L’angoisse

L’angoisse comprend de nombreuses définitions…

Une angoisse est une peur d’origine inconsciente, celle-ci n’est pas liée à un objet ou à une situation particulière.  Les manifestations cliniques, les signes somatiques sont ceux de la Peur, mais on ne retrouve pas de déclencheur précis…

L’angoisse se manifeste de façons différentes, avec des degrés d’intensité très variables.

La présence de tous les signes physiques ou somatiques  n’est pas obligatoire, car cela varie selon les individus. et les situations.

Dans l’angoisse, la peur relève de l’inconscient et elle se manifeste de façon extrêmement variable et aléatoire. C’est un process inconscient qui se met en route sans relation apparente avec la situation.

L’angoisse a pour extrême la crise de  panique, tout est question d’intensité. Le process inconscient est le même mais l’intensité est démutipliée. Comme le mécanisme est inconscient le patient est sidéré car il ne comprend pas ce qui se passe. Il a l’impression de perdre le contrôle, de  devenir fou… Ce qui amplifie le phénomène car le fait de ne pas comprendre provoque une angoisse de l’angoisse, la peur de la peur…

Ainsi la répétition de cette angoisse et les malaises qu’elle entraine sont à la source d’un cercle vicieux, d’une spirale vicieuse « la peur de l’angoisse ».

Ces angoisses surviennent à tout moment, parfois pendant le sommeil, avec cauchemars et réveil brutal, D’autres fois réveillés à la pensée de telle ou telle image, situation, émotion… OU devant une circonstances particulière souvent banale (bande pour les autres).

Parfois cette angoisse devient permanente et les conséquences psychologiques et somatiques prennent de l’ampleur et contribuent à la sidération du patient qui s’épuise, perd son énergie et a le sentiment qu’il va ver un gouffre… C’est l’anxiété généralisée.  

L’important, en thérapie, est de comprendre le mécanisme psychique qui les provoque.

La peur est une émotion basique, fondamentale, qui se retrouve chez tous les mammifères, et qui correspond à un mécanisme fondamental de survie face à un danger. 

L'angoisse et la peur 3

On sait que la peur (stimulus essentiel du Stress) prépare l’organisme à réagir :

Le corps se prépare soit à l’action (fuite ou lutte), les fonctions vitales se modifient : accélération du rythme cardiaque, tension des muscles, des nerfs, sudation, rougeur, rythme respiratoire, pâleur, tremblements soit à se cacher (sidération généralisée).

Dans l’angoisses le danger n’est pas identifié… Il est inconscient

Ce danger existe uniquement dans l’esprit du patient, de manière inconsciente et sans que la cause réelle ne puisse être identifiée.

Toute la difficulté pour le thérapeute (mais aussi toute son habileté liée à l’expérience ) va donc lui permettre de conduire le patient  à identifier ce process inconscient, à le mettre en évidence. La dissection de ce processus par le subconscient va permettre aux centres cognitifs de le relativiser…. « Ce n’est que cela ! » et de le guérir…

Face à ce genre de problème, on met le patient sous relaxation dirigée et on stimule les manifestations somatiques qui conduisent progressivement le cerveau vers les causes inconscientes. Le point de départ est constitué par la re-mémorisation de la situation qui déclenche l’angoisse et l’analyse par une introspection de ces manifestations physiques. On demande donc au patient de se souvenir d’un moment où il a ressenti l’angoisse. Arrive le point critique où l’angoisse déclenche les manifestations somatiques, le ressenti physique. Et on explore chaque manifestation avec le patient. Cela peut être réalisé sous hypnose ou non. L’indication de l’hypnose est posée lorsque des blocages interfèrent. 

L'angoisse et la peur

Je vous donne l’exemple de cette patiente qui avait des angoisses de mort immédiate… L’exploration a permis de remonter à une cause très ancienne. Vers l’âge de de 6 ou 7 ans alors qu’elle jouait dans la baignoire, lors d’un bain, avec sa soeur jumelle, elle s’est retrouvée sous sa soeur sans possibilité de respirer avec inhalation d’un peu d’eau du bain. La scène a duré une fraction de seconde. Mais cette expérience s’est ancrée dans sa mémoire inconsciente (implicite). Elle a été confrontée à la sensation de mort immédiate. Plus tard en fin d’adolescence elle a eu l’occasion lors d’une fête de prendre une boisson qui contenait (sans qu’elle le sache) une drogue. Elle s’est retrouvée sur le sol, avec la même impression d’étouffement et de mort que lors de son bain avec sa soeur jumelle. Elle a fini par couper toute relation. Car la présence de « gens » autour d’elle l’a plongé dans une crise d’angoisse épouvantable avec cette sensation de mort imminente. 

L’examen des manifestations somatiques, suffocation, tremblements,   hypersécrétion salivaire nous ont permis de « remonter » dans le temps et peu à peu les images précises se sont fait jour. La patiente sortait de nos séances « épuisées » et avait besoin de dormir des heures pour récupérer de ces orages cérébraux qui tentaient de violer sa mémoire… Mais une fois tout mis à jour quelle libération ! Plus aucune crise d’angoisse ! Une nette reprise de la confiance en soi et de ses relations amicales avec ses copains d’enfance. 

