La peur du regard des autres – Dr Belmère – COTEHY – Rabat – Maroc

La peur du regard des autres - Dr Belmère - COTEHY - Rabat - Maroc

La peur du regard des autres, également appelée anxiété sociale,

C’est une peur intense et persistante de l’évaluation négative de soi par les autres dans les situations sociales ou de performance. Les personnes qui en souffrent peuvent ressentir une grande détresse ou de l’anxiété lorsqu’elles sont confrontées à des situations sociales ou de performance, et peuvent éviter activement ces situations pour éviter de se sentir jugées ou critiquées.

Cette peur peut se manifester de différentes manières selon les personnes et les situations.

Certaines personnes peuvent ressentir de l’anxiété intense lorsqu’elles parlent en public, rencontrent de nouvelles personnes ou se trouvent dans des situations sociales. D’autres peuvent avoir peur de manger ou de boire en public, ou de se mettre en avant de quelque manière que ce soit. Les symptômes physiques peuvent inclure des palpitations, une transpiration excessive, des tremblements, des nausées ou des difficultés respiratoires.

La peur du regard des autres peut avoir des conséquences négatives

sur la vie quotidienne des personnes qui en souffrent. Elle peut entraîner une baisse de l’estime de soi, des difficultés à nouer des relations sociales ou professionnelles, et un retrait social. Elle peut également affecter la qualité de vie et le bien-être général de la personne concernée.

Il est important de noter que la peur du regard des autres est un trouble mental courant et traitable.

Les traitements, tels que les hypnothérapies pratiquées par un médecin expérimenté aident à surmonter cette peur en identifiant et en modifiant les pensées négatives ou les croyances sous-jacentes qui contribuent à l’anxiété.

Voici un exemple de script d’hypnose d’approche Ericksonienne pour aider une personne à surmonter la peur du regard des autres :

  • « Je vais vous guider dans un état de relaxation profonde et agréable, vous permettant de vous sentir en sécurité et confortable. En vous concentrant sur votre respiration, imaginez que vous inspirez lentement et profondément, en remplissant vos poumons d’air frais et en expirant lentement, en laissant votre corps se détendre davantage à chaque expiration. »
  • « Imaginez maintenant que vous êtes dans une situation sociale qui vous angoisse habituellement, peut-être que vous êtes en train de parler en public ou que vous êtes entouré de personnes que vous ne connaissez pas. Mais au lieu de vous sentir mal à l’aise ou anxieux, vous vous sentez à l’aise et en confiance. »
  • « Visualisez maintenant une scène agréable où vous êtes entouré de personnes bienveillantes qui vous soutiennent et vous encouragent. Peut-être que vous êtes dans une soirée avec des amis ou en train de donner une présentation à des collègues qui apprécient votre travail. Imaginez-vous en train de vous sentir à l’aise et confiant, sachant que vous êtes apprécié et respecté. »
  • « Sentez maintenant cette confiance et cette tranquillité se propager dans tout votre corps, depuis la tête jusqu’aux pieds, en vous remplissant d’une énergie positive et apaisante. Répétez-vous mentalement des affirmations positives qui renforcent cette confiance en vous, comme « je suis compétent et capable » ou « je suis aimé et apprécié pour qui je suis ».
  • « Prenez maintenant quelques respirations profondes et revenez à votre état de conscience habituel. En prenant cette confiance et cette tranquillité avec vous, imaginez maintenant la prochaine fois que vous serez confronté à une situation sociale difficile. Visualisez-vous en train d’être calme, à l’aise et confiant, sachant que vous êtes capable de gérer la situation avec succès. »

Ce script est un exemple de la manière dont l’hypnose d’approche Ericksonienne peut aider à surmonter la peur du regard des autres en renforçant la confiance et l’estime de soi de la personne. Cependant, chaque personne est unique et il est important que l’approche soit adaptée à ses besoins spécifiques.

Stress, dépression, peurs, phobies, troubles compulsionnels, troubles alimentaires ou sexuels, crises d’angoisse de panique, perte de confiance, d’estime de soi, etc. Dr Jean-Victor Belmère – Rabat – Maroc

Dynamique des ACEs selon les périodes de vie

Tous ces troubles dits psychologiques ont tous un dénominateur COMMUN : l’anxiété.

Je suis stupéfait de voir comme certains traitent ces manifestations, qui perturbent lourdement la vie de nos semblables, au symptôme. C’est dire que l’on « coache » ou « traite » (thérapie) la confiance en soi, la crise d’angoisse, le stress etc. comme si la cause n’existait pas !

Et je vois affluer dans mon cabinet ou par zoom une quantité de patients qui après avoir été « coachés » ou « soignés » se retrouvent dans le temps avec des pathologies semblables ou amplifiées…

Certes à court terme la thérapie ou le coaching « au symptôme » permet d’atténuer le trouble… Mais à moyen ou long terme quelle efficacité ???

