La dimension des valeurs occupe une place importante en coaching, thérapie, hypnose ou sophrologie

les valeurs

 Une valeur, c’est une manière d’être ou d’agir reconnue comme importante.

Les valeurs peuvent servir de règles essentielles sur lesquelles un individu établit les grands principes de sa vie. Les valeurs sont le noyau d’un système de croyances.

Elles influencent chaque décision prise par un individu

Les valeurs qui ne sont pas en harmonie avec ses valeurs personnelles créeront des conflits difficiles à résoudre.
Ainsi, lorsqu’une personne sait à quoi s’en tenir au sujet de ses valeurs, il est plus facile pour elle de faire un choix.

Ainsi, négliger le rôle des valeurs en coaching, thérapie, hypnose ou sophrologie revient à risquer l’insatisfaction, la démotivation et le conflit d’identité .

Les valeurs sont utiles à la résolution de conflits, à la prise de décision et interviennent au plan motivationnel dans le fonctionnement de la personnalité. Le travail contribue au développement de l’identité, car il comporte des dimensions très valorisées par les individus, tel le statut social, l’argent, la réalisation, le dépassement, etc.

Perron (1981) révèle trois dimensions à considérer dans toute définition applicable aux valeurs : la dimension cognitive, la dimension affective et la dimension comportementale.
Un individu peut identifier des valeurs cognitives auxquelles il s’identifie, en référence à un « moi idéal ou idéalisé ». Elles peuvent ne jamais être affectionnées ou actualisées au plan comportemental.

Nous sommes très attentifs  à l’aspect « valeur de référence ou valeur incarnée» en coaching, thérapie, hypnose ou sophrologie.

Si l’individu ne peut justifier aucune action, expérience ou réalité démontrant un lien effectif de la valeur avec son histoire, cette valeur restera cognitive et difficile à concrétiser ou satisfaire dans le cadre du coaching, thérapie, hypnose ou sophrologie. En présence d’une valeur de référence ou idéalisée, nous aidons  notre patient à clarifier sa valeur à l’aide de d’outils de neurosciences développés dans cette intention 

Il est important de préciser à l’individu que le choix de ses valeurs doit se faire indépendamment de ce que quiconque pourrait en penser, incluante le thérapeute ou le coach.

La clarification des valeurs est une étape essentielle pour s’assurer qu’on travaille sur des bases solides.

Cas patients : Se protéger contre les paroles blessantes

Se protéger contre les paroles blessantes

Le cas de Aïcha ou comment se protéger contre les paroles blessantes

Les belle-sœurs et la belle mère de Aïcha sont condescendantes à son endroit

Il y a quelques jours, les femme se sont à nouveau liées contre Aïcha, mais, cette fois, elles sont allées beaucoup trop loin : les propos cruels ont secoué notre patients, qui a fui, sans répondre, les larmes aux yeux.

Aïcha affirme que, depuis son mariage chaque fois qu’elle va dans sa belle-famille c’est toujours le cas.  

Elle reçoit des paroles blessantes – des sous-entendus, des insultes même. Depuis elle se sent déconsidérée, même vis-à-vis de son mari, son caractère est devenu instable et elle a perdu son caractère enjoué… Elle  manque même de concentration.

Également, elle ressent au niveau de son corps des douleurs un peu partout, surtout des crampes à son estomac et les mains moites et des tremblements lorsqu’elle pense à sa belle-famille. Beaucoup de  points de tension au niveau de son corps. elle peut fondre en larmes à tout instant.

Elle voudrait être capable de « se défendre » face à ses belle-sœurs, et leur mère,

Elle voudrait être capable de « se défendre » face à ses belle-sœurs, et leur mère,

mais ses valeurs lui interdisent de manquer de respect. Aïcha a conscience de sa difficulté à s’affirmer vis-à-vis de celles qui semblent vouloir la persécuter. Elle doute maintenant de tout, de sa capacité à interagir avec ces femmes sans qu’éclate une dispute.

Coach Mansouria a réalisé le bilan de départ

et a noté que Aïcha a une bonne estime d’elle-même mais que la peur d’être abandonné par son mari la paralyse et elle développe des peurs de plus en plus fortes : Peur d’abandon, Peur de perdre son contrôle, Peur de ne plus pouvoir se contrôler. Et elle a remarqué que l’intimité avec son mari avait diminué ces derniers temps. 

Il est décidé de travailler sur l’Estime de Soi et la Confiance en soi en coaching individuel de vie, puis d’agir sur les Émotions via la Thérapie des Émotions Ancrées Mémorisées et Enfouies… 

En quelques séances les peurs et les émotions négatives disparaissent et Aïcha reprend confiance en elle. Mais ses belle-soeurs continuent leur pilonnage d’autant plus qu’elles sentent que leurs gestes, leurs paroles, leurs attitudes ne blessent plus comme avant. Elles lui disent même « tu as changée ! », mais celle exacerbe leur envie de la blesser. 

Pour renforcer l’affirmation de soi et l’assurance face à des mots ou attitudes blessants

le Docteur Belmère entreprend une série de séances hypnotiques qui visent à augmenter la protection contre les agressions verbales et à devenir un miroir de ces agressions. L’agresseur se sent alors alors agressé lui-même sans que l’attitude d’Aïcha ne montre la moindre brutalité ou agressivité, au contraire, elle déborde d’empathie. Le maintient du calme de Aïcha devient alors une arme qui rend les agressions stériles…

En moins de trois mois Aïcha a imposé le respect. Ses relations avec son aimé ont repris de plus belle. Mais de lui-même son époux a choisi de moins voir sa famille et sa famille qui vient maintenant chez eux. Aïcha met alors tout son coeur à les recevoir, d’autant qu’un nouveau bonheur se prépare… Elle attend un enfant 

 

Adolescent : les coachings à Rabat

La réussite scolaire est souvent la conjonction de la confiance en soi et de l’estime de soi

qui génère un « état de calme » propice à d’excellentes performances scolaires.

Nous sommes en mesure d’aider les jeunes adolescents

qui doutent ou qui n’ont pas pris conscience de leurs aptitudes. Nos techniques permettront au collégien et au lycéen d’améliorer leurs performances scolaires en compréhension.

Notre habitude de thérapie et de coaching individuel

conforte détente et bien-être chez l’adolescent. Nous le conduisons à devenir plus calme, plus concentré en classe. Puis nous agissons afin qu’il utilise pleinement ses connaissance conduisant à une réussite scolaire exemplaire.

Le déroulé de notre accompagnement comprend :

bâtir confiance et augmenter ses capacités afin d’augmenter « l’estime de soi »
renforcer calme et concentration lors des cours et des examens
permettre à l’adolescent d’acquérir une méthode pour utiliser pleinement ses connaissances, ses compétences et ses aptitudes de compréhension

Cette thérapie coaching à Rabat Agdal s’adresse aux adolescents (fille et garçons) voulant

améliorer leurs performances scolaires, ayant besoin de renforcer leur confiance en eux-mêmes et ouverts à la possibilité d’acquérir une méthode pour faire plein usage de leurs connaissances et leurs compétences en classe..

