureusement moi non plus.

Mais vous connaissez-vous un seul patient qu’un antidépresseur ait sorti de la dépression ?

Malheureusement moi non plus.

En hypnose le travail sur la dépression suit un protocole précis

D’abord la mise en confiance

Car un déprimé chronique qui souvent a fait le tour des psychiatres, des psychothérapeutes et autres médecines alternatives doute. Il doute de pouvoir s’en sortir un jour.

Il n’a plus confiance, plus confiance aux médicaments, plus confiance au psychiatre, plus confiance en lui-même. et l’hypnothérapeute est la nième personne vers laquelle il se tourne en désespoir de cause !

Sauf que l’hypnose va le sortir de là.

La première étape de la thérapie sous hypnose est d’abord d’apprendre à lacher-prise

Qu’est-ce que cela veut dire ? Rassurer la partie rationnelle du patient pour qu’il se laisse aller dans une relation où la partie inconsciente va prendre le relais

Et cela prend u temps. Car une première hypnose a un effet d’apaisement très important, une relaxation et un relâchement incroyables. Problème ? La première hypnose a un effet limité dans le temps.

Il faudra souvent deux à trois séances pour que la thérapie de la dépression puisse se mettre en route, et obtenir un lâcher-prise sur la période qui sépare les séances.

A partir de ce moment là, la relation de confiance est établie

Il s'agit maintenant de faire un travail en profondeur pour déterminer le "terreau"où la dépression a pu se développer, chercher la cause.

Il s’agit maintenant de faire un travail en profondeur pour déterminer le « terreau »où la dépression a pu se développer, chercher la cause.

Ce que j’ai appelé, au tout début, la cause profonde.

Il s’agit par des séances de régression de déterminer à quelle moment la graine s’est implantée et pourquoi ?

Et là surprise on s’aperçoit que la cause est souvent minime.

Mais dans tous les cas elle remonte à l’enfance. Il s’agit d’un interprétation par l’enfant d’une situation.

Cette interprétation fausse toute la perception émotionnelle, et se structure alors un mécanisme vers la dépression, vers un mal être, autour duquel s’agrège toute la vie émotionnelle de l’adolescent, de l’adulte jeune, de l’adulte mûr, puis de l’adulte vieillissant.

Cette interprétation initial est sous l’influence du milieu dans lequel il se développe. De la culture de ce milieu. Des croyances de son environnement. De l’éducation qu’il subit dans un environnement socio-culturel particulier.

Il faut prendre conscience que l’on reproduit ce que l’on voit et apprend de son milieu familial et éducatif.

Et ainsi se développe les conditions d’une dépression.

Ensuite travailler sur chaque élément de la symptomatologie qui est propre à CHAQUE patient

Le travail est alors patient, systématique sur la symptomatologie réactionnelle qui est individuelle et qui tient compte non seulement de l’histoire du déprimé mais de la manière dont il a évolué depuis sa tendre enfance sous les injonctions de son environnement culturel, éducationnel et ses croyances.

Mais ce syndrome dépressif a créé ses propres déviances émotionnelles qui se sont ancrées, mémorisées et enfouies qu’il convient patiemment de déstructurer te de réparer par un travail éclairé avec l’inconscient, selon des protocoles stricts et rigoureux.

En un mot seule l’hypnose a les atouts pour vous sortir de la dépression

Docteur Jean-Victor Belmère – Hypnose PNL EMDR

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