Combien de patients m’expliquent qu’ils ont appliqué des méthodes de développement personnel pour travailler sur eux-mêmes et pour conséquence ils sont là… assis devant vous à exprimer leur mal-être.

Et pourtant l’anxiété est omniprésente.

Vous la sentez quand ils vous serrent la main. Quand ils vous disent bonjour…

Vous la sentez à la manière de s’assoir, de vous regarder, de parler, dans leur regard…

Et puis cette étrange sensation « électromagnétique » qui exprime la souffrance de l’anxiété…

Et puis viennent les mots qui déclenchent les émotions, les larmes, qui signent le mal-être…

Et la parole déverse le flot de situations anxieuses avec les parents, avec les relations sentimentales, avec les études, avec le métier, avec les collègues, avec le ou la conjoint(e), et puis ces situations anxieuses sans aucune cause apparente.

Et souvent, très souvent -Trop souvent ( ?) – cette anxiété térébrante qui pollue chaque moment de la vie, cette anxiété généralisée, ce trouble d’anxiété généralisée (TAG) qui va s’amplifier et s’exprimer :

        • Dans des crises de panique, d’angoisse
        • Dans des compulsions alimentaires, (boulimie, hyperphagie, anorexie…)
        • Dans des addictions (shit, cocaïne, alcool, jeux, sexe, tabagie, …)
        • Dans des tics, des obsessions, des ruminations, des gestes répétitifs (TOCs)…
        • Dans des somatisations (boule dans la gorge, dans l’estomac, difficultés à respirer, accélération du cœur, rougeur du visage, sudations excessives, bouffées de chaleur, etc.)…
        • Dans des troubles du sommeil (insomnies, réveils nocturnes, cauchemars, sommeil non réparateur, fatigue…)
        • Dans des troubles de la relation (manque de confiance en soi, timidité, manque d’estime de soi, trouble de la parole en public, peur du regard de l’autre, difficultés à savoir qui l’on est, difficultés à dire « Non », troubles de relation dans le couple, phobie sociale, phobie scolaire… etc.)
        • Dans des peurs, phobies,
        • Dans des troubles apparemment organiques : Troubles digestifs, gastriques, colon et intestin irritables, douleurs musculaires, migraines, céphalées, tremblements, douleurs articulaires erratiques, dans des paralysies, des pertes de la sensibilité (parésie),
        • Dans les stress, Car il faut préciser que la plupart du temps quand les patients parlent de stress, ils parlent de l’anxiété : « Je suis stressé » est à traduire par « je suis anxieux »

L’anxiété… L’anxiété… Toujours l’anxiété
Thérapies brèves par Mansouria El Bouchikhi (coachMansouria) et Dr Jean-Victor Belmère 

L’anxiété est une souffrance source de toutes ces manifestations dont je viens de parler.

Mais traiter ces manifestations d’une manière autonome est une hérésie… Un NON-SENS !

        • Traiter une confiance en soi comme une perte de confiance en soi pure est dépourvue de bon sens…
        • Traiter une prise de poids comme une compulsion alimentaire pure est dépourvue de bon sens…
        • Traiter un stress en proposant d’apprendre à « gérer » son stress est une imbécilité crasse…
        • Traiter un TOC comme simplement une répétition impulsive et irrépressible c’est méconnaitre tous les mécanismes neurophysiologiques qui y concourent…
        • Traiter une addiction sans prendre en considération ses origines anxieuses c’est aboutir à une récidive…

Et je pourrais allonger la liste des énormités que l’on voit en coaching ou en thérapie.

Et je voudrais dire à ce sujet qu’un « bon coach » ou un « bon thérapeute » qui n’a pas été formé à la neurophysiologie, à la psychopathologie s’expose à des aggravations monstrueuses des états qu’il est sensé apaisé.

Soigné au symptôme est une aberration !

L’anxiété est une souffrance, qui altère les capacités fonctionnelles, mentales et émotionnelles.

L’anxiété a toujours une cause !

Au moment de la conception d’un enfant il y a un BIG BANG.
La pénétration d’une cellule dans une autre qui déploie une énergie considérable.

Et il se crée quelque chose.

Il se crée, ce que d’aucuns appellent l’âme, que l’on nomme aussi le moi, l’enfant intérieur, le subconscient et que je nommerai, personnellement, la conscience supérieure ou la conscience amplifiée, la subconscience…

Cette partie de soi est à l’origine de tout ce que l’on est…

Cette partie contrôle tout, tous vos systèmes, tous vos organes, tous vos métabolismes,

Au départ c’est originel, c’est totalement PUR, dépourvu de tout trouble, de toute pensée nuisible, de toute émotion intempestive.