Pour toute information contacter : Docteur Jean-Victor Belmère à Rabat Agdal Tél.: 0652 029 860 ou Mansouria El Bouchikhi Belmère Tél.: 0652 02 99 02

Comment définir le « bien-être » en neurosciences

Ajouter la gratitude dans une « hygiène mentale » est une forme d’intelligence émotionnelle.

4 habitudes peuvent influencer sur notre rapport au bien-être

Suis-je reconnaissant(e) aujourd’hui ? Question  primordiale à se poser tous les jours et si possible soir avant de dormir !

Parce que faire preuve de gratitude active des neurotransmetteurs qui produisent notamment de la dopamine et de la sérotonine.

Penser aux choses pour lesquelles nous pourrions être reconnaissant nous invite à considérer les aspects positifs de la vie.

Et ce n’est pas tant les choses pour lesquelles nous éprouvons de la gratitude qui comptent… mais surtout la mise en marche, le fait de se mettre à la recherche de ses petits moments de bonheur.


Ajouter la gratitude dans une « hygiène mentale » est une forme d’intelligence émotionnelle.

Faire preuve de gratitude envers d’autres personnes a également un effet positif sur les relations que nous entretenons avec les autres et rend les interactions sociales plus plaisantes. Etre reconnaissant même pour les petits gestes du quotidien installe un cercle vertueux dans les toutes les relations que nous pouvons entretenir avec d’autres humains (couple, enfant, famille, collègues, clients, artisans…).

Nommer les émotions douloureuses, désagréables

Dans l’étude IRM « Putting Feelings into Words », des participants ont été invités à regarder des images de personnes dont les visages portaient des émotions visibles et fortes. L’amygdale (centre des émotions dans le cerveau qui détecte et alerte sur les dangers) s’active en fonction des émotions représentées. Mais quand ces mêmes participants ont été invités à nommer les émotions perçues, le cortex préfrontal (centre de décision et de raisonnement du cerveau) s’est alors activé et a réduit l’impact de l’amygdale. En d’autres mots, reconnaître et nommer les émotions en réduit leur impact.

Nommer les émotions est à l’opposé du fait de réprimer, nier ou enfouir les émotions : c’est justement le fait de chercher à supprimer les émotions qui va en augmenter l’impact « tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime ».

Les neurosciences nous invitent donc à stimuler notre  intelligence émotionnelle :

Intelligence émotionnelle
Intelligence émotionnelle

  • identifier les émotions – notamment à travers les sensations corporelles qui alertent sur la présence de telle ou telle émotion
  • comprendre les émotions – on a tendance à confondre le déclencheur (ex : une remarque, une critique) et l’émotion elle-même (ex : la colère, la peur, la tristesse). Par ailleurs, les émotions sont comme des visiteuses qui nous alertent sur un besoin non satisfait et repartent quand le besoin est comblé.
  • exprimer les émotions– mettre des mots sur les émotions les calme et permet de les exprimer de manière acceptable et constructive.  Mais exprimer ses émotions à la bonne personne, au bon moment, de la bonne manière et à la bonne intensité n’est pas facile.

 

Emotions Causes
PEUR / Terreur Danger inconnu / Danger imparrable
COLERE / Rage Frustration, Injustice / Impuissance
TRISTESSE / Douleur Perte / séparation
AMOUR Lien
DEGOUT Nocivité / Perte de confiance, Viol
JOIE Réussite, Rencontres

 

Des méthodes anciennes nous ont largement devancés dans ce domaine : la  méditation consiste justement à accepter les émotions telles qu’elles se présentent sans chercher à les faire passer mais en les accueillant comme des visiteuses inattendues. La pleine conscience propose également d’accueillir les sensations corporelles présentes en les nommant et en ressentant pleinement les manifestations. Notre technique de Thérapie des Émotions Ancrées et Enfouies consiste à mettre en exergue les mots du corps qui s’ex^riment lors des émotions parasitent qui perturbent notre vie

Prendre des décisions

Les neurosciences ont montré que le fait de prendre une décision réduit l’anxiété (en plus d’aider à résoudre les problèmes).

La prise de décisions inclut le fait des créer des intentions, de poser des objectifs, d’élaborer des stratégies pour y parvenir et de réévaluer les options lors de la réalisation. Tous ces processus mentaux sollicitent les mêmes circuits neuronaux du cortex pré frontal. Or, on l’a vu plus haut, le fait de solliciter le cortex préfrontal réduit l’impact de l’amygdale (centre des émotions qui court circuite le raisonnement logique).

Pour autant, la prise de décision n’est pas chose facile. Les neurosciences insistent sur le caractère « suffisamment bon » d’une décision. Il n’est pas nécessaire de chercher à prendre une décision parfaite pour résoudre un problème. Le perfectionnisme est source de stress et sollicite l’amygdale. C’est la prise de décision ferme qui envoie le message au cerveau que les choses sont sous contrôle.

Une décision suffisamment bonne en théorie est presque toujours suffisamment bonne dans les faits !

Par ailleurs, l’action de décider augmente le plaisir ressenti. La prise de décision induit un changement dans les circuits de l’attention et dans la manière dont on se sent par rapport au problème. Cela conduit à une hausse de l’activité de la dopamine, l’hormone de la récompense. Nous nous sentons plus heureux quand ce qui nous arrive de bien est consécutif à une décision que nous avons prise et des actions que nous avons entreprises que lorsque ces événements heureux nous arrivent par « chance » ou par l’intermédiaire de l’action d’autres personnes.

Quand nous sommes confrontés à une décision que nous avons subies ou que nous prenons sous le poids des conventions sociales (« tu devrais faire ça », « on a toujours fait comme ça, « c’est vrai que je devrais… »), le circuit de la récompense n’est pas activé dans le cerveau… c’est même plutôt le circuit du stress qui s’active !

On ne se contente pas de choisir les choses qu’on aime, on aime aussi les choses qu’on choisit !

Faire entrer des gens dans la danse

Nous sommes des animaux sociaux et nous avons besoin des autres pour nous construire.  Nous avons besoin de nous sentir aimés, acceptés, compris par d’autres êtres humains.

Le rejet social a un impact aussi douloureux qu’une blessure physique.

Des neuroscientifiques ont conduit une étude dans laquelle les participants étaient invités à jouer sur un ordinateur : il s’agissait de se renvoyer un ballon mutuellement. Les chercheurs ont expliqué aux participants que des « vraies » personnes recevaient et lançaient le ballon (qu’il ne s’agissait pas juste d’un programme informatique). Il est apparu que ces participants ont ressenti une douleur physique quand les soit disant autres joueurs ont arrêté de jouer le jeu et de renvoyer la balle.

Les relations saines et chaleureuses avec d’autres personnes sont donc partie prenante du bien-être.

Les neurosciences vont même plus loin : le fait de toucher et d’être touché participe à la sécrétion d’hormones du bien-être (à condition que ces gestes soient consentis et respectueux).

