L’hypnothérapie d’Acceptation et d’Engagement (ACT) – Dr Belmère – COTEHY – Rabat – Maroc

L’hypnothérapie d'Acceptation et d'Engagement (ACT) - Dr Belmère - COTEHY - Rabat - Maroc

L’hypnothérapie d’Acceptation et d’Engagement (ACT)

est une forme de thérapie comportementale qui vise à aider les individus à gérer les émotions difficiles et les pensées négatives, tout en renforçant leur engagement dans des activités significatives et significatives.

Le but de l’hypnothérapie ACT

est d’aider les personnes à se déconnecter de leurs pensées négatives et de leurs émotions, pour qu’elles puissent vivre une vie plus riche et plus significative.

L’hypnothérapie ACT se concentre sur le développement de six compétences clés,

notamment l’acceptation consciente, la défusion de la pensée, la conscience de soi, la valeur dirigée, le choix de l’action et la persévérance. En mettant l’accent sur ces compétences, les thérapeutes peuvent aider les personnes à mieux comprendre leurs émotions, à les accepter et à les gérer, tout en se concentrant sur des activités qui sont importantes pour eux.

L’hypnothérapie ACT peut être utile pour une variété de troubles mentaux

comprenant l’anxiété, la dépression, la toxicomanie, les troubles obsessionnels compulsifs (TOC) et les troubles de l’humeur. Les thérapeutes peuvent travailler avec les personnes en individuel ou en groupe, et la thérapie peut durer entre 8 et 20 séances.

Il est important de noter que L’hypnothérapie ACT ne vise pas à éliminer ou à supprimer les émotions difficiles ou les pensées négatives,

mais plutôt à aider les personnes à les accepter et à se concentrer sur des activités qui les rendent heureux et satisfaits. En travaillant avec un thérapeute qualifié si possible médecin, les personnes peuvent développer les compétences nécessaires pour mieux gérer les difficultés émotionnelles et vivre une vie plus significative et satisfaisante.

Stress, dépression, peurs, phobies, troubles compulsionnels, troubles alimentaires ou sexuels, crises d’angoisse de panique, perte de confiance, d’estime de soi, etc. Dr Jean-Victor Belmère – Rabat – Maroc

Dynamique des ACEs selon les périodes de vie

Tous ces troubles dits psychologiques ont tous un dénominateur COMMUN : l’anxiété.

Je suis stupéfait de voir comme certains traitent ces manifestations, qui perturbent lourdement la vie de nos semblables, au symptôme. C’est dire que l’on « coache » ou « traite » (thérapie) la confiance en soi, la crise d’angoisse, le stress etc. comme si la cause n’existait pas !

Et je vois affluer dans mon cabinet ou par zoom une quantité de patients qui après avoir été « coachés » ou « soignés » se retrouvent dans le temps avec des pathologies semblables ou amplifiées…

Certes à court terme la thérapie ou le coaching « au symptôme » permet d’atténuer le trouble… Mais à moyen ou long terme quelle efficacité ???

Combien de patients m’expliquent qu’ils ont appliqué des méthodes de développement personnel pour travailler sur eux-mêmes et pour conséquence ils sont là… assis devant vous à exprimer leur mal-être.

Et pourtant l’anxiété est omniprésente.

Vous la sentez quand ils vous serrent la main. Quand ils vous disent bonjour…

Vous la sentez à la manière de s’assoir, de vous regarder, de parler, dans leur regard…

Et puis cette étrange sensation « électromagnétique » qui exprime la souffrance de l’anxiété…

Et puis viennent les mots qui déclenchent les émotions, les larmes, qui signent le mal-être…

Et la parole déverse le flot de situations anxieuses avec les parents, avec les relations sentimentales, avec les études, avec le métier, avec les collègues, avec le ou la conjoint(e), et puis ces situations anxieuses sans aucune cause apparente.

Et souvent, très souvent -Trop souvent ( ?) – cette anxiété térébrante qui pollue chaque moment de la vie, cette anxiété généralisée, ce trouble d’anxiété généralisée (TAG) qui va s’amplifier et s’exprimer :

        • Dans des crises de panique, d’angoisse
        • Dans des compulsions alimentaires, (boulimie, hyperphagie, anorexie…)
        • Dans des addictions (shit, cocaïne, alcool, jeux, sexe, tabagie, …)
        • Dans des tics, des obsessions, des ruminations, des gestes répétitifs (TOCs)…
        • Dans des somatisations (boule dans la gorge, dans l’estomac, difficultés à respirer, accélération du cœur, rougeur du visage, sudations excessives, bouffées de chaleur, etc.)…
        • Dans des troubles du sommeil (insomnies, réveils nocturnes, cauchemars, sommeil non réparateur, fatigue…)
        • Dans des troubles de la relation (manque de confiance en soi, timidité, manque d’estime de soi, trouble de la parole en public, peur du regard de l’autre, difficultés à savoir qui l’on est, difficultés à dire « Non », troubles de relation dans le couple, phobie sociale, phobie scolaire… etc.)
        • Dans des peurs, phobies,
        • Dans des troubles apparemment organiques : Troubles digestifs, gastriques, colon et intestin irritables, douleurs musculaires, migraines, céphalées, tremblements, douleurs articulaires erratiques, dans des paralysies, des pertes de la sensibilité (parésie),
        • Dans les stress, Car il faut préciser que la plupart du temps quand les patients parlent de stress, ils parlent de l’anxiété : « Je suis stressé » est à traduire par « je suis anxieux »

L’anxiété… L’anxiété… Toujours l’anxiété
Thérapies brèves par Mansouria El Bouchikhi (coachMansouria) et Dr Jean-Victor Belmère 

L’anxiété est une souffrance source de toutes ces manifestations dont je viens de parler.