Mais dès que le système neurologique et le cerveau se développe cette partie originelle et pure de vous, dans le ventre de votre mère, engrange des pollutions :

      • Les émotions de votre mère
      • Ses pensées
      • Ses conversations, notamment avec ses proches

Pollutions qui commencent à informer et influencer l’être pur que vous êtes.

Et puis vient le grand jour de la délivrance pour votre mère et votre venue au monde. Un grand bol d’air ! Vos poumons se déploient

Commence alors le calvaire.

Et vous êtes formatés par :

      • L’éducation : fais ceci, ne fais pas cela ! Termine ton assiette ! ETC.
      • La culture où vous vous développez (les règles de la famille, de la société, de la religion, etc.)
      • Et les croyances que l’on vous inculque (par exemple la peur du noir, des djinns, le conte de fée, les bonbons de récompense, l’instruction religieuse, etc. …)

Et la manière dont vous êtes formatés fabrique un personnage qui obéit à cette éducation, à cette culture, à ces croyances…

Mais au fond de vous… Votre subconscience a d’autres valeurs… D’ailleurs il vous arrive souvent d’entendre une petite voix qui vous dit : « Mais que fais-tu ? Ce n’est pas toi ! ».

Et ce conflit entre cet être pur et original et le personnage que vous êtes devenu crée un fond anxieux ! Un terreau d’anxiété où va pouvoir se développer la misère…

Un état anxieux plus ou moins important en fonction de votre épigénétique. Car cette confrontation peut être plus ou moins importante et anxiogène.

Sur ce fond anxieux va se faire votre développement d’enfant, d’adolescent et d’adulte jeune.

Or entre 0 et 8-10 ans – en fonction de chacun – le cerveau est immature. Il est incapable d’analyser certains événements de sa vie. Au-delà il les subit et les enregistre et deviennent des éléments pathogènes.

Cette mémorisation vécue génère l’anxiété et semble même déterminer la survenue de maladies diverses (obésité, cardiopathies, diabète) ou de troubles du comportement en matière de santé (comportements alimentaires, prise de risque, addictions…) à l’âge adulte. Cette mémorisation va jusqu’à modifier l’expression de notre épigénétique.

Et je voudrai citer Miller & Coll. à ce propos :

(Miller, G. E., Chen, E., & Parker, K. J. (2011). Psychological stress in childhood and susceptibility to the chronic diseases of aging: Moving toward a model of behavioral and biological mechanisms. Psychological Bulletin, 137(6), 959–997. https://doi.org/10.1037/a0024768 :

« … Les données les plus convaincantes proviennent d’études sur des enfants élevés dans la pauvreté ou maltraités par leurs parents, qui présentent une vulnérabilité accrue aux maladies vasculaires, aux maladies auto-immunes et à la mortalité prématurée.

Ces résultats soulèvent des questions théoriques difficiles.

Comment l’anxiété infantile pénètre-t-il sous la peau, au niveau moléculaire, pour affecter le risque de maladies ultérieures ?

Et comment y incube-t-il, donnant naissance à des maladies plusieurs décennies plus tard ?

Miller & coll. présente un modèle d’intégration biologique… qui soutient que l’anxiété infantile est « programmée » dans une cellule particulière, les macrophages, par le biais de marquages ​​épigénétiques, de modifications post-traductionnelles et de remodelage tissulaire.

Le modèle propose qu’au cours de la vie, ces tendances sont exacerbées par des tendances comportementales et une dérégulation hormonale, elle-même produit d’une exposition à l’anxiété précoce. Sur le plan comportemental, le modèle postule que l’anxiété de l’enfance engendre une vigilance excessive face aux menaces, une méfiance envers les autres, de mauvaises relations sociales, une autorégulation altérée et des choix de vie malsains. Sur le plan hormonal, l’anxiété précoce confère des schémas altérés de décharge endocrinienne et et du système nerveux autonome (végétatif). La réaction qui en résulte fait avancer les mécanismes pathogènes qui favorisent finalement les maladies chroniques »).

En réalité le cerveau immature se retrouve dans l’impossibilité d’identifier le caractère traumatique de ce qu’il vit et donc d’identifier ce qui lui fait du mal.

Il se retrouve, ainsi, confiné dans l’expérience pathogène. L’enfant va, alors, développer de graves troubles qui vont s’exprimer dans sa vie d’adolescent puis d’adulte dans l’anxiété et ses désordres (ceux décrits plus haut dans cet article).

Paradoxalement il y a eu peu d’études ou de travaux sur le sujet mis à part dans le contexte des enfants placés (Dumaret et al., 1997).

Il existe un véritable vide culturel et scientifique, qui conduit de nombreuses professions (médecins, soignants, travailleurs sociaux, psychologues et surtout coachs et thérapeutes…) à ne pas connaître, voire à occulter les liens entre le vécu traumatique des enfants, des adolescents et ses conséquences à l’âge adulte, et les conséquences en termes  de santé physique et de maladies chroniques.