Le toucher est très puissant. C’est la première manière de libérer l’ocytocine dans l’organisme. L’ocytocine est l’hormone qui permet aux êtres humains d’avoir de l’empathie, d’aimer. Elle nous déstresse et nous donne confiance : sans confiance en l’autre, l’amour et l’amitié sont impossibles. L’ocytocine joue un rôle essentiel dans toutes les relations humaines.

Les effets de l’ocytocine sont nombreux :

  • Le lien et l’affection

L’ocytocine est la molécule de la relation aux autres, des relations sociales, de l’amitié et de l’amour. L’ocytocine favorise l’empathie et aide les parents à interpréter correctement les signaux émotionnels des enfants. Elle est considérée comme l’hormone du lien et de l’affection.

L’ocytocine aide à décrypter l’expression d’un visage, d’un regard.

  • Un effet anti stress

L’ocytocine a un effet apaisant, anti stress. Elle diminue les réactions de peur et rend la vie plus douce en diminuant l’anxiété et l’agressivité.

Cette fonction anxyolitique de l’ocytocine explique pourquoi les relations empreintes de tendresse sont corrélées avec la santé physique et le bien être. – Catherine Gueguen (Pour une enfance heureuse)

  • Des implications sociales

L’ocytocine rapproche les êtres : elle joue un rôle majeur dans :

  1. la capacité à créer des liens dans une relation en duo ou dans un groupe,
  2. la cohésion des groupes en réduisant l’anxiété et l’appréhension sociale,
  3. la coopération
  • Le renforcement du lien parental

L’ocytocine joue un rôle essentiel dans tous les aspects du maternage et du lien entre la mère et son enfant : apporter de l’affection et du réconfort à l’enfant, prendre soin de lui, l’éveiller, l’aider à grandir.

L’ocytocine augmente de la même façon chez les pères et les mères lors des contacts affectueux avec leurs enfants. Donner de la tendresse à un enfant entraîne une sécrétion d’ocytocine mutuelle (parent et enfants) qui n’est pas liée au sexe du parent s’occupant de l’enfant mais à sa capacité d’affection.

L’ocytocine est sécrétée lors de toute stimulation sensorielle douce :

  • les mots doux
  • les contacts tendres (câlins, massages)
  • les caresses
  • les baisers
  • l’orgasme
  • le simple contact de l’eau chaude

L’ocytocine est également sécrétée sans contact physique lors :

  • d’une relation agréable
  • d’une interaction harmonieuse
  • d’une ambiance chaleureuse
  • une conversation agréable
  • un plaisir partagé
  • un simple échange de regards
  • de l’évocation des êtres que nous aimons

En résumé, les 4 piliers du bien-être selon les neurosciences sont :

  • La gratitude: pour quoi suis-je reconnaissant aujourd’hui ? La quête compte plus que les résultats.
  • L’expression des émotions désagréables: nommer les émotions en réduit l’impact douloureux
  • Les décisions: activement prendre des décisions suffisamment bonnes
  • Les câlins

Tout est connecté chez les humains. La gratitude améliore le sommeil. Le sommeil réduit la douleur physique et émotionnelle et améliore l’humeur. Une meilleure humeur et une meilleure forme réduisent le niveau d’anxiété. La baisse de l’anxiété améliore la concentration et la réflexion. Une meilleure concentration et une meilleure capacité à réfléchir améliorent la prise de décision. La prise de décision rend plus heureux par le sentiment de contrôle sur la vie. La joie de vivre conduit à plus de gratitude et à de meilleures relations sociales, bouclant la boucle du bonheur.

Un exercice de gratitude : envoyer un email, une lettre ou un SMS de gratitude à quelqu’un pour le remercier de quelque chose, même une petite chose et vous enclenchez un cercle vertueux.

cas patients Trouble d’anxiété invalidant

Un trouble d'anxiété dit généralisé

Le prénom et les situations ont été changés pour préserver l’anonymat et respecter le secret professionnel.

Une de ses peurs récurrentes est d'être une usurpatrice, elle a l'impression qu'elle vit un rêve et que tout va s'effondrer d'un seul coup.

Un trouble d’anxiété dit généralisé

Imane est une jeune femme créatrice d’entreprise investie dans la mode.

Elle travaille beaucoup sans compter ses heures. elle passe beaucoup de temps à travailler et son entreprise et elle fait un effort énorme. Elle l’a lancé il y a deux ans et commence à devenir rentable. Le travail porte ses fruits… Imane est venue en consultation car car elle éprouve constamment de l’anxiété, au quotidien pour un oui pour non. Elle sait que c’est exagéré mais cela ne l’empêche pas. Elle ne peut le contrôler. Elle vit une période avec de insomnie, un éréthisme cardiaque (palpitations), elle sent fébrile, agitée.

Elle pensait que les soucis financiers que rencontraient sa petite entreprise à ses débuts était principalement à cause de sa nervosité.

Mais maintenant les soucis professionnels et financiers sont dans son dos. Les commandes affluent, elle serait capable de rembourser le petit prêt de 100000 dirhams que la banque lui a consenti.

La jeune femme réalise, maintenant que son anxiété qu’elle estime pathologique nuit à sa santé. Elle ne profite pas de son succès, elle est constamment anxieuse et les anxiolytiques que lui a proposé une psychiatre nuit à sa concentration, à son travail, et ne l’empêche pas d’être anxieuse.

Vivre au quotidien devient très difficile. Elle rumine et ne peut plus se détacher de ses idées noires. Elle a pris conscience qu’il fallait qu’elle se détende, qu’elle se libère de cette anxiété, qu’elle se libère de ses pensées négatives, qu’elle puisse souffler

Elle a pris rendez vous avec Coach Mansouria parce qu’une de ses amies qui souffraient de peurs de l’orage, du vent et de la pluie depuis son adolescence qui perturbaient sa vie de tous les jours a été totalement soulagé en quelques séances par Mansouria El Bouchikhi Belmère

La première consultation fait un bilan exhaustif

Imane est une jeun fille instruite, intelligente qui a confiance en elle et une bonne estime de soi.

Elle a fait une école de commerce en France pour satisfaire son père… Mais elle a toujours su qu’elle s’exprimerait dans la mode…

Elle appris à coudre avec sa grand-mère et ses tantes et a pris goût à confectionner ses tenues avec succès. 
Parallèlement à ses cours elle a suivi par internet des cours de modélisme et de stylisme. Elle suit le milieu de la mode sur internet, grâce aux revues et aux chaines de télévisions spécialisées.

L'examen clinique et l'anamnèse montre qu'elle a développé des peurs et des phobies importantes. Que celles-ci sont prégnantes. 

Formée au management elle a eu une vision claire de comment monter son entreprise et communiquer pour vite réussir. Elles utilisent avec bonheur les réseaux sociaux pour vendre et se faire connaitre du monde entier. Si ses premières grosse commandes viennent du Moyen Orient, elle a rapidement attiré des clientes d’un peu partout et notamment du Royaume-Uni, de France, de Belgique et de Monaco.

L’examen clinique et l’anamnèse montre qu’elle a développé des peurs et des phobies importantes. Que celles-ci sont prégnantes. 