Mais traiter ces manifestations d’une manière autonome est une hérésie… Un NON-SENS !

        • Traiter une confiance en soi comme une perte de confiance en soi pure est dépourvue de bon sens…
        • Traiter une prise de poids comme une compulsion alimentaire pure est dépourvue de bon sens…
        • Traiter un stress en proposant d’apprendre à « gérer » son stress est une imbécilité crasse…
        • Traiter un TOC comme simplement une répétition impulsive et irrépressible c’est méconnaitre tous les mécanismes neurophysiologiques qui y concourent…
        • Traiter une addiction sans prendre en considération ses origines anxieuses c’est aboutir à une récidive…

Et je pourrais allonger la liste des énormités que l’on voit en coaching ou en thérapie.

Et je voudrais dire à ce sujet qu’un « bon coach » ou un « bon thérapeute » qui n’a pas été formé à la neurophysiologie, à la psychopathologie s’expose à des aggravations monstrueuses des états qu’il est sensé apaisé.

Soigné au symptôme est une aberration !

L’anxiété est une souffrance, qui altère les capacités fonctionnelles, mentales et émotionnelles.

L’anxiété a toujours une cause !

Au moment de la conception d’un enfant il y a un BIG BANG.
La pénétration d’une cellule dans une autre qui déploie une énergie considérable.

Et il se crée quelque chose.

Il se crée, ce que d’aucuns appellent l’âme, que l’on nomme aussi le moi, l’enfant intérieur, le subconscient et que je nommerai, personnellement, la conscience supérieure ou la conscience amplifiée, la subconscience…

Cette partie de soi est à l’origine de tout ce que l’on est…

Cette partie contrôle tout, tous vos systèmes, tous vos organes, tous vos métabolismes,

Au départ c’est originel, c’est totalement PUR, dépourvu de tout trouble, de toute pensée nuisible, de toute émotion intempestive.

Mais dès que le système neurologique et le cerveau se développe cette partie originelle et pure de vous, dans le ventre de votre mère, engrange des pollutions :

      • Les émotions de votre mère
      • Ses pensées
      • Ses conversations, notamment avec ses proches

Pollutions qui commencent à informer et influencer l’être pur que vous êtes.

Et puis vient le grand jour de la délivrance pour votre mère et votre venue au monde. Un grand bol d’air ! Vos poumons se déploient

Commence alors le calvaire.

Et vous êtes formatés par :

      • L’éducation : fais ceci, ne fais pas cela ! Termine ton assiette ! ETC.
      • La culture où vous vous développez (les règles de la famille, de la société, de la religion, etc.)
      • Et les croyances que l’on vous inculque (par exemple la peur du noir, des djinns, le conte de fée, les bonbons de récompense, l’instruction religieuse, etc. …)

Et la manière dont vous êtes formatés fabrique un personnage qui obéit à cette éducation, à cette culture, à ces croyances…

Mais au fond de vous… Votre subconscience a d’autres valeurs… D’ailleurs il vous arrive souvent d’entendre une petite voix qui vous dit : « Mais que fais-tu ? Ce n’est pas toi ! ».

Et ce conflit entre cet être pur et original et le personnage que vous êtes devenu crée un fond anxieux ! Un terreau d’anxiété où va pouvoir se développer la misère…

Un état anxieux plus ou moins important en fonction de votre épigénétique. Car cette confrontation peut être plus ou moins importante et anxiogène.

Sur ce fond anxieux va se faire votre développement d’enfant, d’adolescent et d’adulte jeune.

Or entre 0 et 8-10 ans – en fonction de chacun – le cerveau est immature. Il est incapable d’analyser certains événements de sa vie. Au-delà il les subit et les enregistre et deviennent des éléments pathogènes.

Cette mémorisation vécue génère l’anxiété et semble même déterminer la survenue de maladies diverses (obésité, cardiopathies, diabète) ou de troubles du comportement en matière de santé (comportements alimentaires, prise de risque, addictions…) à l’âge adulte. Cette mémorisation va jusqu’à modifier l’expression de notre épigénétique.

Et je voudrai citer Miller & Coll. à ce propos :

(Miller, G. E., Chen, E., & Parker, K. J. (2011). Psychological stress in childhood and susceptibility to the chronic diseases of aging: Moving toward a model of behavioral and biological mechanisms. Psychological Bulletin, 137(6), 959–997. https://doi.org/10.1037/a0024768 :

« … Les données les plus convaincantes proviennent d’études sur des enfants élevés dans la pauvreté ou maltraités par leurs parents, qui présentent une vulnérabilité accrue aux maladies vasculaires, aux maladies auto-immunes et à la mortalité prématurée.

Ces résultats soulèvent des questions théoriques difficiles.