Mais dès 1998 les publications anglophones abondent d’articles sur la fréquence, la sévérité et les formes multiples des conséquences, à l’âge adulte. Les résultats de ces recherches sont issus d’études soit rétrospectives, soit prospectives.

Dans les années 1990 Vincent Felitti (1993), responsable du département de médecine préventive au sein de la clinique Kaiser Permanente à San Diego, en Californie, s’est engagé ces études. Elles ont abouti à la célèbre communication de 1998 (Felitti et al., 1998 https://www.ajpmonline.org/article/S0749-3797(98)00017-8/fulltext)

D’ailleurs dans  la littérature scientifique internationale les termes d’Adverse Childhood Experiences (ACEs) font l’unanimité. (La première étude sur les ACEs a été menée aux États-Unis dans le cadre d’une collaboration entre les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et le Kaiser Permanente de San Diego entre 1995 et 1997, auprès d’une cohorte d’adultes (n=17 000) nés entre 1900 et 1978.)

Dynamique des ACEs selon les périodes de vie

Mon approche thérapeutique tient compte de ces données scientifiques et de mes connaissances en physiologie, physiopathologie et tout particulièrement en neurophysiologie. Elle tient compte de mon passé de chirurgien de médecin clinicien, activité exercée depuis bientôt 50 ans.

Classiquement l’anxiété semble avoir des moyens thérapeutiques bien codifiés :

      • Thérapie de la parole :
        • Psychothérapie spécifique
        • Thérapie des schémas
        • Thérapie cognitivo-comportementale
      • Médicaments anxiolytiques voire antidépresseurs (benzodiazépines, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine)

Les indications thérapeutiques varient selon le trouble anxieux, mais impliquent généralement l’association d’une psychothérapie spécifique du trouble et d’un traitement pharmacologique.Les classes de médicaments les plus couramment utilisés sont les benzodiazépines et les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine 

Et alors ?

On sait maintenant, avec le recul et l’expérience des thérapies ayant débutées au début du XXème siècle et se sont intensifiées au cours de la deuxième partie du XXème surtout après la 2eme guerre mondiale, on sait maintenant :

        • Que la thérapie par la parole demande du temps et la multiplication de séances sur plusieurs mois, voire plusieurs années, avec des résultats très aléatoires…
        • Que les thérapies médicamenteuses marchent dans les formes mineures avec des durée de traitement courts. Beaucoup de patients ingurgitent ces médicaments sur des années voire des décennies et, en contre-coup, deviennent dépendants…

Avec l’expérience clinique, des adaptations je me suis tourné vers ce qui m’a donné les meilleurs résultats sur du moyen-terme 10 – 15 séances et une stabilité sur le long terme.

J’utilise un mix que j’ai mis au point avec le temps et que j’adapte, en permanence, entre l’hypnose, l’EMDR, la thérapie des schémas, la TCC et l’EFT et que je détermine en fonction du patient qui est en face de moi et de la manière dont il évolue.

En réalité le cerveau crée des routines. Et j’utilise ces routines du cerveau pour vous débarrasser d’une manière profonde et durable tous les troubles dont j’ai parlé plus haut :

      • Dans des crises de panique, d’angoisse…
      • Dans des compulsions alimentaires, (boulimie, hyperphagie, anorexie…)
      • Dans des addictions (shit, cocaïne, alcool, jeux, sexe, tabagie, …)
      • Dans des tics, des obsessions, des ruminations, des gestes répétitifs (TOCs)…
      • Dans des somatisations (boule dans la gorge, dans l’estomac, difficultés à respirer, accélération du cœur, rougeur du visage, sudations excessives, bouffées de chaleur, etc.)…
      • Dans des troubles du sommeil (insomnies, réveils nocturnes, cauchemars, sommeil non réparateur, fatigue…)
      • Dans des troubles de la relation (manque de confiance en soi, timidité, manque d’estime de soi, trouble de la parole en public, peur du regard de l’autre, difficultés à savoir qui l’on est, difficultés à dire « Non », troubles de relation dans le couple, phobie sociale, phobie scolaire… etc.)
      • Dans des peurs, phobies,
      • Dans des troubles apparemment organiques : Troubles digestifs, gastriques, colon et intestin irritables, douleurs musculaires, migraines, céphalées, tremblements, douleurs articulaires erratiques, dans des paralysies, des pertes de la sensibilité (parésie),
      • Dans les stress

Mais mes indications thérapeutiques feront l’objet d’un autre article

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mots clés

Anxiété, abus sexuel, violence domestique, violence conjugale, violence domestique, maltraitance, enfants de parents handicapés, harcèlement,  abus de substance, alcoolisme, fumeur, obésité, activité physique, dépression, suicide, comportement sexuel, maladies sexuellement, cardiopathie, Adverse Childhood Experiences, ACE,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les troubles anxieux et l’hypnose – Rabat Maroc

Les troubles anxieux et l'hypnose

L’anxiété est un état psychophysiologique

caractérisé par

      • une agitation,
      • des préoccupations,
      • de la peur ou de l’angoisse,
      • de durée et d’intensité variables,
      • liée à un stimulus interne ou externe, qui n’est pas toujours facilement identifiable.
      • Entre certaines limites, l’anxiété doit être considérée comme une émotion adaptative, car indispensable à la survie.

