Hypnose Rabat Maroc – Indications scientifiques

La thérapie hypnotique en tant que telle, une des méta-analyses parmis les plus récentes et les plus vastes, en identifie clairement l’efficacité,

Les données scientifiques médicales et neurophysiologiques convergent vers son évidente efficacité dans le traitement 

Vous avez ici les références des publications scientifiques qui ont montré l’efficacité de l’hypnose thérapeutique médicales

          • des troubles anxieux (Golden, 2012) ;
          • de l’anxiété sociale (Lipsitz et Marshall, 2001) ;
          • du trouble de stress post-traumatique (Abramovitz et Bonne, 2013) ;
          • des phobies spécifiques (Stanton, 1994 ; McIntosh, 2007) ;
          • des phobies générales (Sommer, 1995 ; Willemsen, 2003) ;
          • de la dépression (Alladin, Alibhai, 2007 ; Kirsch, Low, 2013) ;
          • des troubles du sommeil (Becker, 2015) ;
          • des troubles alimentaires (Kirsch, 1996), tels que l’obésité (Faith, 1996), l’anorexie (Roy, 2014 ; Walsh, 2008 ; Baker et Nash, 1987 ; Vanderlinden et Vandereycken, 1988) et la boulimie (Barabasz, 2012) ;
          • des dysfonctions sexuelles (Lemke, 2005 ; Chiasson, 1992 ; Gilmore, 1987) ;
          • des addictions générales (Potter, 2004) ou spécifiques, p. ex. à la méthadone (Manganiello, 1984), à la cocaïne, à l’héroïne, au cannabis et autres drogues (Kaminsky et al., 2008 ; Page et Handley, 1993), à l’alcool (Potter, 2004) ou au tabac (Barber, 2001 ; Ahijevych et al., 2000) ;
          • de la douleur aiguë et chronique (Dahlgren et al., 1995 ; Patterson et Jensen, 2003 ; De Benedittis, 2013a, 2013 b) ; en utilisant le potentiel de l’analgésie hypnotique, comme pour la fibromyalgie (Wic et al., 1999 ; De Benedittis, 2012), pour l’arthrite rhumatoïde (Domangue et al., 1985), pour la douleur provoquée par les brûlures graves (Patterson et Ptacek, 1997) et pour la douleur du travail et de l’accouchement (Harmon et al., 1990 ; Schwartz, 1963) ;
          • des céphalées musculo-tensives (Melis et al., 1991) ; des migraines (Anderson et al., 1975) ;
          • des pathologies tumorales (Spiegel et Bloom, 1983, Spiegel et al., 1989) et des nausées/vomissements liés à la chimiothérapie (Zeltzer et al., 1984 ; Co- tanch et al., 1985).
          • L’efficacité est mise en évidence également : en chirurgie (Montgomery et al., 2002 ; Facco et al., 2013) ; en gastro-entérologie générale (Palsson et Whitehead, 2013) ;
          • dans le traitement du côlon irritable (Whorwell et al., 1984) ;
          • en dermatologie générale (Phoenix, 2007), p. ex. pour le traitement du psoriasis (Kantor, 1990) ou de l’alopécie areata (Wil- lemsen et al., 2011) ;
          • en hématologie (Swirsky-Sacchetti et Margolis, 1986) ;
          • dans le traitement de l’hypertension artérielle (Kekecs et al., 2016 ; Schwickert et al., 2006) ;
          • en odonto-stomatologie (Jugé et Tubert-Jeannin, 2013) ;
          • en médecine d’urgence (Peebles-Kleiger, 2000).