Comment l’anxiété infantile pénètre-t-il sous la peau, au niveau moléculaire, pour affecter le risque de maladies ultérieures ?

Et comment y incube-t-il, donnant naissance à des maladies plusieurs décennies plus tard ?

Miller & coll. présente un modèle d’intégration biologique… qui soutient que l’anxiété infantile est « programmée » dans une cellule particulière, les macrophages, par le biais de marquages ​​épigénétiques, de modifications post-traductionnelles et de remodelage tissulaire.

Le modèle propose qu’au cours de la vie, ces tendances sont exacerbées par des tendances comportementales et une dérégulation hormonale, elle-même produit d’une exposition à l’anxiété précoce. Sur le plan comportemental, le modèle postule que l’anxiété de l’enfance engendre une vigilance excessive face aux menaces, une méfiance envers les autres, de mauvaises relations sociales, une autorégulation altérée et des choix de vie malsains. Sur le plan hormonal, l’anxiété précoce confère des schémas altérés de décharge endocrinienne et et du système nerveux autonome (végétatif). La réaction qui en résulte fait avancer les mécanismes pathogènes qui favorisent finalement les maladies chroniques »).

En réalité le cerveau immature se retrouve dans l’impossibilité d’identifier le caractère traumatique de ce qu’il vit et donc d’identifier ce qui lui fait du mal.

Il se retrouve, ainsi, confiné dans l’expérience pathogène. L’enfant va, alors, développer de graves troubles qui vont s’exprimer dans sa vie d’adolescent puis d’adulte dans l’anxiété et ses désordres (ceux décrits plus haut dans cet article).

Paradoxalement il y a eu peu d’études ou de travaux sur le sujet mis à part dans le contexte des enfants placés (Dumaret et al., 1997).

Il existe un véritable vide culturel et scientifique, qui conduit de nombreuses professions (médecins, soignants, travailleurs sociaux, psychologues et surtout coachs et thérapeutes…) à ne pas connaître, voire à occulter les liens entre le vécu traumatique des enfants, des adolescents et ses conséquences à l’âge adulte, et les conséquences en termes  de santé physique et de maladies chroniques.

Mais dès 1998 les publications anglophones abondent d’articles sur la fréquence, la sévérité et les formes multiples des conséquences, à l’âge adulte. Les résultats de ces recherches sont issus d’études soit rétrospectives, soit prospectives.

Dans les années 1990 Vincent Felitti (1993), responsable du département de médecine préventive au sein de la clinique Kaiser Permanente à San Diego, en Californie, s’est engagé ces études. Elles ont abouti à la célèbre communication de 1998 (Felitti et al., 1998 https://www.ajpmonline.org/article/S0749-3797(98)00017-8/fulltext)

D’ailleurs dans  la littérature scientifique internationale les termes d’Adverse Childhood Experiences (ACEs) font l’unanimité. (La première étude sur les ACEs a été menée aux États-Unis dans le cadre d’une collaboration entre les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et le Kaiser Permanente de San Diego entre 1995 et 1997, auprès d’une cohorte d’adultes (n=17 000) nés entre 1900 et 1978.)

Dynamique des ACEs selon les périodes de vie

Mon approche thérapeutique tient compte de ces données scientifiques et de mes connaissances en physiologie, physiopathologie et tout particulièrement en neurophysiologie. Elle tient compte de mon passé de chirurgien de médecin clinicien, activité exercée depuis bientôt 50 ans.

Classiquement l’anxiété semble avoir des moyens thérapeutiques bien codifiés :

      • Thérapie de la parole :
        • Psychothérapie spécifique
        • Thérapie des schémas
        • Thérapie cognitivo-comportementale
      • Médicaments anxiolytiques voire antidépresseurs (benzodiazépines, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine)

Les indications thérapeutiques varient selon le trouble anxieux, mais impliquent généralement l’association d’une psychothérapie spécifique du trouble et d’un traitement pharmacologique.Les classes de médicaments les plus couramment utilisés sont les benzodiazépines et les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine 

Et alors ?

On sait maintenant, avec le recul et l’expérience des thérapies ayant débutées au début du XXème siècle et se sont intensifiées au cours de la deuxième partie du XXème surtout après la 2eme guerre mondiale, on sait maintenant :

        • Que la thérapie par la parole demande du temps et la multiplication de séances sur plusieurs mois, voire plusieurs années, avec des résultats très aléatoires…
        • Que les thérapies médicamenteuses marchent dans les formes mineures avec des durée de traitement courts. Beaucoup de patients ingurgitent ces médicaments sur des années voire des décennies et, en contre-coup, deviennent dépendants…

Avec l’expérience clinique, des adaptations je me suis tourné vers ce qui m’a donné les meilleurs résultats sur du moyen-terme 10 – 15 séances et une stabilité sur le long terme.

J’utilise un mix que j’ai mis au point avec le temps et que j’adapte, en permanence, entre l’hypnose, l’EMDR, la thérapie des schémas, la TCC et l’EFT et que je détermine en fonction du patient qui est en face de moi et de la manière dont il évolue.