Cependant, si elle se présente de manière chronique et excessive, jusqu’à modifier la vie d’une personne à divers degrés, un diagnostic de trouble anxieux peut être posé, caractérisé par une « anxiété pathologique ».

L’anxiété pathologique peut se manifester en relation avec des moments de fort stress exclusivement ou bien être présente de manière plutôt stable, c’est-à-dire prendre la forme d’un trait caractéristique de la personnalité.

Il existe évidemment des conditions intermédiaires, dans lesquelles l’individu fait l’expérience d’anxiété pathologique exclusivement durant certaines périodes de sa vie.

Les principaux troubles anxieux sont :

      • trouble d’anxiété de séparation,
      • mutisme sélectif,
      • phobie spécifique,
      • trouble d’anxiété sociale,
      • trouble panique,
      • agoraphobie,
      • trouble d’anxiété généralisée.

Trouble d’anxiété de séparation :

correspond à de la peur ou de l’anxiété excessive et inappropriée par rapport au stade du développement, concernant la séparation avec des personnes auxquelles l’individu est lié.

Mutisme sélectif :

il s’agit d’une difficulté continue à parler dans des situations sociales spécifiques où l’on s’attend à ce que le sujet parle (par exemple à l’école), bien qu’il soit à même de parler dans d’autres situations. Cette condition affecte les résultats scolaires, professionnels ou la communication sociale.

Phobie spécifique :

il s’agit d’une peur intense et irrationnelle face à un ou plusieurs objets ou bien face à des situations bien déterminées ; le symptôme principal de ce trouble est la très forte tendance à éviter l’objet qui fait peur. La personne phobique ne peut pas se soustraire volontairement à sa peur, tout en ayant une assez bonne conscience du fait que son intense émotion est irrationnelle et peut affecter l’adaptation optimale à son milieu de vie.

Trouble d’anxiété sociale :

c’est la peur, souvent intense et envahissante, de se trouver dans une situation sociale donnée ou à avoir une prestation inhabituelle qui entraîne, en quelque sorte, le jugement de la part d’autres personnes ; le contact avec les autres est caractérisé par la peur d’être mal jugé et de se comporter de manière gênante et humiliante.

Trouble panique :

il s’agit de la répétition chronique d’attaques de malaise et peur très intenses (attaques de paniques provoquant tremblements, vertiges, douleurs à la poitrine, difficultés dans la respiration, sensation de mourir et d’autres symptômes moins fréquents ; la durée est d’habitude – mais pas toujours – brève, de l’ordre de quelques minutes). L’individu a peur que l’attaque se représente et/ou de ses conséquences et tend à modifier son style de vie à cause de ces possibilités.

Agoraphobie :

il s’agit de la peur ou de l’anxiété importante qui se manifestent pendant l’utilisation de moyens de transport public, dans les espaces ouverts, pendant les queues ou dans la foule ou encore en étant tout seul en dehors de chez soi. Le trouble implique que la personne, en ayant peur, tende à éviter ces situations. Elle considère qu’il serait difficile ou gênant de sortir, car elle craint de ne pas être secourue en cas de besoin.

Trouble d’anxiété généralisée :

il s’agit d’un trouble chronique commun, caractérisé par un état d’anxiété durable et fluctuant, qui n’est pas justifié ni par un objet ni par une situation particulière. La personne souffrant de ce trouble ressent en permanence la sensation de craindre quelque chose d’indéfini ; elle est tout le temps dans une agitation constante qui lui est très difficile de contrôler. La tension musculaire continue et la réaction du système nerveux autonome peuvent amener au développement de migraines, de palpitations, de vertiges, de troubles gastriques et d’insomnie.

Les troubles anxieux ont comme dénominateur commun une réponse excessive du système nerveux sympathique,

qui se traduit en une série de symptômes corporels non adaptatifs, en réponse à des événements plus ou moins stressants ou perçus comme tels.

Certaines hormones produites en réponse au stress, comme le cortisol, peuvent contribuer à augmenter l’état d’activation psychophysiologique.

Sur le plan psychologique, un Moi affaibli, des capacités d’élaboration cognitive et émotionnelle insuffisantes et des comportements dysfonctionnels peuvent maintenir ou aggraver les symptômes.