L’angoisse de cette patiente a été résolue définitivement en moins de six séances ! Elle avait couru les psychiatres, les psychothérapeutes durant des années…

Certaines angoisses peuvent se révéler à la suite  d’urgences médicales et les patients croient qu’ils vont mourrir…

Cela crée une peur immense qui les marque durablement, inconsciemment. Ainsi le moindre signe physique qui rappelle ce moment (essoufflement, tachycardie, vertige, nausée, ou autres…) est interprété comme le début d’une crise d’angoisse. Bien sûr cette sensation de mort imminente n’est qu’une interprétation de leur cerveau (consciente ou inconscience) mais sans aucune menace réelle pour leur vie.

Les paroles ne suffisent pas à les rassurer car ces sensations, ces émotions sont profondément ancrées, mémorisée et enfouies dans leur mémoire inconsciente. D’où l’importance d’une Thérapie de ces Émotions Ancrées Mémorisée et Enfouies avec ou sans hypnose.

Le choix de la technique dépend à la fois du patient et de la profondeur des empreintes émotionnelles néfastes Elle dépend aussi du praticien de son habileté, de son expérience, de son savoir-faire...

Les troubles anxieux – La peur – Le Stress

 La peur est à l’origine de ces états anxieux

les circuits de la peur ont été bien identifié dès les années 70 par Joseph Ledoux et son équipe à l’Université de New York.

Il existe deux circuits de la PEUR :

La perception est dirigée au niveau du thalamus vers l’amygdale, d’une part, et
vers le cortex visuel d’autre part.

L’amygdale génère la réponse physique émotionnelle avant même que le cortex visuel ait pu traiter l’information…

Le traitement par le cortex permet de moduler la réponse émotionnelle.

Ce mécanisme élaboré depuis des millions d’années permet une réponse rapide face à un danger… Mais il y a parfois des dérapages par inhibition ou au contraire par accentuation (les phobies ont sont un bon exemple de cette exagération de la peur).

L’amygdale joue le rôle de mémoire émotionnelle inconsciente, indépendante du cortex et de la cognition..

Les deux circuits de la peur

La peur a un intérêt évolutif évident. Il est primordial pour un être vivant de se souvenir de ce qui peut constituer un danger pour lui… D’y répondre le plus rapidement possible…

Deux circuits neuronaux y concourent, un long et un court :
– le circuit court permet une réponse rapide, avant même que le cortex visuel ne l’ait interprété. C’est un réflexe archaïque (acquis)
– le circuit long passe par l’économie visuelle et vient réguler cette réponse du circuit court.

La mémorisation d’un stimulus de danger dans la mémoire implicite (inconsciente) permet une réponse instantanée, immédiate, durable…

Les signes physiques de la peur sont variables selon les individus , ils préparent le corps à réagir face à un danger :

-rougeur du visage ou pâleur,
-tremblements,
-mains moites,
-suées, sueurs froides,
-tachycardie,
-boule dans l’estomac ou brûlure ou douleur,
-boule dans la gorge ou sensation de gorge serrée, d’obstruction, 
-bouche sèche, langue collée
-sensation d’oppression, d’étouffement
-douleurs du tractus digestif (mal au ventre),
-diarrhées, vomissements,
-désirs de fuite, de se cacher
Le corps se prépare à combattre ou à fuirDans tous les cas il s’agit de produire un effort physique intense qui va CONSOMMER DE L’ÉNERGIE Notion importante à connaitre et à comprendre dans la perspective du métabolisme de la cellule, du neurone, de l’organisme et tout principalement dans le Syndrome d’Adaptation de Selye face au STRESS.

La PEUR est une ÉMOTION qui est traitée par des zones spécifiques du cerveau, et en premier lieu l’AMYGDALE, qui agit comme une véritable mémoire émotionnelle implicite (inconsciente), différente de la mémoire cognitive.

La plupart de nos peurs sont acquises.

Il existe des peurs innées mais en nombre limité comme la peur des araignées, des serpents, du vide….

Cette mémorisation est faite dans l’amygdale, par la réalisation de connexions entre neurones. Ces peurs emmagasinées sont pratiquement définitives… Et peuvent le rester indéfiniment. Le cerveau contrebalance par un mécanisme d’ajustement cybernétique à feedbacks  (rétro-contrôles) qui inhibe ou excite ces phénomènes. Ces phénomènes sont des process métaboliques avec à partir de transmissions chimiques (neuro-transmetteurs) des productions électriques, ou potentiels d’action qui créent des champs électriques et des réponses extrêmement rapides (fulgurances de la transmission d’information)…

Ces peurs sont alors enfouies, ancrées dans la mémoire inconsciente et peuvent réapparaitre à tout moment même des dizaines d’années plus tard, à l’occasion d’un stimulus particulier ou d’une association de stimuli qui n’ont rien à voir individuellement avec le déclenchement initial. La sommation de ces manifestations de peurs peuvent conduire à des phobies qui entretiennent des troubles du comportement.

Lorsqu’une réaction de peur est déclenchée

L’amygdale provoquent les manifestations physiques par l’intermédiaires des glandes hypophyse et pituitaire.
L’amygdale transmet des informations vers le cortex et vers les zones qui contrôlent la mémoire explicite (consciente)
Les peurs sont donc aussi mémorisées à un niveau conscient !

Le stimulus qui déclenche la peur est traité par le thalamus, une zone plus primitive que le cortex, et bien moins développé. Ce qui fait que des stimuli semblables, mais non identiques au stimulus originel peuvent déclencher la même peur… exemple une porte qui claque peut déclencher une crise de panique alors que le stimulus initial est une explosion (gaz, conflits armés, attentats…)… C’est ce qui est décrit dans le Syndrome de Stress Post-Traumatique… 

Le thalamus

La mémorisation consciente ou explicite semble être liée à l’hippocampe qui mémorise le stimulus initial mais aussi le contexte !
L’hippocampe est une zone dont l’organogénése post natale est plus tardive (deux ou trois ans) que l’amygdale. Ceci pourrait expliquer  que les jeunes enfants mémorisent des peurs émotionnelles sans en avoir un souvenir conscient.

