Coach de vie à Rabat Maroc

Mansouria EL BOUCHIKHI BELMERE

francophone d’origine Marocaine certifiée de l’institut de coaching à Genève, Master coach en développement personnel et professionnel et therapeute en émotions négatives.

J’exerce à Toulouse mais actuellement basée à Rabat Agdal près du Lycée Descartes .

Je pratique le coaching de vie au Maroc depuis 2018.

J’accompagne des personnes qui m’ont fait confiance pour réaliser des objectifs internes comme la confiance en soi, l’estime de soi, la gestion du stress, la prise de parole en public, la découverte des talents, la peur des examens, les phobies

J’accompagne des personnes pour réaliser des objectifs externes comme entreprendre, changer de carrière professionnelle, les problèmes de couples, divorces, l’éducation des enfants….

J’organise des ateliers et séminaires dans plusieurs régions du Maroc, en France et certains pays dans le monde arabe.

Parmi mes valeurs

le partage et l’aide dans la création de ma chaine Youtube et Telegram pour partager avec vous gratuitement des conseils et des expériences de vies, n’hésitez pas à consulter ces pages qui sait ? vous trouverez des informations utiles pour vous.

Vous cherchez à réaliser vos rêves et objectifs personnels ou professionnels en peu de temps et efficacement, ne cherchez plus

Vous n’êtes pas par hasard sur cette page.

Je vous accompagnerai dans la réalisation de vos objectifs.

n’hésitez pas à prendre un rendez-vous ensemble nous construisons un avenir et réalisation solide.

 

Mansouria Elbouchikhi est Coach à Rabat, directrice du cabinet de coaching et thérapies brèves COTEHY.

Elle a étudié le Coaching et la Therapie à Genève, exerce au Maroc depuis 2019 et a une expérience de 19 ans dans ce domaine.

Elle est spécialisée dans les séances de coaching individuel et professionnel sur différents axes : Thérapie de couple, guérison des peurs, Access Bars, Hypnose thérapeutique, coaching personnel, accompagnement des personnes anxieuses, déprimées, stressées …

Les séances se déroulent au cabinet à Rabat et aussi en ligne via WhatsApp, Skype ou Zoom.

Coach Mansouria donne aussi des cours en ligne, comme sur la guérison des peurs, l’enfant intérieur, le voyage de conscience, la guérison, l’estime de soi, la confiance en soi…

Pour plus d’informations. Veuillez consulter le site www.coachmansouria.com ou appeler le numéro +212 6 66 78 35 04 .

 

L’histoire du concept biologique du Stress – Le stress piment de la vie

Hans Selye (26 janvier 1907 – 16 octobre 1982)

Texte de François-Joachim BEER* (* Communication présentée à la séance du 22 janvier 1977 de la Société française d’Histoire de la Médecine.)

Le créateur du concept biologique du stress est le Pr. Hans Selye 

qui habitait au Canada, à Montréal. Ce concept lui est apparu il y a plus de 50 ans, alors qu’il commençait ses études médicales, ou plutôt ses stages cliniques. Il avait 18 ou 19 ans. Natif de Vienne, où son père, le Dr Hugo Selye, d’origine hongroise, était médecin de bataillon dans un régiment de hussards. C’est à Vienne que son père fit la connaissance de sa mère, Maria Félicitas, qui était Autrichienne. L’enfant issu de ce ménage était Hans Selye. La mère parlant allemand et le père insistant pour que le fils apprenne le hongrois, l’enfant ayant été élevé par une gouvernante anglaise, puis par une gouvernante française, le futur savant usait familièrement de plusieurs langues étrangères. 