Critères diagnostiques

On relève : un sentiment de peur, d’angoisse ou de préoccupation inappropriée sans rapport avec la situation réelle, des symptômes physiques, tels que la transpiration, la tachycardie, les tremblements, les vertiges, l’évanouissements, les nausées, l’agitation psychomotrice, les douleurs à la poitrine, un blocage du langage ou de certains comportements.

Pour une présentation plus détaillée des critères de chaque trouble, on renvoie à la consultation du DSM-5.

Indications thérapeutiques cliniques

L’hypnose peut être employée efficacement dans les troubles anxieux, pour agir sur les symptômes physiques, sur l’élaboration cognitive et émotionnelle (en intervenant sur les schémas cognitifs et sur les convictions dysfonctionnelles, sur les images mentales et sur la perception des émotions) et sur les comportements dysfonctionnels.

Dr Jean-Victor Belmère 

Hypnose Rabat Maroc – Indications scientifiques

Indications thérapeutiques médicales de l'hypnose

La thérapie hypnotique en tant que telle, une des méta-analyses parmis les plus récentes et les plus vastes, en identifie clairement l’efficacité,

Les données scientifiques médicales et neurophysiologiques convergent vers son évidente efficacité dans le traitement 

Vous avez ici les références des publications scientifiques qui ont montré l’efficacité de l’hypnose thérapeutique médicales

          • des troubles anxieux (Golden, 2012) ;
          • de l’anxiété sociale (Lipsitz et Marshall, 2001) ;
          • du trouble de stress post-traumatique (Abramovitz et Bonne, 2013) ;
          • des phobies spécifiques (Stanton, 1994 ; McIntosh, 2007) ;
          • des phobies générales (Sommer, 1995 ; Willemsen, 2003) ;
          • de la dépression (Alladin, Alibhai, 2007 ; Kirsch, Low, 2013) ;
          • des troubles du sommeil (Becker, 2015) ;
          • des troubles alimentaires (Kirsch, 1996), tels que l’obésité (Faith, 1996), l’anorexie (Roy, 2014 ; Walsh, 2008 ; Baker et Nash, 1987 ; Vanderlinden et Vandereycken, 1988) et la boulimie (Barabasz, 2012) ;
          • des dysfonctions sexuelles (Lemke, 2005 ; Chiasson, 1992 ; Gilmore, 1987) ;
          • des addictions générales (Potter, 2004) ou spécifiques, p. ex. à la méthadone (Manganiello, 1984), à la cocaïne, à l’héroïne, au cannabis et autres drogues (Kaminsky et al., 2008 ; Page et Handley, 1993), à l’alcool (Potter, 2004) ou au tabac (Barber, 2001 ; Ahijevych et al., 2000) ;
          • de la douleur aiguë et chronique (Dahlgren et al., 1995 ; Patterson et Jensen, 2003 ; De Benedittis, 2013a, 2013 b) ; en utilisant le potentiel de l’analgésie hypnotique, comme pour la fibromyalgie (Wic et al., 1999 ; De Benedittis, 2012), pour l’arthrite rhumatoïde (Domangue et al., 1985), pour la douleur provoquée par les brûlures graves (Patterson et Ptacek, 1997) et pour la douleur du travail et de l’accouchement (Harmon et al., 1990 ; Schwartz, 1963) ;
          • des céphalées musculo-tensives (Melis et al., 1991) ; des migraines (Anderson et al., 1975) ;
          • des pathologies tumorales (Spiegel et Bloom, 1983, Spiegel et al., 1989) et des nausées/vomissements liés à la chimiothérapie (Zeltzer et al., 1984 ; Co- tanch et al., 1985).
          • L’efficacité est mise en évidence également : en chirurgie (Montgomery et al., 2002 ; Facco et al., 2013) ; en gastro-entérologie générale (Palsson et Whitehead, 2013) ;
          • dans le traitement du côlon irritable (Whorwell et al., 1984) ;
          • en dermatologie générale (Phoenix, 2007), p. ex. pour le traitement du psoriasis (Kantor, 1990) ou de l’alopécie areata (Wil- lemsen et al., 2011) ;
          • en hématologie (Swirsky-Sacchetti et Margolis, 1986) ;
          • dans le traitement de l’hypertension artérielle (Kekecs et al., 2016 ; Schwickert et al., 2006) ;
          • en odonto-stomatologie (Jugé et Tubert-Jeannin, 2013) ;
          • en médecine d’urgence (Peebles-Kleiger, 2000).

Synchronicité Cardio-Respiratoire – Dr Jean-Victor Belmère

La synchronicité Cardio-Respiratoire

La Synchronicité Cardio-Respiratoire 

La synchronicité Cardio-respiratoire est un remède miracle car il suffit de respirer, en conscience.