Une de ses peurs récurrentes est d’être une usurpatrice, elle a l’impression qu’elle vit un rêve et que tout va s’effondrer d’un seul coup. Elle aussi l’impression d’avoir trahi son père qui voulait qu’elle soit une spécialiste de la finance…

Elle développe une phobie de méticulosité. Il lui arrive la nuit de défaire tout un travail d’une de ses ouvrières ou d’elle même parce qu’elle pense qu’il y a un défaut.

Tous ces éléments ont un facteur de stress immense. Et Imane ne sait pas gérer ce stress qui l’envahit. Et ces angoisses qui la dominent. Ces angoisses qui lui provoquent des palpitations, des maux de ventre, des céphalées et une sudation abondante que ne cache pas les déodorants.

Nous travaillons en concertation sur le cas Imane et nous décidons de poser les indications thérapeutiques suivantes :

Une série de Thérapie des Émotions Ancrées Mémorisées et Enfouies (TEAME) qui sont à l’origine de ses Peurs, de ses Phobies et des manifestations somatiques 

Une formation à la Gestion du Stress dont elle a besoin pour elle et ses collaboratrices dans sa vie de Manager d’une entreprise performante qui ne va cesser de croitre et de se développer à l’international.

Enfin une série de relaxations hypnotiques de façon à formater son subconscient au succès et lui donner les outils pour contrôler l’harmonie de sa vie et son épanouissement.

Les résultats ont été magiques dés la première séance de TEAME

L’atténuation des peurs est spectaculaire. Et lors de la deuxième séance Imane se jette dans les bras de sa thérapeute pour l’embrasser et la remercier… 

Les deux séances de TEAME qui suivent consolident l’action initiale et l’anxiété qui perturbait la vie, les jours et la nuit d’Imane a pratiquement disparue. Le syndrome dépressif qui la guettait est écarté.

La connaissance des mécanismes du Stress permet à Imane de s’approprier rapidement les techniques qui visent, non pas à le contrôler, mais à s’en servir pour harmoniser sa vie et à l’optimiser… D’ailleurs si les gens qui réussissent ont, de notoriété,  sept habitudes MAIS ils ont SURTOUT UN SECRET : SAVOIR GERER LE STRESS. Et cette connaissance Imane en a fait profiter à son équipe professionnelle, à ses amis et à ses proches. 

Enfin trois séances d’hypnose ont permis à Imane de développer son intelligence émotionnelle nécessaire à sa créativité avec des implication extrêmes positives son sa communication et son marketing

 

 

 

 

Cas Patients – Difficulté à vivre après une séparation difficile

F.A. a 48 ans. Son mari l’a quitté pour une femme plus jeune, bien plus jeune et a demandé le divorce.

F.A. a 48 ans. Son mari l’a quitté pour une femme plus jeune, bien plus jeune et a demandé le divorce.

Depuis plusieurs années le couple ne fonctionnait pas… et le divorce elle le vit comme une libération.   Il lui faut apprendre à vivre seule et à exercer un métier pour conserver ses deux enfants. Mais elle a besoin de reprendre confiance en soi. Elle à besoin de revaloriser l’image d’elle même détruite par les insultes et les coups. Elle a une peur obsessionnelle des hommes. 

Nous la voyons en consultation pour la première fois en septembre 2016. C’est sa mère qui a insisté pour qu’elle vienne. Le premier quart d’heure est difficile. Elle a du mal à se laisser aller… progressivement elle se laisse guider à décrire ses besoins, évoquer ses valeurs, ses peurs, ce qu’elle veut et ce qu’elle ne veut plus subir… progressivement nous arrivons à dresser une liste d’objectifs qui lui sont indispensables pour pouvoir vivre en harmonie avec elle-même et s’épanouir. 

Une série de séances de coaching pour travailler et développer confiance et l’estime de soi… une série de thérapie pour effacer ses peurs et phobies qui la paralyse… une série de relaxations hypnotiques pour configurer son subconscient.

Notre travail consiste en

La faire se ressaisir après les épreuves

La faire se réconcilier avec soi même 

La faire Rompre avec le passé afin qu’elle se tourne vers l’avenir 

Deux ans après F.A.   est méconnaissable

elle a repris une activité professionnelle dans un cabinet d’avocats d’affaires (elle avait une formation de juriste) et a même la  direction d’un département 

Elle revenu en consultation car elle est amoureuse et vit une passion … mais elle a peur de revivre une relation d’intimité sexuelle …

Trois nouvelles séances de relaxation hypnotiques et de recadrage de son subconscient

lui permettent de retrouver sa sérénité de femme mère et épouse car elle a fini par se remarier a 50 ans avec succès

  

L’histoire du concept biologique du Stress – Le stress piment de la vie

Hans Selye (26 janvier 1907 – 16 octobre 1982)

Texte de François-Joachim BEER* (* Communication présentée à la séance du 22 janvier 1977 de la Société française d’Histoire de la Médecine.)

Le créateur du concept biologique du stress est le Pr. Hans Selye 

qui habitait au Canada, à Montréal. Ce concept lui est apparu il y a plus de 50 ans, alors qu’il commençait ses études médicales, ou plutôt ses stages cliniques. Il avait 18 ou 19 ans. Natif de Vienne, où son père, le Dr Hugo Selye, d’origine hongroise, était médecin de bataillon dans un régiment de hussards. C’est à Vienne que son père fit la connaissance de sa mère, Maria Félicitas, qui était Autrichienne. L’enfant issu de ce ménage était Hans Selye. La mère parlant allemand et le père insistant pour que le fils apprenne le hongrois, l’enfant ayant été élevé par une gouvernante anglaise, puis par une gouvernante française, le futur savant usait familièrement de plusieurs langues étrangères. 

Ainsi, Hans Selye fit ses premières classes à Komaron, la ville où ses parents vécurent après la fin de la guerre 1914-1918, et il étudia la médecine à Prague, où il dut parler non seulement l’allemand, mais aussi le tchèque. Au milieu de ses études, Hans Selye passa un an à Paris et un an à Rome ; enfin il retourna, en 1927, à Prague. C’est là qu’il fut l’assistant du Pr. Arthur Biedl, qui enseignait la pathologie expérimentale. C’est à Prague que Hans Selye fut reçu docteur en médecine, en 1929, et deux ans après, docteur ès sciences, en chimie organique. En 1931, il partit pour Baltimore comme «research fellow» de la Fondation Rockefeller, à Johns Hopkings University, et en 1932, il se rendit à Montréal, au Canada, à l‘Université Mc Gill, son havre définitif. 

L'inventeur du concept du SGA ou Syndrom Général d'Adaptation
Portrait du Professeur Hans Selye

Pendant sa vie Hans Selye pouvait se risquer à donner des conférences en dix langues différentes, mais il écrivait ses livres seulement en anglais. Il connaît le français suffisamment pour enseigner dans une université du Canada français. Chez lui, à la maison, il parle français. D’ailleurs sa femme, Gabrielle Grant, qu’il épousa en 1949 et qui lui donna quatre enfants, est d’origine francophone. 