Mais cette mémorisation consciente peut-être inhibée par des situations de Stress intense… Notamment par les hormones sécrétées lors du stress ! Si le stress est intense et prolongé il peut y avoir des dégâts irréversibles au niveau des neurones. C’est le cas des vétérans de guerre (Indochine, Algérie, Vietnam, Afghanistan, Iran-Irak, …) victime d’un Syndrome de Stress Post-traumatique. Ils présentent une contraction de l’hippocampe qui se traduit par des troubles de mémoire avec un QI intact… !

La peur, comme les autres émotions peut être déclenchée par l’imagination, par des constructions mentales, par des rêves, par des processus inconscients. Et la réponse émotionnelle est disproportionnée. 

Tout le monde ne développe pas des troubles anxieux à partir de la peur. Il pourrait y avoir des prédispositions génétiques. D’un autre coté comme les peurs sont apprises, il est possible qu’elles soient transmises par des comportements des parents ou de l’entourage. 

Les patients qui développent des troubles anxieux développent tout un arsenal de comportements et de stratégies  d’évitement.

Les patients qui développent des troubles anxieux développent tout un arsenal de comportements et de stratégies  d’évitement.

Ils essaient de ne plus être confrontés à ce qu’il pensent être des déclencheurs.

Au fil du temps ces évitements sont complètement automatiques et inconscients.  

C’est pour cette raison qu’après avoir traité la peur mémorisée (Thérapie des Émotions Ancrées Mémorisées et Enfouies ou TEAME) il faut pousser les patients à se confronter aux déclencheurs, et modifier ainsi leurs comportements…

Notre approche thérapeutique de l’anxiété et des troubles anxieux

Rechercher les processus inconscients qui entretiennent la peur et les différencier d’une peur mémorisée

Lorsqu’un processus inconscient est identifié on intervient : par recadrage, ré-empreinte, sous modalités etc. Notamment en utilisant les métaphores ce qui permet de comprendre inconsciemment et de relativiser

Ensuite on agit sur la mémoire émotionnelle. Notamment par la visualisation avec dissociation. Permettant de prendre de la distance avec les manifestations et de permettre au cerveau de les intégrer dans un processus de réparation automatique 

Au total nos moyens de traitement repose sur un déconditionnement au niveau des mémoires explicites et implicites, en partant des manifestations somatiques de l’origine anxiogène. 

Le patient pourra garder en mémoire le souvenir conscient de ses états anxieux mais n’aura plus d’émotions destructrices associées

Cas Patients : Manque d’énergie vitale (fatigue, épuisement)

Retrouver énergie, dynamisme.

Problème : Difficulté à avoir de l’énergie (fatigue) – Indication thérapeutique à Rabat coaching, thérapie, hypnose, sophrologie…

Cas : Fatima est étudiante; elle en est en deuxième année d’étude de sage-femme.

Elle jongle avec ses études et travaille le soir et les WE en gardant des enfants. Depuis peu elle a, en plus , une relation amoureuse.

La jeune femme est très fatiguée depuis quelques semaines, elle a  l’impression de courir sans arrêt. Elle de plus en plus a de la difficulté à mémoriser ses cours et y passe beaucoup de temps avec des résultats médiocres.

Elle a envie de tout abandonner, elle sent une fatigue extrême. Elle a des sautes d’humeur de plus en plus fréquentes sans aucune raison d’être. Ses amies lui suggèrent qu’elle a un burn-out.  Elle veut se reposer, se ressourcer et retrouver son énergie vitale.

Le traitement de cet état a été conduit en plusieurs étapes après un bilan complet qui a mis en évidence la conjonction de plusieurs facteurs :

  • un manque de sommeil évident
  • une alimentation un peu désordonnée
  • absence d’activité physique
  • une sommation de situations de stress 

Nous avons traité ce cas de la manière suivante

Au préalable à toute séance thérapeutique

Fatima a régulé les horaires de prise de repas avec un petit déjeuner copieux mélangeant l’apport de protéines et glucides lents, une collation au repas de midi mélangeant des crudités, des légumes et des fruits frais à des glucides lents. Un repas du soir limité à des soupes de légumes frais.

Nous lui avons conseillé la prise de compléments alimentaires notamment de de Magné-B6 et l’apport d’Oméga 3.

Puis nous avons réalisé trois séances de thérapie et d’hypnose :

1ère séance de relaxation hypnotique

(Axée sur la respiration abdominale et l’alourdissement des membres) permettant d’activer l’atteinte de la transe thêta. Réalisant une sensation de mieux être, et nous avons formé Fatima à l’autohypnose qu’elle peut utiliser régulièrement pour se relaxer, se libérer de ses agressions négatives ou lourdes (fatigue, stress, doutes, relents de croyances erronées, par exemple). L’autohypnose assouplit encore davantage le conscient avant une possible période de reprogrammation, tout en aidant l’individu à intégrer le fait que la reprogrammation par l’hypnose amène un état de progression dans le temps — un changement progressif, sur une période plus ou moins longue; la mise à jour de soi-même dans le respect soi-même…

 

Cas client – Difficulté à avoir de l’énergie (fatigue, épuisement)
Cas client – Difficulté à avoir de l’énergie (fatigue, épuisement)

2e séance d’hypnose : 

Apprendre à se respecter et se sortir de l’état d’épuisement. Avec l’hypnose, il est possible de prendre des moments de relaxation profonde par lesquels se reposer, se revivifier et s’orienter vers le retour à un certain équilibre de vie. Cette relaxation d’hypnose invite les clients épuisés, surmenés ou dépressifs à vivre un moment rien que pour eux.  Où ils peuvent se libérer de leurs tensions physiques, mais aussi émotionnelles. Cette séance convie aussi le subconscient à vivre le parcours d’un combattant, visant en effet à amener le patient à intégrer la capacité d’écouter son corps et se respecter tout en maintenant ses engagements et ses responsabilités inévitables.