La synchronicité Cardio-respiratoire est un processus physiologique que l’on rencontre naturellement chez le nouveau-né.

Il s’agit tout simplement de rendre la fonction cardiaque parfaitement adaptée à la fonction respiratoire, parfaitement synchrone.

Comme vous le savez la respiration amène l’oxygène dans le sang et élimine le dioxyde de carbone issu du travail des cellules et de la production d’énergie et de sa combustion.

Le cœur pour sa part a pour but de véhiculer du sang oxygéné partout dans l’organisme jusqu’à la moindre petite cellule.

Synchroniser la respiration et la pompe cardiaque c’est permettre un travail optimum pour que l’organisme vivant puisse reprendre le contrôle de ses fonctions d’origine.

Cette synchronicité cardio respiratoire est absolument indispensable pour lutter contre le stress malsain, les angoisses, l’anxiété, la dépression et les addictions…

Et surtout mettre en d’état d’éveil optimum son système immunitaire

Dans le travail sur le sevrage tabagique ou le retour au poids de santé c’est un renforcement indispensable.

Dans tous ces cas et d’autres les RÉSULTATS SONT SPECTACULAIRES

Je vous invite, en ces périodes de confinement, de stress, d’angoisse, de peur du lendemain, de peur de perdre son boulot ou ses revenus à vous mettre tout de suite à la synchronicité cardio-respiratoire.

Il suffit de la réaliser TOUS LES JOURS

Trois fois cinq minutes par jour,

Au lever, avant de faire toute chose,

Après le repas de midi

Et dans la soirée

En tout 15 minutes par jour, pour modifier votre vie à Jamais !

Il vous suffit de suivre l’animation qui va suivre

Et caler votre respiration sur l’animation qui va suivre

Vous vous concentrer sur votre respiration en pensant qu’à cela pendant cinq minutes à répéter trois fois par jour

Vous inspirez, calmement, régulièrement, tranquillement par le nez en gonflant votre poitrine et votre abdomen

Puis vous soufflez la bouche calmement, régulièrement, tranquillement

Pour qu’elle soit efficace vous suivez simplement le rythme imposé par l’animation qui va suivre, pendant CINQ minutes sans vous arrêter…

Et ceci trois fois par jour…

Allez au boulot et vous allez réparer beaucoup de vos problèmes

Vous avez la possibilité si cela vous semble justifié, de faire un don de votre choix via le lien PayPal https://paypal.me/drbelmere

Pour me permettre de continuer à vous poster du contenu thérapeutique varié et de qualité des thérapies accessibles à TOUS et très efficaces

1€ Faire un Don 1€

 

 

 

Faire face au civid-19 grâce à l’hypnose – Maroc Rabat

Pour faire face au Covid-19, au cours de la pandémie du Coronavirus version 2020, les thérapeutiques sont en route.

On sait maintenant que l’association chloroquine + antibiotiques + paracétamol permet de prévenir les complications graves notamment l’alvéolite nécrosante qui nécessite la mise sous assistance respiratoire en réanimation.

Cependant cette pandémie suscite des peurs, des angoisses, des paniques incontrôlées, et incontrôlables.

Et je vous propose dans un premier temps de passer ces caps décisifs par une série de thérapies non spécifiques mais très efficaces…

Dans un deuxième temps je vous propose,

par hypnose, de stimuler votre système immunitaire pour le mettre en état d’alerte maximal et permettre à votre organisme de se doter d’armes défensives naturelles et essentielles…

Pour des thérapies spécifiques je reste à votre disposition

par Whatsapp au +212652029860 pour des conseils ou prise de rendez-vous. Je peux vous aider où que vous soyez dans le monde grâce à Skype, Whatsapp ou Zoom.

Vous pouvez aussi profiter de ces périodes de confinement pour effectuer

        • un sevrage de la cigarette,
        • mettre en place une thérapie efficace contre les excès pondéraux (poids),
        • et soigner une dépression,
        • des phobies,
        • des troubles obsessionnels,
        • etc etc.

Cordialement

Dr Jean-Victor Belmère

Décret n° 2020-314 du 25 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire Par dérogation à l’article L. 5121-8 du code de la santé publique, l’hydroxychloroquine et l’association lopinavir/ritonavir peuvent être prescrits, dispensés et administrés sous la responsabilité d’un médecin aux patients atteints par le covid-19, dans les établissements de santé qui les prennent en charge, ainsi que, pour la poursuite de leur traitement si leur état le permet et sur autorisation du prescripteur initial, à domicile.

La Dépression et l’Hypnose – Devenir enfin SOI ! – Hypnose Rabat

Dépression et Hypnose

Voir en priorité cet article Guérir de la dépression

Dans la dépression le passé déferle sur le présent et l’inonde.