Ainsi, Hans Selye fit ses premières classes à Komaron, la ville où ses parents vécurent après la fin de la guerre 1914-1918, et il étudia la médecine à Prague, où il dut parler non seulement l’allemand, mais aussi le tchèque. Au milieu de ses études, Hans Selye passa un an à Paris et un an à Rome ; enfin il retourna, en 1927, à Prague. C’est là qu’il fut l’assistant du Pr. Arthur Biedl, qui enseignait la pathologie expérimentale. C’est à Prague que Hans Selye fut reçu docteur en médecine, en 1929, et deux ans après, docteur ès sciences, en chimie organique. En 1931, il partit pour Baltimore comme «research fellow» de la Fondation Rockefeller, à Johns Hopkings University, et en 1932, il se rendit à Montréal, au Canada, à l‘Université Mc Gill, son havre définitif. 

L'inventeur du concept du SGA ou Syndrom Général d'Adaptation
Portrait du Professeur Hans Selye

Pendant sa vie Hans Selye pouvait se risquer à donner des conférences en dix langues différentes, mais il écrivait ses livres seulement en anglais. Il connaît le français suffisamment pour enseigner dans une université du Canada français. Chez lui, à la maison, il parle français. D’ailleurs sa femme, Gabrielle Grant, qu’il épousa en 1949 et qui lui donna quatre enfants, est d’origine francophone. 

Hans Selye était encore étudiant lorsqu’il eut l’idée du « syndrome de l’état de maladie ». Il venait de terminer les disciplines de base, l’anatomie, la physiologie, la biochimie, etc., ce qu’on appelait dans les facultés d’Europe centrale, les semestres pré cliniques, et il grillait d’impatience de se trouver enfin au contact avec des malades. Assistant au cours du Pr. von Jaksch, chargé d’enseigner les principes du diagnostic, Hans Selye remarqua que les malades présentés étaient tous atteints de maladies infectieuses dans leur premier stade. 

Le professeur interrogeait et examinait chaque malade, et, pour découvrir les origines de l’affection, recherchait surtout les signes spécifiques. Selye, lui, trouvait chez chaque malade pratiquement les mêmes symptômes : une langue chargée, des troubles gastro-intestinaux, des douleurs articulaires, rougeur de la gorge, éruption cutanée, fièvre, etc., ces symptômes que le professeur négligeait, car il ne cherchait que ce qu’il « savait » devoir trouver, alors que le jeune Selye, qui regardait les malades avec des yeux neufs, s’en tenait à ce qu’il « voyait », et ce qu’il voyait, ce furent des symptômes que présentent la plupart des malades. Selye appella le syndrome découvert par lui, « syndrome de l’état de maladie » — en allemand : « Das Syndrom des einfach Krankseins ». 

Comme le Pr. Selye me l’a dit, lors de son séjour à Paris, au mois d’avril 1975, c’est parce qu’il était tout jeune, parce qu’il ignorait tout de la médecine, qu’il a pu être frappé par tels aspects inconnus. Il est vrai que c’est à l’âge de 17 ans, en 1924, qu’il fut inscrit à la Faculté de médecine de Prague, par protection, car son père connaissait le doyen de la Faculté du temps où celui-ci était son subordonné dans l’armée autrichienne. S’il avait été plus âgé, plus expérimenté, les faits observés lui auraient échappé. Jeune qu’il était, dans sa témérité, Hans Selye se voyait déjà se lançant dans la recherche. Il voulut demander à son professeur de physiologie une place dans son laboratoire pour étudier « le Syndrome général de l’état de maladie ». Mais , comme  il  lui  fallait d’abord  étudier  les  matières  du  programme , passer les examens, et comme il n’avait aucune idée comment s’attaquer au travail sur ce syndrome qu’il était finalement seul à deviner, il laissa tout tomber, pour se consacrer à ses études cliniques, aux problèmes de diagnostic et de thérapeutique, sans s’égarer dans d’obscures hypothèses. 

Arrêtons-nous sur les constatations de Hans Selye faites en 1926, donc quand il étudiait à Prague. L’observation première est celle des malades souffrant de différentes maladies, et qui tous présentent le « Syndrome du simple état de maladie », c’est-à-dire un syndrome multivalent apparaissant dans n’importe quelle maladie. Ce qui préoccupait Selye, ce fut de découvrir comment on tombe malade. 