3e séance d’hypnose :

Ralentir son rythme pour mieux vivre. Amener le patient fatigué de courir après le temps, près de l’épuisement professionnel ou qui tombe malade ou d’épuisement à ralentir son rythme de vie, à vivre dans le moment présent et à mieux gérer son temps en fonction de ses besoins. Amener le patient à ralentir concrètement son rythme de vie pour favoriser son mieux-être et sa santé; l’inviter à choisir de respecter son rythme intérieur plutôt que de chercher à « aller vite »; amener le client à acquérir progressivement un rythme de vie où « demandes internes » (besoins) et « demandes externes » (responsabilités, obligations, etc.) sont toutes deux respectées; l’aider à vivre dans le moment présent pour renforcer sa capacité de « ralentir pour mieux vivre ».

Au terme de ces trois séances d’hypnose étendue sur trois semaines associées à des séances d’auto hypnose bi-hebdomadaire

Fatima a repris sa joie de vivre, son ardeur aux études qu’elle a terminé avec brio… Sa fatigue et son sentiment d’épuisement a totalement disparu. 

 

La dimension des valeurs occupe une place importante en coaching, thérapie, hypnose ou sophrologie

les valeurs

 Une valeur, c’est une manière d’être ou d’agir reconnue comme importante.

Les valeurs peuvent servir de règles essentielles sur lesquelles un individu établit les grands principes de sa vie. Les valeurs sont le noyau d’un système de croyances.

Elles influencent chaque décision prise par un individu

Les valeurs qui ne sont pas en harmonie avec ses valeurs personnelles créeront des conflits difficiles à résoudre.
Ainsi, lorsqu’une personne sait à quoi s’en tenir au sujet de ses valeurs, il est plus facile pour elle de faire un choix.

Ainsi, négliger le rôle des valeurs en coaching, thérapie, hypnose ou sophrologie revient à risquer l’insatisfaction, la démotivation et le conflit d’identité .

Les valeurs sont utiles à la résolution de conflits, à la prise de décision et interviennent au plan motivationnel dans le fonctionnement de la personnalité. Le travail contribue au développement de l’identité, car il comporte des dimensions très valorisées par les individus, tel le statut social, l’argent, la réalisation, le dépassement, etc.

Perron (1981) révèle trois dimensions à considérer dans toute définition applicable aux valeurs : la dimension cognitive, la dimension affective et la dimension comportementale.
Un individu peut identifier des valeurs cognitives auxquelles il s’identifie, en référence à un « moi idéal ou idéalisé ». Elles peuvent ne jamais être affectionnées ou actualisées au plan comportemental.

Nous sommes très attentifs  à l’aspect « valeur de référence ou valeur incarnée» en coaching, thérapie, hypnose ou sophrologie.

Si l’individu ne peut justifier aucune action, expérience ou réalité démontrant un lien effectif de la valeur avec son histoire, cette valeur restera cognitive et difficile à concrétiser ou satisfaire dans le cadre du coaching, thérapie, hypnose ou sophrologie. En présence d’une valeur de référence ou idéalisée, nous aidons  notre patient à clarifier sa valeur à l’aide de d’outils de neurosciences développés dans cette intention 

Il est important de préciser à l’individu que le choix de ses valeurs doit se faire indépendamment de ce que quiconque pourrait en penser, incluante le thérapeute ou le coach.

La clarification des valeurs est une étape essentielle pour s’assurer qu’on travaille sur des bases solides.

Cas patients : Se protéger contre les paroles blessantes

Se protéger contre les paroles blessantes

Le cas de Aïcha ou comment se protéger contre les paroles blessantes

Les belle-sœurs et la belle mère de Aïcha sont condescendantes à son endroit

Il y a quelques jours, les femme se sont à nouveau liées contre Aïcha, mais, cette fois, elles sont allées beaucoup trop loin : les propos cruels ont secoué notre patients, qui a fui, sans répondre, les larmes aux yeux.

Aïcha affirme que, depuis son mariage chaque fois qu’elle va dans sa belle-famille c’est toujours le cas.  

Elle reçoit des paroles blessantes – des sous-entendus, des insultes même. Depuis elle se sent déconsidérée, même vis-à-vis de son mari, son caractère est devenu instable et elle a perdu son caractère enjoué… Elle  manque même de concentration.

Également, elle ressent au niveau de son corps des douleurs un peu partout, surtout des crampes à son estomac et les mains moites et des tremblements lorsqu’elle pense à sa belle-famille. Beaucoup de  points de tension au niveau de son corps. elle peut fondre en larmes à tout instant.

Elle voudrait être capable de « se défendre » face à ses belle-sœurs, et leur mère,

Elle voudrait être capable de « se défendre » face à ses belle-sœurs, et leur mère,

mais ses valeurs lui interdisent de manquer de respect. Aïcha a conscience de sa difficulté à s’affirmer vis-à-vis de celles qui semblent vouloir la persécuter. Elle doute maintenant de tout, de sa capacité à interagir avec ces femmes sans qu’éclate une dispute.