En réalité le cerveau crée des routines. Et j’utilise ces routines du cerveau pour vous débarrasser d’une manière profonde et durable tous les troubles dont j’ai parlé plus haut :

      • Dans des crises de panique, d’angoisse…
      • Dans des compulsions alimentaires, (boulimie, hyperphagie, anorexie…)
      • Dans des addictions (shit, cocaïne, alcool, jeux, sexe, tabagie, …)
      • Dans des tics, des obsessions, des ruminations, des gestes répétitifs (TOCs)…
      • Dans des somatisations (boule dans la gorge, dans l’estomac, difficultés à respirer, accélération du cœur, rougeur du visage, sudations excessives, bouffées de chaleur, etc.)…
      • Dans des troubles du sommeil (insomnies, réveils nocturnes, cauchemars, sommeil non réparateur, fatigue…)
      • Dans des troubles de la relation (manque de confiance en soi, timidité, manque d’estime de soi, trouble de la parole en public, peur du regard de l’autre, difficultés à savoir qui l’on est, difficultés à dire « Non », troubles de relation dans le couple, phobie sociale, phobie scolaire… etc.)
      • Dans des peurs, phobies,
      • Dans des troubles apparemment organiques : Troubles digestifs, gastriques, colon et intestin irritables, douleurs musculaires, migraines, céphalées, tremblements, douleurs articulaires erratiques, dans des paralysies, des pertes de la sensibilité (parésie),
      • Dans les stress

Mais mes indications thérapeutiques feront l’objet d’un autre article

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mots clés

Anxiété, abus sexuel, violence domestique, violence conjugale, violence domestique, maltraitance, enfants de parents handicapés, harcèlement,  abus de substance, alcoolisme, fumeur, obésité, activité physique, dépression, suicide, comportement sexuel, maladies sexuellement, cardiopathie, Adverse Childhood Experiences, ACE,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les troubles anxieux et l’hypnose – Rabat Maroc

Les troubles anxieux et l'hypnose

L’anxiété est un état psychophysiologique

caractérisé par

      • une agitation,
      • des préoccupations,
      • de la peur ou de l’angoisse,
      • de durée et d’intensité variables,
      • liée à un stimulus interne ou externe, qui n’est pas toujours facilement identifiable.
      • Entre certaines limites, l’anxiété doit être considérée comme une émotion adaptative, car indispensable à la survie.

Cependant, si elle se présente de manière chronique et excessive, jusqu’à modifier la vie d’une personne à divers degrés, un diagnostic de trouble anxieux peut être posé, caractérisé par une « anxiété pathologique ».

L’anxiété pathologique peut se manifester en relation avec des moments de fort stress exclusivement ou bien être présente de manière plutôt stable, c’est-à-dire prendre la forme d’un trait caractéristique de la personnalité.

Il existe évidemment des conditions intermédiaires, dans lesquelles l’individu fait l’expérience d’anxiété pathologique exclusivement durant certaines périodes de sa vie.

Les principaux troubles anxieux sont :

      • trouble d’anxiété de séparation,
      • mutisme sélectif,
      • phobie spécifique,
      • trouble d’anxiété sociale,
      • trouble panique,
      • agoraphobie,
      • trouble d’anxiété généralisée.

Trouble d’anxiété de séparation :

correspond à de la peur ou de l’anxiété excessive et inappropriée par rapport au stade du développement, concernant la séparation avec des personnes auxquelles l’individu est lié.

Mutisme sélectif :

il s’agit d’une difficulté continue à parler dans des situations sociales spécifiques où l’on s’attend à ce que le sujet parle (par exemple à l’école), bien qu’il soit à même de parler dans d’autres situations. Cette condition affecte les résultats scolaires, professionnels ou la communication sociale.

Phobie spécifique :

il s’agit d’une peur intense et irrationnelle face à un ou plusieurs objets ou bien face à des situations bien déterminées ; le symptôme principal de ce trouble est la très forte tendance à éviter l’objet qui fait peur. La personne phobique ne peut pas se soustraire volontairement à sa peur, tout en ayant une assez bonne conscience du fait que son intense émotion est irrationnelle et peut affecter l’adaptation optimale à son milieu de vie.

Trouble d’anxiété sociale :

c’est la peur, souvent intense et envahissante, de se trouver dans une situation sociale donnée ou à avoir une prestation inhabituelle qui entraîne, en quelque sorte, le jugement de la part d’autres personnes ; le contact avec les autres est caractérisé par la peur d’être mal jugé et de se comporter de manière gênante et humiliante.

Trouble panique :

il s’agit de la répétition chronique d’attaques de malaise et peur très intenses (attaques de paniques provoquant tremblements, vertiges, douleurs à la poitrine, difficultés dans la respiration, sensation de mourir et d’autres symptômes moins fréquents ; la durée est d’habitude – mais pas toujours – brève, de l’ordre de quelques minutes). L’individu a peur que l’attaque se représente et/ou de ses conséquences et tend à modifier son style de vie à cause de ces possibilités.

Agoraphobie :

il s’agit de la peur ou de l’anxiété importante qui se manifestent pendant l’utilisation de moyens de transport public, dans les espaces ouverts, pendant les queues ou dans la foule ou encore en étant tout seul en dehors de chez soi. Le trouble implique que la personne, en ayant peur, tende à éviter ces situations. Elle considère qu’il serait difficile ou gênant de sortir, car elle craint de ne pas être secourue en cas de besoin.