Dix ans après, en 1936, Hans Selye travaillait à Montréal, en qualité d’assistant dans le service de biochimie, sur les hormones sexuelles. Il devait injecter à des rats différents extraits ovariens et placentaires, et rechercher les éventuelles modifications provoquées par des hormones sexuelles connues à l’époque (1935). Il constata la fameuse triade : 

1) hypertrophie du cortex surrénalien; 

2) atrophie du thymus, de la rate, des ganglions lymphatiques et d’autres agrégats lymphatiques en général; 

3) saignements et ulcères de l’estomac et du duodénum. 

Selye découvrit alors que cette triade de modifications forme un syndrome bien défini,

puisque ces modifications étaient étroitement liées, puisque les modifications étaient proportionnelles à la quantité d’extraits tissulaires injectés, enfin qu’aucun des divers extraits expérimentés ne provoquait un changement isolé. Aussi, Selye en a conclu que les extraits injectés devaient contenir une substance active et il pensait qu’il ne pouvait s’agir que d’une hormone ovarienne. Comme à l’époque, on ne connaissait aucune hormone susceptible de provoquer la triade de symptômes observée, Selye a pu espérer avoir découvert une nouvelle hormone ovarienne! Il n’avait que 28 ans et l’on imagine son euphorie. Mais il a dû vite déchanter, car la même triade se produisait non pas seulement après injection d’extraits ovariens, mais aussi d’extraits placentaires, puis d’extraits hypophysaires, enfin d’extraits du rein, de la rate et de bien d’autres organes. Par contre, toute tentative de purification des extraits à injecter, se soldait par une diminution de leur efficacité. Selye perdait confiance et un jour il se demanda si ce syndrome n’était pas tout simplement dû à la toxicité de ses extraits insuffisamment purifiés, et donc nocifs ? Il fit alors un essai avec du formol qui se trouvait sur son bureau, et 48 heures plus tard, il nota la même triade de symptômes, mais encore plus prononcée. 

L’interprétation subjective du Stimulus dans le Syndrome Général d’Adaptation

Cette déception le plongea pendant plusieurs jours dans une profonde dépression, mais il eut le courage de s’avouer son erreur. Une fois admise sa défaite, Selye s’est ressaisi. Cette mésaventure et la période de réflexion qui suivit, lui permirent de s’engager dans de nouvelles voies, ce qui le conduisit vers ses vraies découvertes. Il se rappela ses observations de 1924, sur le « Syndrome simple de l’état de maladie », où il retrouvait l’équivalent de son syndrome expérimental. Il comprit que ses observations du début de ses études médicales, n’étaient pas erronées, au contraire. Et ainsi, il se trouva sur le chemin vers la découverte du S.G.A., du Syndrome Général d’Adaptation. Evidemment il fallait avoir du génie pour se mettre à étudier les effets non spécifiques, accidentels, secondaires, des produits toxiques spécifiques. Ses meilleurs amis, doutant de lui, voulaient le ramener sur le bon chemin, le décider à abandonner ce qu’ils appelaient la « pharmacologie de la saleté » (die Pharmakologie des Drecks). En vain ! Selye restait fasciné par les phénomènes qu’il provoquait chez ses animaux d’expériences avec ses préparations toxiques et impures. 

Des encouragements lui sont venus des deux grands savants : Frederick Grant Banting, Prix Nobel de médecine 1923, pour la découverte de l’insuline, et de Walter Bradford Cannon, qui, tous deux, lui ont apporté le secours de leur sympathie. 

Banting était de 16 ans l’aîné de Selye. Il était à l’époque chargé d’inspecter les laboratoires universitaires en tant que membre du Conseil national de la recherche scientifique du Canada. Il venait chez le jeune Selye, dans son petit labo, s’asseyait sur le bord de la table et il l’écoutait avec intérêt exposer ses idées sur le Syndrome de l’état de maladie. D’ailleurs Banting ne se limita pas à le soutenir moralement, et il lui fit accorder sa première subvention pour favoriser ses recherches. 