Coach Mansouria a réalisé le bilan de départ

et a noté que Aïcha a une bonne estime d’elle-même mais que la peur d’être abandonné par son mari la paralyse et elle développe des peurs de plus en plus fortes : Peur d’abandon, Peur de perdre son contrôle, Peur de ne plus pouvoir se contrôler. Et elle a remarqué que l’intimité avec son mari avait diminué ces derniers temps. 

Il est décidé de travailler sur l’Estime de Soi et la Confiance en soi en coaching individuel de vie, puis d’agir sur les Émotions via la Thérapie des Émotions Ancrées Mémorisées et Enfouies… 

En quelques séances les peurs et les émotions négatives disparaissent et Aïcha reprend confiance en elle. Mais ses belle-soeurs continuent leur pilonnage d’autant plus qu’elles sentent que leurs gestes, leurs paroles, leurs attitudes ne blessent plus comme avant. Elles lui disent même « tu as changée ! », mais celle exacerbe leur envie de la blesser. 

Pour renforcer l’affirmation de soi et l’assurance face à des mots ou attitudes blessants

le Docteur Belmère entreprend une série de séances hypnotiques qui visent à augmenter la protection contre les agressions verbales et à devenir un miroir de ces agressions. L’agresseur se sent alors alors agressé lui-même sans que l’attitude d’Aïcha ne montre la moindre brutalité ou agressivité, au contraire, elle déborde d’empathie. Le maintient du calme de Aïcha devient alors une arme qui rend les agressions stériles…

En moins de trois mois Aïcha a imposé le respect. Ses relations avec son aimé ont repris de plus belle. Mais de lui-même son époux a choisi de moins voir sa famille et sa famille qui vient maintenant chez eux. Aïcha met alors tout son coeur à les recevoir, d’autant qu’un nouveau bonheur se prépare… Elle attend un enfant 

 

Adolescent : les coachings à Rabat

La réussite scolaire est souvent la conjonction de la confiance en soi et de l’estime de soi

qui génère un « état de calme » propice à d’excellentes performances scolaires.

Nous sommes en mesure d’aider les jeunes adolescents

qui doutent ou qui n’ont pas pris conscience de leurs aptitudes. Nos techniques permettront au collégien et au lycéen d’améliorer leurs performances scolaires en compréhension.

Notre habitude de thérapie et de coaching individuel

conforte détente et bien-être chez l’adolescent. Nous le conduisons à devenir plus calme, plus concentré en classe. Puis nous agissons afin qu’il utilise pleinement ses connaissance conduisant à une réussite scolaire exemplaire.

Le déroulé de notre accompagnement comprend :

bâtir confiance et augmenter ses capacités afin d’augmenter « l’estime de soi »
renforcer calme et concentration lors des cours et des examens
permettre à l’adolescent d’acquérir une méthode pour utiliser pleinement ses connaissances, ses compétences et ses aptitudes de compréhension

Cette thérapie coaching à Rabat Agdal s’adresse aux adolescents (fille et garçons) voulant

améliorer leurs performances scolaires, ayant besoin de renforcer leur confiance en eux-mêmes et ouverts à la possibilité d’acquérir une méthode pour faire plein usage de leurs connaissances et leurs compétences en classe..

Pour toute information contacter : Docteur Jean-Victor Belmère à Rabat Agdal Tél.: 0652 029 860 ou Mansouria El Bouchikhi Belmère Tél.: 0652 02 99 02

Comment définir le « bien-être » en neurosciences

Ajouter la gratitude dans une « hygiène mentale » est une forme d’intelligence émotionnelle.

4 habitudes peuvent influencer sur notre rapport au bien-être

Suis-je reconnaissant(e) aujourd’hui ? Question  primordiale à se poser tous les jours et si possible soir avant de dormir !

Parce que faire preuve de gratitude active des neurotransmetteurs qui produisent notamment de la dopamine et de la sérotonine.

Penser aux choses pour lesquelles nous pourrions être reconnaissant nous invite à considérer les aspects positifs de la vie.

Et ce n’est pas tant les choses pour lesquelles nous éprouvons de la gratitude qui comptent… mais surtout la mise en marche, le fait de se mettre à la recherche de ses petits moments de bonheur.


Ajouter la gratitude dans une « hygiène mentale » est une forme d’intelligence émotionnelle.

Faire preuve de gratitude envers d’autres personnes a également un effet positif sur les relations que nous entretenons avec les autres et rend les interactions sociales plus plaisantes. Etre reconnaissant même pour les petits gestes du quotidien installe un cercle vertueux dans les toutes les relations que nous pouvons entretenir avec d’autres humains (couple, enfant, famille, collègues, clients, artisans…).

Nommer les émotions douloureuses, désagréables

Dans l’étude IRM « Putting Feelings into Words », des participants ont été invités à regarder des images de personnes dont les visages portaient des émotions visibles et fortes. L’amygdale (centre des émotions dans le cerveau qui détecte et alerte sur les dangers) s’active en fonction des émotions représentées. Mais quand ces mêmes participants ont été invités à nommer les émotions perçues, le cortex préfrontal (centre de décision et de raisonnement du cerveau) s’est alors activé et a réduit l’impact de l’amygdale. En d’autres mots, reconnaître et nommer les émotions en réduit leur impact.

Nommer les émotions est à l’opposé du fait de réprimer, nier ou enfouir les émotions : c’est justement le fait de chercher à supprimer les émotions qui va en augmenter l’impact « tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime ».