Hans Selye était encore étudiant lorsqu’il eut l’idée du « syndrome de l’état de maladie ». Il venait de terminer les disciplines de base, l’anatomie, la physiologie, la biochimie, etc., ce qu’on appelait dans les facultés d’Europe centrale, les semestres pré cliniques, et il grillait d’impatience de se trouver enfin au contact avec des malades. Assistant au cours du Pr. von Jaksch, chargé d’enseigner les principes du diagnostic, Hans Selye remarqua que les malades présentés étaient tous atteints de maladies infectieuses dans leur premier stade. 

Le professeur interrogeait et examinait chaque malade, et, pour découvrir les origines de l’affection, recherchait surtout les signes spécifiques. Selye, lui, trouvait chez chaque malade pratiquement les mêmes symptômes : une langue chargée, des troubles gastro-intestinaux, des douleurs articulaires, rougeur de la gorge, éruption cutanée, fièvre, etc., ces symptômes que le professeur négligeait, car il ne cherchait que ce qu’il « savait » devoir trouver, alors que le jeune Selye, qui regardait les malades avec des yeux neufs, s’en tenait à ce qu’il « voyait », et ce qu’il voyait, ce furent des symptômes que présentent la plupart des malades. Selye appella le syndrome découvert par lui, « syndrome de l’état de maladie » — en allemand : « Das Syndrom des einfach Krankseins ». 

Comme le Pr. Selye me l’a dit, lors de son séjour à Paris, au mois d’avril 1975, c’est parce qu’il était tout jeune, parce qu’il ignorait tout de la médecine, qu’il a pu être frappé par tels aspects inconnus. Il est vrai que c’est à l’âge de 17 ans, en 1924, qu’il fut inscrit à la Faculté de médecine de Prague, par protection, car son père connaissait le doyen de la Faculté du temps où celui-ci était son subordonné dans l’armée autrichienne. S’il avait été plus âgé, plus expérimenté, les faits observés lui auraient échappé. Jeune qu’il était, dans sa témérité, Hans Selye se voyait déjà se lançant dans la recherche. Il voulut demander à son professeur de physiologie une place dans son laboratoire pour étudier « le Syndrome général de l’état de maladie ». Mais , comme  il  lui  fallait d’abord  étudier  les  matières  du  programme , passer les examens, et comme il n’avait aucune idée comment s’attaquer au travail sur ce syndrome qu’il était finalement seul à deviner, il laissa tout tomber, pour se consacrer à ses études cliniques, aux problèmes de diagnostic et de thérapeutique, sans s’égarer dans d’obscures hypothèses. 

Arrêtons-nous sur les constatations de Hans Selye faites en 1926, donc quand il étudiait à Prague. L’observation première est celle des malades souffrant de différentes maladies, et qui tous présentent le « Syndrome du simple état de maladie », c’est-à-dire un syndrome multivalent apparaissant dans n’importe quelle maladie. Ce qui préoccupait Selye, ce fut de découvrir comment on tombe malade. 

Dix ans après, en 1936, Hans Selye travaillait à Montréal, en qualité d’assistant dans le service de biochimie, sur les hormones sexuelles. Il devait injecter à des rats différents extraits ovariens et placentaires, et rechercher les éventuelles modifications provoquées par des hormones sexuelles connues à l’époque (1935). Il constata la fameuse triade : 

1) hypertrophie du cortex surrénalien; 

2) atrophie du thymus, de la rate, des ganglions lymphatiques et d’autres agrégats lymphatiques en général; 

3) saignements et ulcères de l’estomac et du duodénum. 

Selye découvrit alors que cette triade de modifications forme un syndrome bien défini,

puisque ces modifications étaient étroitement liées, puisque les modifications étaient proportionnelles à la quantité d’extraits tissulaires injectés, enfin qu’aucun des divers extraits expérimentés ne provoquait un changement isolé. Aussi, Selye en a conclu que les extraits injectés devaient contenir une substance active et il pensait qu’il ne pouvait s’agir que d’une hormone ovarienne. Comme à l’époque, on ne connaissait aucune hormone susceptible de provoquer la triade de symptômes observée, Selye a pu espérer avoir découvert une nouvelle hormone ovarienne! Il n’avait que 28 ans et l’on imagine son euphorie. Mais il a dû vite déchanter, car la même triade se produisait non pas seulement après injection d’extraits ovariens, mais aussi d’extraits placentaires, puis d’extraits hypophysaires, enfin d’extraits du rein, de la rate et de bien d’autres organes. Par contre, toute tentative de purification des extraits à injecter, se soldait par une diminution de leur efficacité. Selye perdait confiance et un jour il se demanda si ce syndrome n’était pas tout simplement dû à la toxicité de ses extraits insuffisamment purifiés, et donc nocifs ? Il fit alors un essai avec du formol qui se trouvait sur son bureau, et 48 heures plus tard, il nota la même triade de symptômes, mais encore plus prononcée. 

L’interprétation subjective du Stimulus dans le Syndrome Général d’Adaptation

Cette déception le plongea pendant plusieurs jours dans une profonde dépression, mais il eut le courage de s’avouer son erreur. Une fois admise sa défaite, Selye s’est ressaisi. Cette mésaventure et la période de réflexion qui suivit, lui permirent de s’engager dans de nouvelles voies, ce qui le conduisit vers ses vraies découvertes. Il se rappela ses observations de 1924, sur le « Syndrome simple de l’état de maladie », où il retrouvait l’équivalent de son syndrome expérimental. Il comprit que ses observations du début de ses études médicales, n’étaient pas erronées, au contraire. Et ainsi, il se trouva sur le chemin vers la découverte du S.G.A., du Syndrome Général d’Adaptation. Evidemment il fallait avoir du génie pour se mettre à étudier les effets non spécifiques, accidentels, secondaires, des produits toxiques spécifiques. Ses meilleurs amis, doutant de lui, voulaient le ramener sur le bon chemin, le décider à abandonner ce qu’ils appelaient la « pharmacologie de la saleté » (die Pharmakologie des Drecks). En vain ! Selye restait fasciné par les phénomènes qu’il provoquait chez ses animaux d’expériences avec ses préparations toxiques et impures. 

Des encouragements lui sont venus des deux grands savants : Frederick Grant Banting, Prix Nobel de médecine 1923, pour la découverte de l’insuline, et de Walter Bradford Cannon, qui, tous deux, lui ont apporté le secours de leur sympathie. 

Banting était de 16 ans l’aîné de Selye. Il était à l’époque chargé d’inspecter les laboratoires universitaires en tant que membre du Conseil national de la recherche scientifique du Canada. Il venait chez le jeune Selye, dans son petit labo, s’asseyait sur le bord de la table et il l’écoutait avec intérêt exposer ses idées sur le Syndrome de l’état de maladie. D’ailleurs Banting ne se limita pas à le soutenir moralement, et il lui fit accorder sa première subvention pour favoriser ses recherches. 