Trouble d’anxiété généralisée :

il s’agit d’un trouble chronique commun, caractérisé par un état d’anxiété durable et fluctuant, qui n’est pas justifié ni par un objet ni par une situation particulière. La personne souffrant de ce trouble ressent en permanence la sensation de craindre quelque chose d’indéfini ; elle est tout le temps dans une agitation constante qui lui est très difficile de contrôler. La tension musculaire continue et la réaction du système nerveux autonome peuvent amener au développement de migraines, de palpitations, de vertiges, de troubles gastriques et d’insomnie.

Les troubles anxieux ont comme dénominateur commun une réponse excessive du système nerveux sympathique,

qui se traduit en une série de symptômes corporels non adaptatifs, en réponse à des événements plus ou moins stressants ou perçus comme tels.

Certaines hormones produites en réponse au stress, comme le cortisol, peuvent contribuer à augmenter l’état d’activation psychophysiologique.

Sur le plan psychologique, un Moi affaibli, des capacités d’élaboration cognitive et émotionnelle insuffisantes et des comportements dysfonctionnels peuvent maintenir ou aggraver les symptômes.

Critères diagnostiques

On relève : un sentiment de peur, d’angoisse ou de préoccupation inappropriée sans rapport avec la situation réelle, des symptômes physiques, tels que la transpiration, la tachycardie, les tremblements, les vertiges, l’évanouissements, les nausées, l’agitation psychomotrice, les douleurs à la poitrine, un blocage du langage ou de certains comportements.

Pour une présentation plus détaillée des critères de chaque trouble, on renvoie à la consultation du DSM-5.

Indications thérapeutiques cliniques

L’hypnose peut être employée efficacement dans les troubles anxieux, pour agir sur les symptômes physiques, sur l’élaboration cognitive et émotionnelle (en intervenant sur les schémas cognitifs et sur les convictions dysfonctionnelles, sur les images mentales et sur la perception des émotions) et sur les comportements dysfonctionnels.

Dr Jean-Victor Belmère 

COVID-19 Anxiété et hypnothérapie – Rabat Dr Belmère

COVID-19 Anxiété et hypnothérapie

Le COVID-19, une pandémie mondiale sans précédent,

a un effet énorme sur la vie de pratiquement tout le monde. Des personnes qui ne peuvent pas voir leur famille et leurs amis ou qui peuvent sortir au pub ou au restaurant, aux enfants qui ne peuvent pas aller à l’école.

Cela nous amène à nous inquiéter pour notre santé, nos emplois et notre avenir. Nous constatons que nos vies changent quotidiennement et que la couverture médiatique constante peut nous laisser anxieux et déprimés.

Bien que nous ayons besoin de nous tenir au courant des dernières nouvelles, de trop regarder peut avoir un effet néfaste sur nous et notre santé mentale.

Des mesures comme le port de masques, la distanciation sociale et l’impossibilité d’utiliser les installations de loisirs contribuent toutes à avoir un effet négatif sur nos vies et notre façon de penser.

Cette pandémie a un impact sur nous émotionnellement, physiquement et financièrement

avec des mesures gouvernementales strictes qui nous ont été imposées et se poursuivra probablement longtemps. Pas étonnant que nous soyons nombreux à ressentir des symptômes de stress, de dépression et d’anxiété.

L’hypnothérapie est un moyen très populaire et efficace de traiter ces problèmes sans médicament et parfaitement sûr.

Vous serez guidé dans un état profond de relaxation, puis des suggestions positives seront apportées à votre subconscient vous permettant de surmonter votre stress ou votre anxiété.

De petites quantités d’anxiété ou de stress sont inévitables et ne causent généralement pas nécessairement de problèmes. Cependant, si votre corps est soumis à un stress constant, cela peut être très préjudiciable à votre santé, à la fois physiquement et mentalement.

Si l’anxiété n’est pas traitée, elle peut causer des dommages étendus au corps en raison des hormones du stress

comme le cortisol et l’adrénaline qui pénètrent dans la circulation sanguine. Au fil du temps, cela peut causer de nombreux problèmes tels que l’affaiblissement de votre système immunitaire et vous rendre plus vulnérable aux maladies et infections virales et même entraîner des accidents vasculaires cérébraux et des maladies cardiaques.

Les symptômes typiques de l’anxiété sont:

Symptômes physiques

Maux de tête
Douleurs à la poitrine
Perte d’appétit
Se sentir nauséeux et étourdi
Rythme cardiaque irrégulier

Symptômes mentaux

Troubles du sommeil
Larmes
Ruminant
Crises de panique
Se sentir tendu et nerveux
Changements de comportement
Difficulté à se concentrer
Continuellement inquiétant
Ne pas pouvoir profiter des choses que vous appréciez autrefois
Problèmes de concentration

Il est vital de traiter les symptômes avant qu’ils ne causent trop de dégâts

et les moyens efficaces de traiter ces symptômes comprennent: utiliser des techniques de respiration apaisantes, faire de l’exercice comme la course ou la marche, le yoga, discuter avec des amis ou la famille et, surtout, avoir une alimentation saine avec des repas sains réguliers et beaucoup d’eau.