Les neurosciences nous invitent donc à stimuler notre  intelligence émotionnelle :

Intelligence émotionnelle
Intelligence émotionnelle

  • identifier les émotions – notamment à travers les sensations corporelles qui alertent sur la présence de telle ou telle émotion
  • comprendre les émotions – on a tendance à confondre le déclencheur (ex : une remarque, une critique) et l’émotion elle-même (ex : la colère, la peur, la tristesse). Par ailleurs, les émotions sont comme des visiteuses qui nous alertent sur un besoin non satisfait et repartent quand le besoin est comblé.
  • exprimer les émotions– mettre des mots sur les émotions les calme et permet de les exprimer de manière acceptable et constructive.  Mais exprimer ses émotions à la bonne personne, au bon moment, de la bonne manière et à la bonne intensité n’est pas facile.

 

Emotions Causes
PEUR / Terreur Danger inconnu / Danger imparrable
COLERE / Rage Frustration, Injustice / Impuissance
TRISTESSE / Douleur Perte / séparation
AMOUR Lien
DEGOUT Nocivité / Perte de confiance, Viol
JOIE Réussite, Rencontres

 

Des méthodes anciennes nous ont largement devancés dans ce domaine : la  méditation consiste justement à accepter les émotions telles qu’elles se présentent sans chercher à les faire passer mais en les accueillant comme des visiteuses inattendues. La pleine conscience propose également d’accueillir les sensations corporelles présentes en les nommant et en ressentant pleinement les manifestations. Notre technique de Thérapie des Émotions Ancrées et Enfouies consiste à mettre en exergue les mots du corps qui s’ex^riment lors des émotions parasitent qui perturbent notre vie

Prendre des décisions

Les neurosciences ont montré que le fait de prendre une décision réduit l’anxiété (en plus d’aider à résoudre les problèmes).

La prise de décisions inclut le fait des créer des intentions, de poser des objectifs, d’élaborer des stratégies pour y parvenir et de réévaluer les options lors de la réalisation. Tous ces processus mentaux sollicitent les mêmes circuits neuronaux du cortex pré frontal. Or, on l’a vu plus haut, le fait de solliciter le cortex préfrontal réduit l’impact de l’amygdale (centre des émotions qui court circuite le raisonnement logique).

Pour autant, la prise de décision n’est pas chose facile. Les neurosciences insistent sur le caractère « suffisamment bon » d’une décision. Il n’est pas nécessaire de chercher à prendre une décision parfaite pour résoudre un problème. Le perfectionnisme est source de stress et sollicite l’amygdale. C’est la prise de décision ferme qui envoie le message au cerveau que les choses sont sous contrôle.

Une décision suffisamment bonne en théorie est presque toujours suffisamment bonne dans les faits !

Par ailleurs, l’action de décider augmente le plaisir ressenti. La prise de décision induit un changement dans les circuits de l’attention et dans la manière dont on se sent par rapport au problème. Cela conduit à une hausse de l’activité de la dopamine, l’hormone de la récompense. Nous nous sentons plus heureux quand ce qui nous arrive de bien est consécutif à une décision que nous avons prise et des actions que nous avons entreprises que lorsque ces événements heureux nous arrivent par « chance » ou par l’intermédiaire de l’action d’autres personnes.

Quand nous sommes confrontés à une décision que nous avons subies ou que nous prenons sous le poids des conventions sociales (« tu devrais faire ça », « on a toujours fait comme ça, « c’est vrai que je devrais… »), le circuit de la récompense n’est pas activé dans le cerveau… c’est même plutôt le circuit du stress qui s’active !

On ne se contente pas de choisir les choses qu’on aime, on aime aussi les choses qu’on choisit !

Faire entrer des gens dans la danse

Nous sommes des animaux sociaux et nous avons besoin des autres pour nous construire.  Nous avons besoin de nous sentir aimés, acceptés, compris par d’autres êtres humains.

Le rejet social a un impact aussi douloureux qu’une blessure physique.

Des neuroscientifiques ont conduit une étude dans laquelle les participants étaient invités à jouer sur un ordinateur : il s’agissait de se renvoyer un ballon mutuellement. Les chercheurs ont expliqué aux participants que des « vraies » personnes recevaient et lançaient le ballon (qu’il ne s’agissait pas juste d’un programme informatique). Il est apparu que ces participants ont ressenti une douleur physique quand les soit disant autres joueurs ont arrêté de jouer le jeu et de renvoyer la balle.

Les relations saines et chaleureuses avec d’autres personnes sont donc partie prenante du bien-être.

Les neurosciences vont même plus loin : le fait de toucher et d’être touché participe à la sécrétion d’hormones du bien-être (à condition que ces gestes soient consentis et respectueux).

Le toucher est très puissant. C’est la première manière de libérer l’ocytocine dans l’organisme. L’ocytocine est l’hormone qui permet aux êtres humains d’avoir de l’empathie, d’aimer. Elle nous déstresse et nous donne confiance : sans confiance en l’autre, l’amour et l’amitié sont impossibles. L’ocytocine joue un rôle essentiel dans toutes les relations humaines.

Les effets de l’ocytocine sont nombreux :

  • Le lien et l’affection

L’ocytocine est la molécule de la relation aux autres, des relations sociales, de l’amitié et de l’amour. L’ocytocine favorise l’empathie et aide les parents à interpréter correctement les signaux émotionnels des enfants. Elle est considérée comme l’hormone du lien et de l’affection.