Quant à Walter Bradfort Cannon, le « père de l’homéostasie », de 36 ans l’aîné de Selye, il apporta au jeune chercheur l’aide la plus précieuse : les critiques qui rassurent le débutant et lui permettent de persévérer. Cannon n’admettait pas le rôle de l’hypophyse et du cortex surrénalien dans le syndrome de Selye. Selon Cannon, « les glandes ne pouvaient contribuer ni à la résistance, ni à l’adaptation en général ». Selye fut stimulé par les objections constructives de Cannon. A cette époque, Cannon — qui avait 55 ans et qui apparaissait à Selye comme le « vieux grand homme » — Cannon, dis-je, avait déjà établi la notion d’homéostasie, il avait déjà montré que l’adrénaline augmente les moyens de faire face à une agression, et aussi qu’en l’absence de surrénales, l’excitation du système sympathique libère la noradrénaline. Les travaux de Cannon ont exercé une grande influence sur Hans Selye. 

C’est le 4 juillet 1936, le jour de l’Indépendance des Etats-Unis, que Selye publia dans le journal «Nature» une note de 74 lignes, qu’il intitula : « Un syndrome provoqué par diverses causes nuisibles » (A Syndrome produced by diverse nocuous Agents) — Selye écrivit « noxious » mais la rédaction remplaça ce mot par « nocuous »). Cette communication est l’acte de naissance du S.G.A., du Syndrome Général d’Adaptation. Selye ne s’y risqua pas encore à employer le mot Stress qu’il emprunta à la physique d’expression anglaise, où l’idée de Stress and Strain relation marque la relation entre charge et tension (en allemand : Belastung und Beanspruchung). 

Dans cette communication, Hans Selye proposa le concept du Syndrome Général d’Adaptation, avec ses trois phases : 

1) la réaction d’alarme, qui cesse avec la disparition de l’agression 

2) la phase de résistance, le corps s’adaptant à l’agression qui continue, concentrant contre lui ses réserves, quitte à être moins résistante lors d’une éventuelle agression ultérieure; 

3) la phase d’épuisement, le corps exténué par l’effort d’adaptation, flanchant tout à coup, finit par succomber, m ê m e si l’agression a cessé. 

Il est évident que le S.G.A. n’empêche nullement les syndromes locaux auxquels il s’ajoute. Ainsi par exemple le froid provoque en même temps une manifestation spécifique :le frisson, et le Syndrome d’adaptation qui est une manifestation non spécifique. Il en est de même pour toute agression : microbes, chocs, bruits intenses, etc. 

Dès ses premières observations, Selye a constaté les effets du stress, qui par la suite lui ont appris qu’un grand nombre de maladies, qu’elles soient somatiques, sociologiques ou psychologiques, peuvent avoir pour causes non un agent toxique ou une situation sociale, mais ***  la réaction de l’organisme.  ***

Le Stress une intelligence cybernétique
Le Stress une intelligence cybernétique qui a assuré et assure la survie des espèces

Les défenses de l’organisme ne sont pas toujours bénéfiques.

Par exemple, lorsqu’on injecte une goutte de formaline qui est une solution irritante, l’organisme réagit par l’inflammation. Une barrière de tissu inflammatoire, c’est utile quand il faut localiser le mal. Ceci est le cas, par exemple dans la tuberculose, où il s’agit d’empêcher l’invasion du sang par le bacille de Koch. Chez le rat, les bacilles de la tuberculose humaine sont sans effet. Sa réaction immunitaire tue les bacilles de Koch, qui sont immédiatement encapsulés e t  qui  ne  peuvent pas se propager . Dans ces cas , il n’est pas opportun d ‘ inhiber les défenses naturelles de l’organisme. En administrant de la cortisone, on empêche cette réaction de défense qui, elle, serait utile. Les animaux traités avec cortisone meurent et ceux qui n’ont pas été traités, restent sains. 

Mais pour la formaline, qui est précipitée aussitôt et qui ne produit qu’une petite escarre, ce qui n’est guère dangereux pour l’animal, l’inflam-mation, c’est-à-dire la propre réaction inflammatoire de l’organisme, rend malade tout l’organisme. En effet, sans cette inflammation, la formaline ne tuerait que quelques cellules et elle s’éliminerait en 2 – 3 jours. Donc, contre la formaline, les réactions inflammatoires sont inutiles. Si l’organisme ne se défendait pas, rien n’arriverait. Dans de tels cas, il est bon d’entraver les moyens de défense de l’organisme. 

Hans Selye distingue deux types d’agents : 

1) Ceux qui sont syntoxiques, qui sont les messagers chimiques de la paix. Ils avertissent : ne vous battez pas, ça n’en vaut pas la peine, c’est à vous- m ê m e que vous ferez mal. D’ailleurs, dans la vie quotidienne, nous souffrons moins de ce qui nous arrive, que de la manière dont nous y réagissons. 

2) L’autre groupe, qui a des effets contraires, qui est celui des hormones catatoxiques,— ces hormones sont les messagers de la guerre, elles sont faites pour détruire. La principale action de ces hormones est d’induire dans le foie des enzymes qui détruisent les toxines, comme la nicotine, des substances cancérigènes, des drogues qui peuvent être dangereuses lorsqu’elles sont en quantités excessives.— Les substances catatoxiques augmentent les réactions défensives. Dans ce domaine, les composés synthétiques sont plus actifs que certaines hormones qui ne possèdent que de faibles propriétés destructrices. Le plus puissant de ces composés est un dérivé d’hormone : la prégnénolone-16a-Carbonitrylée (PCN). 

« Le stress est le piment de la vie ».

Le stress est associé à toutes les formes d’activité. On ne peut éviter le stress qu’en s’abstenant de toute activité, en se résignant alors à une vie qui n’a plus aucun intérêt. 

Chaque stress, surtout provenant de frustrations ou d’échecs, laisse des cicatrices chimiques indélébiles, et c’est l’accumulation de ces usures irréparables qui constitue le vieillissement. 

Les activités exaltantes, les activités couronnées de succès, les activités qui rendent heureux, sont le meilleur moyen pour garder jeunes même des gens d’âge très avancé. 

Les deux mots qui ont été proposés par Hans Selye lorsqu’il chercha pour la première fois une définition du mot stress, étaient « usure et claquage ». Ce sont les soucis, les frictions, les revirements, qui sont causes de cette usure et de ce claquage. L’homme a besoin d’harmonie et de succès.

Il supporte mal les critiques et les échecs. Ce dont nous avons besoin c’est d’approbation, c’est d’avoir raison. L’homme a soif d’admiration, avoue le Pr. Selye. 

BIBLIOGRAPHIE 

Texte de François-Joachim BEER 

Hans Selye : «From Dream to Discovery»(Mc GrawHill, NewYork,1964). « The Stress of Life » (Mc Graw Hill,New York, 1956). 

André Meyer. — Ce n’est en rien diminuer le mérite de Hans Selye de rappeler que c’est Reilly qui le premier a démontré expérimentalement la réponse univoque, non spécifique à des infections d’origines diverses, et le rôle primordial du système sympathique. Selye lui-même a reconnu l’influence de ce grand et modeste savant dont l’œuvre commençait à être connue quand Selye faisait ses études de médecine à Paris. C’est la modestie de Reilly et son effacement délibéré qui n’a pas permis la diffusion inter- nationale de ses travaux. 