Essayez de ne pas vous concentrer sur des choses que vous ne pouvez pas changer et essayez plutôt de voir les éléments positifs de votre vie. Évitez d’utiliser des stimulants tels que la cigarette, la drogue ou l’alcool, car ils peuvent tous contribuer à une mauvaise santé physique et mentale.

L’hypnothérapie peut être un outil très efficace pour lutter contre le stress et l’anxiété.

Simplement en vous apprenant à vous détendre profondément, il est très bénéfique de nous aider à faire face à nos vies bien remplies.

L’anxiété est en fait de la peur et peut être apprise inconsciemment, donc l’hypnothérapie peut être utilisée pour essayer de comprendre pourquoi vous vous sentez de cette façon, puis inverser ces peurs et sentiments.

Pendant que vous êtes dans cet état très détendu, des suggestions positives seront introduites dans votre subconscient pour entraîner votre cerveau à éradiquer ces peurs.

Votre subconscient est la partie de l’esprit où les expériences et les informations sont stockées,

ce qui fait de l’hypnothérapie une excellente méthode pour modifier ces sentiments sous-jacents.

Si, par exemple, vous avez eu une mauvaise expérience dans le passé qui vous a amené à vous sentir anxieux dans des situations sociales, cela peut causer une vie d’anxiété autour de cette expérience. Être capable de modifier votre subconscient aidera à atténuer ces sentiments négatifs et à les transformer en positifs.

L’hypnothérapie peut vous aider à vous sentir plus calme et plus confiant.

Par exemple, lorsque vous êtes dans des situations sociales, cela peut vous encourager à regarder la vie d’une manière beaucoup plus positive, plutôt que de vous inquiéter, de ruminer et d’avoir des pensées négatives continuellement.

L’hypnothérapie peut vous aider à changer vos schémas de pensée en renforçant votre confiance en vous.

Au fur et à mesure que l’anxiété diminue, vous constatez que les symptômes désagréables commencent à s’atténuer et que vous vous sentez tellement mieux et que les stratégies d’adaptation négatives vers lesquelles vous vous êtes tourné dans le passé se dissipent.

De nombreuses associations médicales reconnaissent maintenant l’hypnothérapie

comme un traitement très bénéfique et sans médicament pour le stress, l’anxiété et de nombreuses autres conditions et l’hypnose est une technique complémentaire efficace et sûre largement utilisée pour traiter un certain nombre de problèmes.

Guérir de la dépression – Rabat Maroc

Hypnose guérir la dépression

Peut-on s’éloigner de la dépression et guérir ? OUI grâce à  l’hypnose (selon un protocole strict) !

Docteur Jean-Victor Belmère – Rabat Maroc

La dépression est un terme générique qui couvre plusieurs aspects de la maladie. #balancetadepression.

Ce qu’il faut savoir sur la dépression : 

      1. La dépression est toujours liée à une cause, une cause profonde souvent révélée dans l’enfance, et cette causse profonde fait le lit, le terreau de la dépression future, si elle se manifeste.
      2. La dépression est toujours réactionnelle.
        Sur ce terreau de cause profonde se développe , face à des conflits internes, des difficultés familiales (rupture sentimentale, perte d’un être cher) ou sociales, des difficultés professionnelles, des échecs, des maladies somatiques souvent chroniques se développent une spirale négative qui a des incidences psychologiques, physiopathologiques, endocriniens et métaboliques… 
      3. Les anxiolytiques et les antidépresseurs ne guérissent pas la dépression. Ce sont des écrans qui masquent les signes mais ne traitent le problème de fond. C’est comme si mettez une couche de peinture sur un mur humide… Au début c’est beau. Mais rapidement l’humidité réapparait. 

Qu’est-ce que la dépression ? Elle est caractérisée par trois types de symptômes

      1. La chute de l’humeur 
        Plus le moral, broie du noir..
        une vison pessimiste, dramatique, dramatisante de la vie, de son passé, du futur, du présent.
      2. Le blocage 
        concerne tous les domaines, psychologiques, sentimentaux, relationnels, somatiques (le corps)
        fermeture, repli sur soi,  avec une « grosse » fatigue, tout devient corvée, 
        tout baisse, combativité, motivation, énergie, appétit, désir sexuel, 
        sommeil perturbé, transit intestinal troublé, 
        tout se ralentit concentration, mémoire, raisonnement
      3. La souffrance morale
        sa conscience reste intacte mais avec des sentiments d’infériorité, d’échec, dénigrement de soi, 
        angoisses, culpabilité, 
        impression d’incurabilité, certitude de ne jamais en sortir 
        tentatives de suicide pour retrouver la paix de l’âme.

La dépression indifféremment touche les deux sexes.

Un homme sur 10 et deux femmes sur 10.

Guérir de la dépression

On a décrit plusieurs type de dépression 

          • la dysthymie qui serait une dépression chronique mineure
          • la dépression saisonnière
          • la dépression post natale
          • la dépression masquée
          • le burnout
          • la dépression majeure
          • les troubles bipolaires
          • même la dépression exogène ou endogène
          • il faut mettre en exergue le Syndrome Dysphorique Prémentruel

Cette classification n’a pas d’intérêt en hypnose ou le travail est surtout centré sur la cause profonde à élucider, puis un travail conséquent sur les symptômes eux-mêmes

Comme je l’ai dit plus haut toute dépression a une cause et le traitement symptomatique à base d’antidépresseurs et d’anxiolytiques ne permet pas de la guérir. Il faut donc entrer en subconscience pour aller dénicher cette cause, éventuellement par des techniques de régression.