L’ocytocine aide à décrypter l’expression d’un visage, d’un regard.

  • Un effet anti stress

L’ocytocine a un effet apaisant, anti stress. Elle diminue les réactions de peur et rend la vie plus douce en diminuant l’anxiété et l’agressivité.

Cette fonction anxyolitique de l’ocytocine explique pourquoi les relations empreintes de tendresse sont corrélées avec la santé physique et le bien être. – Catherine Gueguen (Pour une enfance heureuse)

  • Des implications sociales

L’ocytocine rapproche les êtres : elle joue un rôle majeur dans :

  1. la capacité à créer des liens dans une relation en duo ou dans un groupe,
  2. la cohésion des groupes en réduisant l’anxiété et l’appréhension sociale,
  3. la coopération
  • Le renforcement du lien parental

L’ocytocine joue un rôle essentiel dans tous les aspects du maternage et du lien entre la mère et son enfant : apporter de l’affection et du réconfort à l’enfant, prendre soin de lui, l’éveiller, l’aider à grandir.

L’ocytocine augmente de la même façon chez les pères et les mères lors des contacts affectueux avec leurs enfants. Donner de la tendresse à un enfant entraîne une sécrétion d’ocytocine mutuelle (parent et enfants) qui n’est pas liée au sexe du parent s’occupant de l’enfant mais à sa capacité d’affection.

L’ocytocine est sécrétée lors de toute stimulation sensorielle douce :

  • les mots doux
  • les contacts tendres (câlins, massages)
  • les caresses
  • les baisers
  • l’orgasme
  • le simple contact de l’eau chaude

L’ocytocine est également sécrétée sans contact physique lors :

  • d’une relation agréable
  • d’une interaction harmonieuse
  • d’une ambiance chaleureuse
  • une conversation agréable
  • un plaisir partagé
  • un simple échange de regards
  • de l’évocation des êtres que nous aimons

En résumé, les 4 piliers du bien-être selon les neurosciences sont :

  • La gratitude: pour quoi suis-je reconnaissant aujourd’hui ? La quête compte plus que les résultats.
  • L’expression des émotions désagréables: nommer les émotions en réduit l’impact douloureux
  • Les décisions: activement prendre des décisions suffisamment bonnes
  • Les câlins

Tout est connecté chez les humains. La gratitude améliore le sommeil. Le sommeil réduit la douleur physique et émotionnelle et améliore l’humeur. Une meilleure humeur et une meilleure forme réduisent le niveau d’anxiété. La baisse de l’anxiété améliore la concentration et la réflexion. Une meilleure concentration et une meilleure capacité à réfléchir améliorent la prise de décision. La prise de décision rend plus heureux par le sentiment de contrôle sur la vie. La joie de vivre conduit à plus de gratitude et à de meilleures relations sociales, bouclant la boucle du bonheur.

Un exercice de gratitude : envoyer un email, une lettre ou un SMS de gratitude à quelqu’un pour le remercier de quelque chose, même une petite chose et vous enclenchez un cercle vertueux.

cas patients Trouble d’anxiété invalidant

Un trouble d'anxiété dit généralisé

Le prénom et les situations ont été changés pour préserver l’anonymat et respecter le secret professionnel.

Une de ses peurs récurrentes est d'être une usurpatrice, elle a l'impression qu'elle vit un rêve et que tout va s'effondrer d'un seul coup.

Un trouble d’anxiété dit généralisé

Imane est une jeune femme créatrice d’entreprise investie dans la mode.

Elle travaille beaucoup sans compter ses heures. elle passe beaucoup de temps à travailler et son entreprise et elle fait un effort énorme. Elle l’a lancé il y a deux ans et commence à devenir rentable. Le travail porte ses fruits… Imane est venue en consultation car car elle éprouve constamment de l’anxiété, au quotidien pour un oui pour non. Elle sait que c’est exagéré mais cela ne l’empêche pas. Elle ne peut le contrôler. Elle vit une période avec de insomnie, un éréthisme cardiaque (palpitations), elle sent fébrile, agitée.

Elle pensait que les soucis financiers que rencontraient sa petite entreprise à ses débuts était principalement à cause de sa nervosité.

Mais maintenant les soucis professionnels et financiers sont dans son dos. Les commandes affluent, elle serait capable de rembourser le petit prêt de 100000 dirhams que la banque lui a consenti.

La jeune femme réalise, maintenant que son anxiété qu’elle estime pathologique nuit à sa santé. Elle ne profite pas de son succès, elle est constamment anxieuse et les anxiolytiques que lui a proposé une psychiatre nuit à sa concentration, à son travail, et ne l’empêche pas d’être anxieuse.

Vivre au quotidien devient très difficile. Elle rumine et ne peut plus se détacher de ses idées noires. Elle a pris conscience qu’il fallait qu’elle se détende, qu’elle se libère de cette anxiété, qu’elle se libère de ses pensées négatives, qu’elle puisse souffler

Elle a pris rendez vous avec Coach Mansouria parce qu’une de ses amies qui souffraient de peurs de l’orage, du vent et de la pluie depuis son adolescence qui perturbaient sa vie de tous les jours a été totalement soulagé en quelques séances par Mansouria El Bouchikhi Belmère

La première consultation fait un bilan exhaustif

Imane est une jeun fille instruite, intelligente qui a confiance en elle et une bonne estime de soi.