P. Durel. — J’ai travaillé à l’époque du « Syndrome de Reilly » avec le savant trop modeste qu’était mon maître Reilly et je m’associe profondément à la remarque du Pr. A. Meyer. 

Coach & Coaching – Rabat

TéléMaroc saison 1 épisode 1

Un coach est un professionnel

qui révèle vos aptitudes de façon à ce vous en preniez conscience et que vous sachiez les utiliser pour l’avenir. Le coach est un révélateur qui travaille sur l’existant, sur des forces présentes ( parfois émergentes ou en sommeil ). Il vous aide à comprendre ce qui a du sens. Il est à l’origine d’une nouvelle énergie qui va vous apaiser, harmoniser votre vie  et lui permettre d’être cohérente avec ce qui est vous. Vous aurez alors les atouts nécessaires afin d’obtenir des résultats désirés qu’ils soient personnels ou professionnels.

Être coaché ce n’est pas « recevoir  des conseils »

C’est recevoir une relation vitale sur une période de votre vie, afin d’obtenir une certaine clairvoyance, des savoir-faire, des savoir-être utiles pour apporter des changements simples mais essentiels dans votre vie et tout ce qui l’entoure (famille, couple, amitiés, relations professionnels, collectifs, équipes)

Être coaché c’est apprendre à faire les bons choix

Le Coach intervient directement sur votre manière d’aborder vos problèmes. Non pas en vous guidant mais tirant de vous les solutions qui sont inhérentes à votre individualité, à ce que vous êtes. Prenant conscience de vos atouts vous devenez capable de prendre les bonnes décisions, au bon moment.  En quelque sorte le coach révèle ce qui est au fond de vous et dont vous ne savez pas vous servir. Parce que l’on ne vous l’a pas appris, ou parce que vous avez été étouffé par votre environnement socio-culturel, votre environnement professionnel, votre environnement familial. 

Être coaché c’est apprendre à reconnaitre les cycles de notre vie et à y faire face de manière cohérente et adaptée.

Personne n’a une vie linéaire, de nos jours. Chacun d’entre nous doit faire face à de multiples ruptures. séparations, divorces, changement d’emploi, d’orientation, maladies, accidents… La vie est faite de chapitre, de parcours, de réflexions, de cycles auxquels nous sommes confrontés et devons faire face. 

Avec un coach nous apprenons à nous un fixer des objectifs, et à les tenir pour donner du sens à notre vie

Une fois les objectifs clairement définis le coach nous aide à trouver du sens, à visualiser l’avenir, à apprendre à développer des scénarios, à planifier les étapes vers notre avenir, pas celui du voisin, pas celui d’un parent, le notre qui tient compte de ce que nous sommes, de l’entité que nous sommes et qui est totalement différente des individualités que nous rencontrons tous les jours. 

L’émotion comment cela se crée ?

Coaching Thérapie Développement Personnel by Mansouria El Bouchikhi Belmère et Jean-Victor Belmère

Au moindre stimulus  nos sens réagissent

Nos yeux, nos oreilles,  un toucher envoient un éclair  à la zone du cortex cérébral qui traite les  informations sensorielles. En une nano seconde  (moins d’un milliardième de seconde, 10-9 seconde ) le message est transmis  au  cortex préfrontal qui décortique l’information.

Dans la même fraction de seconde (moins de 10-9 seconde) le système limbique, le vrai centre cybernétique de l’émotion, analyse le signal. Il faut noter que depuis le stimulus initial jusqu’à ce moment cette émotion est traitée comme un signal lambda d’alerte. Comme n’importe quelle agression.

Nos yeux, nos oreilles,  un toucher envoient un éclair  à la zone du cortex cérébral qui traite les  informations sensorielles. En une nano seconde  (moins d'un milliardième de seconde, 10-9 seconde ) le message est transmis  au  cortex préfrontal qui décortique l'information
Nos yeux, nos oreilles,  un toucher envoient un éclair  à la zone du cortex cérébral qui traite les  informations sensorielles. En une nano seconde  (moins d’un milliardième de seconde, 10-9 seconde ) le message est transmis  au  cortex préfrontal qui décortique l’information

Mais à partit de là, l’hippocampe, les amygdales les qualifient  : c’est un plaisir ou c’est un déplaisir.  Après cette analyse qui va plus vite qu’un éclair la stratégie est décidée. FUIR ou RIPOSTER ?  Et les  mécanismes de la réaction sont immédiatement embrayés.

L’hypothalamus balance une série d’alerte au Système Nerveux Central et au Système Nerveux Autonome ou Végétatif via  des transmetteurs biochimiques et les systèmes neurovégétatifs, le système sympathique et le système parasympathique entre alors en action et inonde le corps de messages. Ceux-ci sont de nouveau analysés par des centres régionaux et locaux

Mise en jeu des processus hormonal, humoral et biochimique

Le système sympathique est un système spécifique

Il réagit à toute agression (on dit stress = agression = stimulus)  en agissant sur la glande surrénale (petite glande endocrinienne située au dessus de chaque rein) et déclenche la recréation d’une substance chimique la noradrénaline ou norépinéphrine composé organique ou hormone adrénergique qui sert à neuro transmettre les informations dans la cellule neurologique ou neurone.  La noradrénaline est un précurseur de l’adrénaline

Le système sympathique  et la noradrénaline produisent

instantanément, dans les glandes surrénales, la production d’adrénaline. On l’appelle aussi l’hormone du stress.

Le système sympathique est un système spécifique qui réagit à toute agression (on dit stress = agression = stimulus)
Le système sympathique est un système spécifique qui réagit à toute agression (on dit stress = agression = stimulus)

IL faut à cet instant faire une synthèse et bien comprendre que ce phénomène de déclenchement en chaine n’est pas l’apanage de l’émotion.

C’est un process général que l’organisme met en jeu pour se défendre ! ON l’appelle le Syndrome d’Adaptation décrit par  Selye. Si le stimulus est un virus, une bactérie, un champignon, un simple coup, une coupure, une gifle ou tout autre stimulus l’organisme humain, on parle d’économie systémique va réagir de la même manière. Pourquoi ? Pour une seule chose ! l’être vivant a horreur du déséquilibre (déséquilibre = mort potentielle) et va tout faire pour rétablir cet équilibre on parle d’HOMÉOSTASIE

l'être vivant a horreur du déséquilibre (déséquilibre = mort potentielle) et va tout faire pour rétablir cet équilibre on parle d'HOMÉOSTASIE...
l’être vivant a horreur du déséquilibre (déséquilibre = mort potentielle) et va tout faire pour rétablir cet équilibre on parle d’HOMÉOSTASIE…

 

Les hormones entrent en jeu

L’adrénaline, a une action hormonale, elle est sécrétée par la glande médullo-surrénale c’est-à-dire la zone centrale de la glande surrénale (la zone périphérique secrète les glucocorticoides) , bien qu’elle existe aussi dans le cerveau. La noradrénaline c’est le médiateur chimique des terminaisons nerveuses sympathiques. On parle de synapses qui est à dire le connecteur entre neurone, ou entre neurone et zone effectrice). Adrénaline, noradrénaline et  dopamine sont des catécholamines synthétisée à partir d’un acide aminé essentiel que l’organisme ne sait pas produire la phénylalanine