La recherche et la réparation des blessures profondes qui ont conduit à la dépression et à ses signes doit être une quête omniprésente où l’hypnose joue un rôle de premier plan.

La dépression permet de guérir une personnalité déjà et depuis longtemps mal en point. Elle s’accompagne certes d’une souffrance, mais celle-ci n’est jamais inutile. 

La thérapie sous hypnose représente le prix à payer pour renaître, c’est-à-dire devenir enfin soi. Et retrouver celle ou celui qui a été déstabilisé(e) par des blessures profondes nées dans l’enfance et toujours refoulées. Être enfin celle ou celui qu’on a toujours été mais qui n’a jamais été au premier plan par peur du regard de l’autre,  par peur de nuire, par crainte de se sentir coupable. Car le déprimé, comme tout individu, s’est construit sous le matraquage de l’éducation, des croyances, de la culture de son environnement et il sent bien que le véritable « soi » est différent de ce qu’on a voulu faire de « d’elle ou de lui » et aspire à sortir au grand air, à retrouver sa propre essence…

La dépression est un signal d’alarme, un miroir qui réfléchit un mal-être provenant de loin, souvent de l’enfance

C’est la raison pour laquelle la dépression, loin d’être une maladie à soigner avec acharnement, représente une chance, une occasion privilégiée de transformation et de changement. 

Blessures de l’âme et du passé – Rabat Maroc Dr Jean-Victor Belmère

Tu souffres de ton passé par ce qu’il est profondément inscrit dans ta mémoire,

mais surtout parce qu’il a suscité une émotion, et le mix de cette émotion avec le souvenir de la blessure, a provoqué une autre émotion, et le mix de toutes ces émotions crée d’autres émotions….

Blessure de l'âme Chateau de cartes

IN FINE ta blessure est enfouie et tu t’en souviens plus….

Mais les émotions, ELLES, évoluent pour leur propre compte et créent d’autres émotions… Et comme un château de cartes, elles s’entassent les unes sur les autres et te conduisent à la dépression, aux phobies, aux TOC, aux peurs, mal être… etc. etc.

Et comment les traiter ?

En retournant à la source ! Grâce à l’hypnose pour permettre une analyse objective de la cause pour la déstructure et la ramener à ce qu’elle est… un événement…

Et le cerveau comme toute cellule ou tissu vivant procède à sa réparation AD INTEGRUM…

C’est la loi du vivant… C’est une loi ubiquitaire…

Trop souvent méconnue par méconnaissance des mécanismes fondamentaux du vivant…

Empreinte du traumatisme dans l’inconscient et sous une autre forme dans le conscient – Rabat

Les traumatismes profonds

Les Traumatismes inscrits dans le subconscient sont-ils indélébiles ?

Si une jeune femme, enfant ou adolescente, subit une agression sexuelle cet évènement laisse une trace dans son organisation psychologique et cette trace laisse une empreinte du traumatisme dans l’esprit inconscient et sous une autre forme dans son esprit conscient

Sa façon d’être en relation avec les hommes ne sera jamais plus la même. Dans différentes situations de la vie, cette trace influencera profondément son comportement émotionnel.

Cela signifie que cette empreinte du traumatisme n’est ni neutre ni muet. Il est, au contraire, doté d’un dynamisme puissant – d’une forte charge émotionnelle.

Il génère des émotions, des attractions et des répulsions qui modifieront de façon significative la vie intérieure et sociale de cette personne.

Étant associé à de telles mémoires traumatisantes et douloureuses, l’empreinte du traumatisme laissé dans l’esprit ne peut rester silencieux ; il doit s’exprimer lui-même d’une manière consciente ou inconsciente.

Ceci s’applique à toutes les empreintes de traumatismes laissés dans l’esprit après une blessure – non pas seulement à quelques cas particuliers.

Que vous le réalisiez ou non, au plus profond de vous-même les empreintes de traumatisme laissé dans l’esprit réclament perpétuellement une réparation.

Et cette réparation l’hypnose associée ou non à la PNL, l’EDMR est un outil principal et irremplaçable 

plus tard en tant qu'adulte sa vie entière émotionnelle et sexuelle sera sapée

Sinon plus tard en tant qu’adulte sa vie entière émotionnelle et sexuelle sera sapée par un traumatisme caché qu’elle ignorera complètement.

Elle peut fuir les hommes ou courir après ou révéler toutes sortes de comportements irrationnels contre sa propre volonté.

Elle peut développer une maladie majeure dans la région pelvienne ou faire une fausse-couche quand elle essaiera d’avoir un enfant. Sans un procédé qui lui permette d’explorer les profondeurs de son inconscient, elle ne sera jamais capable de comprendre pourquoi sa vie est un tel désordre.

Chaque essai pour réorganiser son existence sera voué à l’échec dès le début car il lui manque la pièce principale de son puzzle personnel.