Elle a fait une école de commerce en France pour satisfaire son père… Mais elle a toujours su qu’elle s’exprimerait dans la mode…

Elle appris à coudre avec sa grand-mère et ses tantes et a pris goût à confectionner ses tenues avec succès. 
Parallèlement à ses cours elle a suivi par internet des cours de modélisme et de stylisme. Elle suit le milieu de la mode sur internet, grâce aux revues et aux chaines de télévisions spécialisées.

L'examen clinique et l'anamnèse montre qu'elle a développé des peurs et des phobies importantes. Que celles-ci sont prégnantes. 

Formée au management elle a eu une vision claire de comment monter son entreprise et communiquer pour vite réussir. Elles utilisent avec bonheur les réseaux sociaux pour vendre et se faire connaitre du monde entier. Si ses premières grosse commandes viennent du Moyen Orient, elle a rapidement attiré des clientes d’un peu partout et notamment du Royaume-Uni, de France, de Belgique et de Monaco.

L’examen clinique et l’anamnèse montre qu’elle a développé des peurs et des phobies importantes. Que celles-ci sont prégnantes. 

Une de ses peurs récurrentes est d’être une usurpatrice, elle a l’impression qu’elle vit un rêve et que tout va s’effondrer d’un seul coup. Elle aussi l’impression d’avoir trahi son père qui voulait qu’elle soit une spécialiste de la finance…

Elle développe une phobie de méticulosité. Il lui arrive la nuit de défaire tout un travail d’une de ses ouvrières ou d’elle même parce qu’elle pense qu’il y a un défaut.

Tous ces éléments ont un facteur de stress immense. Et Imane ne sait pas gérer ce stress qui l’envahit. Et ces angoisses qui la dominent. Ces angoisses qui lui provoquent des palpitations, des maux de ventre, des céphalées et une sudation abondante que ne cache pas les déodorants.

Nous travaillons en concertation sur le cas Imane et nous décidons de poser les indications thérapeutiques suivantes :

Une série de Thérapie des Émotions Ancrées Mémorisées et Enfouies (TEAME) qui sont à l’origine de ses Peurs, de ses Phobies et des manifestations somatiques 

Une formation à la Gestion du Stress dont elle a besoin pour elle et ses collaboratrices dans sa vie de Manager d’une entreprise performante qui ne va cesser de croitre et de se développer à l’international.

Enfin une série de relaxations hypnotiques de façon à formater son subconscient au succès et lui donner les outils pour contrôler l’harmonie de sa vie et son épanouissement.

Les résultats ont été magiques dés la première séance de TEAME

L’atténuation des peurs est spectaculaire. Et lors de la deuxième séance Imane se jette dans les bras de sa thérapeute pour l’embrasser et la remercier… 

Les deux séances de TEAME qui suivent consolident l’action initiale et l’anxiété qui perturbait la vie, les jours et la nuit d’Imane a pratiquement disparue. Le syndrome dépressif qui la guettait est écarté.

La connaissance des mécanismes du Stress permet à Imane de s’approprier rapidement les techniques qui visent, non pas à le contrôler, mais à s’en servir pour harmoniser sa vie et à l’optimiser… D’ailleurs si les gens qui réussissent ont, de notoriété,  sept habitudes MAIS ils ont SURTOUT UN SECRET : SAVOIR GERER LE STRESS. Et cette connaissance Imane en a fait profiter à son équipe professionnelle, à ses amis et à ses proches. 

Enfin trois séances d’hypnose ont permis à Imane de développer son intelligence émotionnelle nécessaire à sa créativité avec des implication extrêmes positives son sa communication et son marketing

 

 

 

 

Cas Patients – Difficulté à vivre après une séparation difficile

F.A. a 48 ans. Son mari l’a quitté pour une femme plus jeune, bien plus jeune et a demandé le divorce.

F.A. a 48 ans. Son mari l’a quitté pour une femme plus jeune, bien plus jeune et a demandé le divorce.

Depuis plusieurs années le couple ne fonctionnait pas… et le divorce elle le vit comme une libération.   Il lui faut apprendre à vivre seule et à exercer un métier pour conserver ses deux enfants. Mais elle a besoin de reprendre confiance en soi. Elle à besoin de revaloriser l’image d’elle même détruite par les insultes et les coups. Elle a une peur obsessionnelle des hommes. 

Nous la voyons en consultation pour la première fois en septembre 2016. C’est sa mère qui a insisté pour qu’elle vienne. Le premier quart d’heure est difficile. Elle a du mal à se laisser aller… progressivement elle se laisse guider à décrire ses besoins, évoquer ses valeurs, ses peurs, ce qu’elle veut et ce qu’elle ne veut plus subir… progressivement nous arrivons à dresser une liste d’objectifs qui lui sont indispensables pour pouvoir vivre en harmonie avec elle-même et s’épanouir. 

Une série de séances de coaching pour travailler et développer confiance et l’estime de soi… une série de thérapie pour effacer ses peurs et phobies qui la paralyse… une série de relaxations hypnotiques pour configurer son subconscient.

Notre travail consiste en

La faire se ressaisir après les épreuves

La faire se réconcilier avec soi même 

La faire Rompre avec le passé afin qu’elle se tourne vers l’avenir 

Deux ans après F.A.   est méconnaissable

elle a repris une activité professionnelle dans un cabinet d’avocats d’affaires (elle avait une formation de juriste) et a même la  direction d’un département 

Elle revenu en consultation car elle est amoureuse et vit une passion … mais elle a peur de revivre une relation d’intimité sexuelle …

Trois nouvelles séances de relaxation hypnotiques et de recadrage de son subconscient

lui permettent de retrouver sa sérénité de femme mère et épouse car elle a fini par se remarier a 50 ans avec succès