L’adrénaline déclenche des signes physiques. Elle accélère le rythme cardiaque, assèche la bouche, donne la chair de poule ou fait violemment transpirer. Ce sont ces processus somatiques expression de l’agression qui nous permettent de lire l’émotion. À la fois pour comprendre ce qu’elle nous provoque, mais surtout pour nous thérapeute pour l’analyser (on parle de sémiologie = étude des signes) et de la traiter. Mais un autre veilleur est avide de cette symptomatologie, c’est la conscience. C’est elle qui avec habileté utilisée par le thérapeute va guérir l’individu des émotions néfastes  (peurs pathologiques, phobies, tendances suicidaires, conduite addictives etc…)

Le second système végétatif, le système parasympathique,

fait tout préserver l’équilibre,  l’homéostasie, par le biais de l’acétylcholine, en agissant l’orage cérébral qu’a déclenché l’activité émotionnelle. L’acétylcholine est aussi un neuromédiateur à la fois du SNC (Système Nerveux Central) et du Système Végétatif et notamment parasympathique dont le rôle est de modérer les excès du système sympathique,

La chaine de déclenchement de l’émotion jusqu’à sa fin ne prend sur le plan cérébral et neurologique moins d’une fraction de seconde.

Mais les manifestations physiques de l’émotions, l’empreinte psychologique consciente, et les manifestations inconscientes peuvent durer beaucoup plus longtemps !

Le grand danger de cette émotion initiale c'est sa répétition. Les manifestations physiques, psychologiques s'additionnent.
Le grand danger de cette émotion initiale c’est sa répétition. Les manifestations physiques, psychologiques s’additionnent.

Cette répétition peut survenir par la répétition des stimuli. Mais plus grave par la pensée, par le subconscient et entretenir un effet de stress. Cette répétition de stress entraine une réitération de ses mécanismes d’adaptation et notamment de la sécrétion des neuromédiateurs dont l’organisme se rassasie et s’enivre.  Et alors insconsciemment l’organisme produit ces drogues qui l’enivrent et nous mettent dans un état de stress, d’angoisse, d’anxiété dont nous n’arrivons plus à sortir et nous ne savons pas pourquoi. Et le recours à d’autres drogues, dites médicales, aggravent le processus, on nous rendant dépendants de médicaments… 

C’est tout l’enjeu de la Thérapie des Émotions Ancrées Mémorisées Enfouies vous sortir de ce cercle infernal.

 

TEAME Thérapie des Émotions Ancrées Mémorisées et Enfouies

Coaching Thérapie Développement Personnel by Mansouria El Bouchikhi Belmère et Jean-Victor Belmère

TEAME technique et mode

La fantasia un orage de feu
Une émotion c’est un ensemble de manifestations sensorielles. En ramenant à la surface, et en contrôlant, cette remontée des manifestations extrêmement vives vont apparaître.

Tout notre travail repose sur le fait que l’organisme vivant et notamment humain est capable de s’autoguerir. 

À la moindre agression l’organisme lance un processus dont le point de départ est le STRESS. Le but est de véhiculer sur les lieux de l’agression une équipe non-spécialisée capable de s’informer sur l’agression et de commencer à nettoyer.

Les informations sont transmises à trois niveaux (au moins) : un niveau local, un niveau régional et à un niveau cortical ou central… À chaque niveau il y a des rétro-contrôles et des feed backs. Si la première vague n’est pas suffisante ces centres mettent en jeu des actions plus spécifiques, et alors spécialisées qui peuvent être hormonales ou humorales, cellulaires (immunité), ou biochimiques !

Le but est la conservation de l’équilibre ou HOMÉOSTASIE ! 

Ces actions sont des relations automatiques que le cerveau et ses centres émotionnels peuvent inhiber ou potentialiser, les centres de contrôles sont capables de les guérir naturellement et l’on appelle cela la RESTITUTIO AD INTEGRUM…

Le neurone de base Quand je parle de cerveau il s’agit en fait de multiples centres dans le cerveau ou ailleurs qui par un contrôle cybernétique se parlent et se coordonnent
Le neurone ? La base
Quand je parle de cerveau il s’agit en fait de multiples centres dans le cerveau ou ailleurs qui par un contrôle cybernétique se parlent et se coordonnent et dont la base unitaire au plan cellulaire est le NEURONE

La TEAME repose sur ces principes de restitutio ad integrum 

La TEAME où Thérapie des Émotions Ancrées Mémorisées Enfouies repose sur une codification très stricte pour la conduire… 

Il s’agit en effet de ramener à la surface des expériences très désagréables qui ont laissé au patient des émotions très vives qu’il essaie d’enfouir pour les oublier ! 

Le cerveau qui Enfouit ces émotions pour les oublier, ne les contrôle plus… le fait de les ramener à la surface oblige le cerveau à les prendre en considération et à les analyser… et automatiquement se met en route le processus de réparation….

Une émotion c’est un ensemble de manifestations sensorielles. En ramenant à la surface, et en contrôlant, cette remontée des manifestations extrêmement vives vont apparaître. 

Cela va des manifestations somatiques végétatives liées au SNA (bouffées de chaleur. Sudation, augmentation du rythme cardiaque, étouffement etc) à des orages psychiques qui s’expriment par des manifestations fonctionnelles (anesthésies, paralysies, cécité, contractures…) sans lésion organique, des crises émotionnelles, éventuellement des phobies. des paralysies, des troubles de la parole ou de la sensibilité, des hallucinations et d’autres manifestations transitoires, tels que des crises pseudo-épileptiques ou des comas « psychogènes », toutes ces manifestations, trouble de la personnalité histrionique ou trouble somatoforme.

Le cerveau qui Enfouit ces émotions pour les oublier, ne les contrôle plus... le fait de les ramener à la surface oblige le cerveau à les prendre en considération et à les analyser... et automatiquement se met en route le processus de réparation....
Le Cerveau et ses acolytes
Le cerveau qui Enfouit ces émotions pour les oublier, ne les contrôle plus… le fait de les ramener à la surface oblige le cerveau à les prendre en considération et à les analyser… et automatiquement se met en route le processus de réparation….

Ce sont ces manifestations somatiques qui constituent pour le thérapeute la feuille de route de la thérapie. 

Ces expressions somatiques, à la fois, révélent et localisent l’émotion perturbante. La difficulté c’est la résistance de la conscience qui s’oppose à cette mise à nu.  Cette conscience va par des manifestations de brouillage, tenter de résister à l’intrusion. D’où ces orages cérébraux, ces crises émotionnelles, ces hallucinations etc.

Quand je parle de cerveau il s’agit en fait de multiples centres dans le cerveau ou ailleurs qui par un contrôle cybernétique se parlent et se coordonnent … chaque centre peut être comparait à un processeur d’ordinateur mais mille milliards de fois plus puissant… chaque information qui va et qui vient induit un potentiel d’action, ce qui explique le corps humain est un champ magnétique… tout repose sur l’ATP qui fournit l’énergie à chaque cellule ….