Quant à Walter Bradfort Cannon, le « père de l’homéostasie », de 36 ans l’aîné de Selye, il apporta au jeune chercheur l’aide la plus précieuse : les critiques qui rassurent le débutant et lui permettent de persévérer. Cannon n’admettait pas le rôle de l’hypophyse et du cortex surrénalien dans le syndrome de Selye. Selon Cannon, « les glandes ne pouvaient contribuer ni à la résistance, ni à l’adaptation en général ». Selye fut stimulé par les objections constructives de Cannon. A cette époque, Cannon — qui avait 55 ans et qui apparaissait à Selye comme le « vieux grand homme » — Cannon, dis-je, avait déjà établi la notion d’homéostasie, il avait déjà montré que l’adrénaline augmente les moyens de faire face à une agression, et aussi qu’en l’absence de surrénales, l’excitation du système sympathique libère la noradrénaline. Les travaux de Cannon ont exercé une grande influence sur Hans Selye. 

C’est le 4 juillet 1936, le jour de l’Indépendance des Etats-Unis, que Selye publia dans le journal «Nature» une note de 74 lignes, qu’il intitula : « Un syndrome provoqué par diverses causes nuisibles » (A Syndrome produced by diverse nocuous Agents) — Selye écrivit « noxious » mais la rédaction remplaça ce mot par « nocuous »). Cette communication est l’acte de naissance du S.G.A., du Syndrome Général d’Adaptation. Selye ne s’y risqua pas encore à employer le mot Stress qu’il emprunta à la physique d’expression anglaise, où l’idée de Stress and Strain relation marque la relation entre charge et tension (en allemand : Belastung und Beanspruchung). 

Dans cette communication, Hans Selye proposa le concept du Syndrome Général d’Adaptation, avec ses trois phases : 

1) la réaction d’alarme, qui cesse avec la disparition de l’agression 

2) la phase de résistance, le corps s’adaptant à l’agression qui continue, concentrant contre lui ses réserves, quitte à être moins résistante lors d’une éventuelle agression ultérieure; 

3) la phase d’épuisement, le corps exténué par l’effort d’adaptation, flanchant tout à coup, finit par succomber, m ê m e si l’agression a cessé. 

Il est évident que le S.G.A. n’empêche nullement les syndromes locaux auxquels il s’ajoute. Ainsi par exemple le froid provoque en même temps une manifestation spécifique :le frisson, et le Syndrome d’adaptation qui est une manifestation non spécifique. Il en est de même pour toute agression : microbes, chocs, bruits intenses, etc. 

Dès ses premières observations, Selye a constaté les effets du stress, qui par la suite lui ont appris qu’un grand nombre de maladies, qu’elles soient somatiques, sociologiques ou psychologiques, peuvent avoir pour causes non un agent toxique ou une situation sociale, mais ***  la réaction de l’organisme.  ***

Le Stress une intelligence cybernétique
Le Stress une intelligence cybernétique qui a assuré et assure la survie des espèces

Les défenses de l’organisme ne sont pas toujours bénéfiques.

Par exemple, lorsqu’on injecte une goutte de formaline qui est une solution irritante, l’organisme réagit par l’inflammation. Une barrière de tissu inflammatoire, c’est utile quand il faut localiser le mal. Ceci est le cas, par exemple dans la tuberculose, où il s’agit d’empêcher l’invasion du sang par le bacille de Koch. Chez le rat, les bacilles de la tuberculose humaine sont sans effet. Sa réaction immunitaire tue les bacilles de Koch, qui sont immédiatement encapsulés e t  qui  ne  peuvent pas se propager . Dans ces cas , il n’est pas opportun d ‘ inhiber les défenses naturelles de l’organisme. En administrant de la cortisone, on empêche cette réaction de défense qui, elle, serait utile. Les animaux traités avec cortisone meurent et ceux qui n’ont pas été traités, restent sains. 