Découverte fortuite en 1951 du premier anti-dépresseur utilisé pour traiter, au départ, la tuberculose, l’iproniazide

Il devient  le chef de file des anti-dépresseurs tricycliques avec une descendance innombrable de dérivés. Les anti-dépresseurs constituent le premier volet d’un marché pharmacologiques juteux. 

Seul problème un antidépresseur n’a jamais soigné une dépression. Il est plutôt là pour la masquer et l’entretenir. les anti-dépresseurs entretiennent des revenus mirobolants pour les laboratoires qui les produisent car plus de 300 millions de personnes sont soignées chaque jour dans le monde !

Médecins et psychiatriques les prescrivent à tour de bras. Ces praticiens revoient régulièrement les « déprimés » pour renouveler leurs ordonnances, modifier la posologie ou prescrire le « nouvel antidépresseur » dernière génération informé de leur sortie par les visiteurs médicaux… 

Mais vous connaissez-vous un seul patient qu'un antidépresseur ait sorti de la dépression ?  Malheureusement moi non plus.

Mais vous connaissez-vous un seul patient qu’un antidépresseur ait sorti de la dépression ?

Malheureusement moi non plus.

En hypnose le travail sur la dépression suit un protocole précis 

D’abord la mise en confiance

Car un déprimé chronique qui souvent a fait le tour des psychiatres, des psychothérapeutes et autres médecines alternatives doute. Il doute de pouvoir s’en sortir un jour. 

Il n’a plus confiance, plus confiance aux médicaments, plus confiance au psychiatre, plus confiance en lui-même. et l’hypnothérapeute est la nième personne vers laquelle il se tourne en désespoir de cause !

Sauf que l’hypnose va le sortir de là.

La première étape de la thérapie sous hypnose est d’abord d’apprendre à lacher-prise 

Qu’est-ce que cela veut dire ? Rassurer la partie rationnelle du patient pour qu’il se laisse aller dans une relation où la partie inconsciente va prendre le relais 

Et cela prend u temps. Car une première hypnose a un effet d’apaisement très important, une relaxation et un relâchement incroyables. Problème ? La première hypnose a un effet limité dans le temps. 

Il faudra souvent deux à trois séances pour que la thérapie de la dépression puisse se mettre en route, et obtenir un lâcher-prise sur la période qui sépare les séances. 

A partir de ce moment là, la relation de confiance est établie 

Il s'agit maintenant de faire un travail en profondeur pour déterminer le "terreau"où la dépression a pu se développer, chercher la cause.

Il s’agit maintenant de faire un travail en profondeur pour déterminer le « terreau »où la dépression a pu se développer, chercher la cause.

Ce que j’ai appelé, au tout début, la cause profonde. 

Il s’agit par des séances de régression de déterminer à quelle moment la graine s’est implantée et pourquoi ? 

Et là surprise on s’aperçoit que la cause est souvent minime.

Mais dans tous les cas elle remonte à l’enfance. Il s’agit d’un interprétation par l’enfant d’une situation.

Cette interprétation fausse toute la perception émotionnelle, et se structure alors  un mécanisme vers la dépression, vers un mal être, autour duquel s’agrège toute la vie émotionnelle de l’adolescent, de l’adulte jeune, de l’adulte mûr, puis de l’adulte vieillissant. 

Cette interprétation initial est sous l’influence du milieu dans lequel il se développe. De la culture de ce milieu. Des croyances de son environnement. De l’éducation qu’il subit dans un environnement socio-culturel particulier. 

Il faut prendre conscience que l’on reproduit ce que l’on voit et apprend de son milieu familial et éducatif.

Et ainsi se développe les conditions d’une dépression.

Ensuite travailler sur chaque élément de la symptomatologie qui est propre à CHAQUE patient

Le travail est alors patient, systématique sur la symptomatologie réactionnelle  qui est individuelle et qui tient compte non seulement de l’histoire du déprimé mais de la manière dont il a évolué depuis sa tendre enfance sous les injonctions de son environnement culturel, éducationnel et ses croyances.

Mais ce syndrome dépressif a créé ses propres déviances émotionnelles qui se sont ancrées, mémorisées et enfouies qu’il convient patiemment de déstructurer te de réparer par un travail éclairé avec l’inconscient, selon des protocoles stricts et rigoureux. 

En un mot seule l’hypnose a les atouts pour vous sortir de la dépression

Docteur Jean-Victor Belmère – Hypnose PNL EMDR

Thérapies sous Hypnose & PNL bilan de ces deux dernières années – Dr Belmere – Rabat Maroc

Hypnose en Conscience

Thérapies sous Hypnose & PNL, J’ai profité de cette assignation à résidence

Qu’est le confinement pour faire le point sur les thérapies entreprises depuis un peu plus de deux ans ici au Maroc, et leurs indications?

Souvent il y a association de plusieurs symptomatologies ou motifs de consultation. Pour cette raison je n’en n’ai pas dressé des statistiques strictes. 