Mais pour la formaline, qui est précipitée aussitôt et qui ne produit qu’une petite escarre, ce qui n’est guère dangereux pour l’animal, l’inflam-mation, c’est-à-dire la propre réaction inflammatoire de l’organisme, rend malade tout l’organisme. En effet, sans cette inflammation, la formaline ne tuerait que quelques cellules et elle s’éliminerait en 2 – 3 jours. Donc, contre la formaline, les réactions inflammatoires sont inutiles. Si l’organisme ne se défendait pas, rien n’arriverait. Dans de tels cas, il est bon d’entraver les moyens de défense de l’organisme. 

Hans Selye distingue deux types d’agents : 

1) Ceux qui sont syntoxiques, qui sont les messagers chimiques de la paix. Ils avertissent : ne vous battez pas, ça n’en vaut pas la peine, c’est à vous- m ê m e que vous ferez mal. D’ailleurs, dans la vie quotidienne, nous souffrons moins de ce qui nous arrive, que de la manière dont nous y réagissons. 

2) L’autre groupe, qui a des effets contraires, qui est celui des hormones catatoxiques,— ces hormones sont les messagers de la guerre, elles sont faites pour détruire. La principale action de ces hormones est d’induire dans le foie des enzymes qui détruisent les toxines, comme la nicotine, des substances cancérigènes, des drogues qui peuvent être dangereuses lorsqu’elles sont en quantités excessives.— Les substances catatoxiques augmentent les réactions défensives. Dans ce domaine, les composés synthétiques sont plus actifs que certaines hormones qui ne possèdent que de faibles propriétés destructrices. Le plus puissant de ces composés est un dérivé d’hormone : la prégnénolone-16a-Carbonitrylée (PCN). 

« Le stress est le piment de la vie ».

Le stress est associé à toutes les formes d’activité. On ne peut éviter le stress qu’en s’abstenant de toute activité, en se résignant alors à une vie qui n’a plus aucun intérêt. 

Chaque stress, surtout provenant de frustrations ou d’échecs, laisse des cicatrices chimiques indélébiles, et c’est l’accumulation de ces usures irréparables qui constitue le vieillissement. 

Les activités exaltantes, les activités couronnées de succès, les activités qui rendent heureux, sont le meilleur moyen pour garder jeunes même des gens d’âge très avancé. 

Les deux mots qui ont été proposés par Hans Selye lorsqu’il chercha pour la première fois une définition du mot stress, étaient « usure et claquage ». Ce sont les soucis, les frictions, les revirements, qui sont causes de cette usure et de ce claquage. L’homme a besoin d’harmonie et de succès.

Il supporte mal les critiques et les échecs. Ce dont nous avons besoin c’est d’approbation, c’est d’avoir raison. L’homme a soif d’admiration, avoue le Pr. Selye. 

BIBLIOGRAPHIE 

Texte de François-Joachim BEER 

Hans Selye : «From Dream to Discovery»(Mc GrawHill, NewYork,1964). « The Stress of Life » (Mc Graw Hill,New York, 1956). 

André Meyer. — Ce n’est en rien diminuer le mérite de Hans Selye de rappeler que c’est Reilly qui le premier a démontré expérimentalement la réponse univoque, non spécifique à des infections d’origines diverses, et le rôle primordial du système sympathique. Selye lui-même a reconnu l’influence de ce grand et modeste savant dont l’œuvre commençait à être connue quand Selye faisait ses études de médecine à Paris. C’est la modestie de Reilly et son effacement délibéré qui n’a pas permis la diffusion inter- nationale de ses travaux. 

P. Durel. — J’ai travaillé à l’époque du « Syndrome de Reilly » avec le savant trop modeste qu’était mon maître Reilly et je m’associe profondément à la remarque du Pr. A. Meyer. 