Motifs généraux :

      • Phobies de toutes sortes,
      • Traumatismes : accident, décès, divorces…
      • dépression exogène,
      • anxiété, crises de panique,
      • stress et mal-être,
      • migraines,
      • insomnies,
      • cauchemars,
      • troubles obsessionnels et du comportement,
      • paralysie,
      • cécité,
      • surdité,
      • aphonie,
      • amnésie,
      • dysphagie,
      • reflux gastro-oesophagiens
      • tics,
      • hoquet,
      • bégaiement,
      • grossesse,
      • préparation préopératoire,
      • accouchement sans douleur,
      • dentisterie,
      • analgésie,
      • anesthésie et suites postopératoires ;

Lutte contre la douleur :

      • Douleur chronique,
      • examens médicaux pénibles,
      • cancer,
      • grand brûlé…
      • soutien durant le traitement du cancer, du sida et autres graves maladies,
      • ichtyose,
      • hémophilie, herpès génital ou labial,
      • leucémie,
      • diabète,
      • vaginisme,
      • frigidité,
      • anorgasmie,
      • dysménorrhée et aménorrhée,
      • impuissance,
      • éjaculation précoce,
      • infertilité,
      • énurésie,
      • coprorésie,
      • rétention urinaire,
      • pollakiurie,
      • excès de poids,
      • onychophagie,
      • boulimie,
      • anorexie,
      • toxicomanie,
      • tabagisme,
      • alcoolisme,

Maladies de la peau :

      • névrodermite,
      • psoriasis,
      • prurit,
      • verrues,
      • acné,
      • zona,
      • eczéma,
      • urticaire,
      • calvitie…
      • allergies ponctuelles ou chroniques,
      • asthme,
      • hypertension artérielle,
      • problèmes de vue,
      • troubles gastro-intestinaux,
      • problèmes de croissance (taille, seins),
      • syncopes, maladie de Raynaud,
      • hyperhydrose,
      • personnalité fractionnée,
      • procrastination,
      • hypocondrie,
      • manque de confiance en soi,
      • entraînement à la concentration, à la performance : sport, études, examens,
      • réorientation professionnelle ou personnelle,
      • prise de décision importante, dilemme, etc.

Les maladies lourdes, en association avec le traitement médical

type cancer, aux origines souvent existentielles (en complément du traitement médical),

Les problèmes d’ordre physique

à répétition et de cause inexpliquée (céphalée, mal de dos, mycoses, cystite et autres somatisations),

Les effets du patriarcat

(femmes qui se sous-estiment, qui n’ont pas de goût à la vie, qui restent en arrière-plan, derrière leur mari, qui souffrent de non-reconnaissance, etc.),

Les problèmes d’identité (y compris d’ordre sexuel),

      • les femmes trop « solaires » (coupées de leur féminin) et
      • les hommes trop « lunaires » (coupés de leur masculin),
      • orientation sexuelle, 
      • mal-être existentiel,
      • tristesse ou sentiment d’impuissance chronique,
      • sensation d’être dissocié, coupé du corps, de ses émotions et sentiments,
      • excès d’esprit d’analyse,
      • rumination,
      • loyautés familiales,
      • rancœur,
      • deuil,
      • être (ou se croire) toujours victime, prisonnier d’une situation, critiqué ou jugé par les autres,
      • timidité,
      • agressivité,
      • colères,
      • hyperactivité,
      • besoin de multiplier les relations affectives sans lendemain,
      • peur de l’abandon,
      • tendances suicidaires,
      • dialogue intérieur négatif dévalorisant, rabaissant,
      • impossibilité de construire un couple ou de maintenir un couple,
      • problèmes de couple,
      • infertilité psychologique,
      • échecs personnels ou professionnels à répétition,
      • sensation d’être transparent, inintéressant,
      • trop grande naïveté,
      • crédulité,
      • pessimisme,
      • sentiment d’injustice,
      • d’infériorité,
      • dépression endogène,
      • besoin de trouver sa voie,
      • manque de créativité,
      • perte du goût de la vie,
      • excès d’attente par rapport aux autres,
      • besoin excessif d’attirer l’attention, etc.

Nombre des troubles cités sont plus avantageusement et durablement traités grâce aux procédés l’hypnose en conscience que nous avons développé,  qui tient davantage compte de la psychologie profonde, de l’histoire de vie et des mécanismes émotionnels de la personne. 

Impact du stress et de l’anxiété

L'hypnose est un outil extrêmement efficace pour vous aider  à transformer vos réactions négatives (en situations de stress perçues) en atouts positifs.

L’anxiété et le stress peuvent avoir un impact négatif

sur la vie quotidienne des personnes, notamment sur leur carrière, leur vie personnelle et leur vie personnelle.

Une personne peut aller à l’extrême, en différentes situations de stress ou d’anxiétés.  Ce qui peut constituer un sérieux obstacle à sa vie personnelle et/ou professionnelle.


En tant que thérapeute, je peux trouver des solutions pour vos souffrances liées au stress et à l’anxiété. 

L’hypnose est un outil extrêmement efficace

pour vous aider  à transformer vos réactions négatives (en situations de stress perçues) en atouts positifs.