Coach & Coaching – Rabat

TéléMaroc saison 1 épisode 1

Un coach est un professionnel

qui révèle vos aptitudes de façon à ce vous en preniez conscience et que vous sachiez les utiliser pour l’avenir. Le coach est un révélateur qui travaille sur l’existant, sur des forces présentes ( parfois émergentes ou en sommeil ). Il vous aide à comprendre ce qui a du sens. Il est à l’origine d’une nouvelle énergie qui va vous apaiser, harmoniser votre vie  et lui permettre d’être cohérente avec ce qui est vous. Vous aurez alors les atouts nécessaires afin d’obtenir des résultats désirés qu’ils soient personnels ou professionnels.

Être coaché ce n’est pas « recevoir  des conseils »

C’est recevoir une relation vitale sur une période de votre vie, afin d’obtenir une certaine clairvoyance, des savoir-faire, des savoir-être utiles pour apporter des changements simples mais essentiels dans votre vie et tout ce qui l’entoure (famille, couple, amitiés, relations professionnels, collectifs, équipes)

Être coaché c’est apprendre à faire les bons choix

Le Coach intervient directement sur votre manière d’aborder vos problèmes. Non pas en vous guidant mais tirant de vous les solutions qui sont inhérentes à votre individualité, à ce que vous êtes. Prenant conscience de vos atouts vous devenez capable de prendre les bonnes décisions, au bon moment.  En quelque sorte le coach révèle ce qui est au fond de vous et dont vous ne savez pas vous servir. Parce que l’on ne vous l’a pas appris, ou parce que vous avez été étouffé par votre environnement socio-culturel, votre environnement professionnel, votre environnement familial. 

Être coaché c’est apprendre à reconnaitre les cycles de notre vie et à y faire face de manière cohérente et adaptée.

Personne n’a une vie linéaire, de nos jours. Chacun d’entre nous doit faire face à de multiples ruptures. séparations, divorces, changement d’emploi, d’orientation, maladies, accidents… La vie est faite de chapitre, de parcours, de réflexions, de cycles auxquels nous sommes confrontés et devons faire face. 

Avec un coach nous apprenons à nous un fixer des objectifs, et à les tenir pour donner du sens à notre vie

Une fois les objectifs clairement définis le coach nous aide à trouver du sens, à visualiser l’avenir, à apprendre à développer des scénarios, à planifier les étapes vers notre avenir, pas celui du voisin, pas celui d’un parent, le notre qui tient compte de ce que nous sommes, de l’entité que nous sommes et qui est totalement différente des individualités que nous rencontrons tous les jours. 

L’émotion comment cela se crée ?

Coaching Thérapie Développement Personnel by Mansouria El Bouchikhi Belmère et Jean-Victor Belmère

Au moindre stimulus  nos sens réagissent

Nos yeux, nos oreilles,  un toucher envoient un éclair  à la zone du cortex cérébral qui traite les  informations sensorielles. En une nano seconde  (moins d’un milliardième de seconde, 10-9 seconde ) le message est transmis  au  cortex préfrontal qui décortique l’information.

Dans la même fraction de seconde (moins de 10-9 seconde) le système limbique, le vrai centre cybernétique de l’émotion, analyse le signal. Il faut noter que depuis le stimulus initial jusqu’à ce moment cette émotion est traitée comme un signal lambda d’alerte. Comme n’importe quelle agression.

Nos yeux, nos oreilles,  un toucher envoient un éclair  à la zone du cortex cérébral qui traite les  informations sensorielles. En une nano seconde  (moins d'un milliardième de seconde, 10-9 seconde ) le message est transmis  au  cortex préfrontal qui décortique l'information
Nos yeux, nos oreilles,  un toucher envoient un éclair  à la zone du cortex cérébral qui traite les  informations sensorielles. En une nano seconde  (moins d’un milliardième de seconde, 10-9 seconde ) le message est transmis  au  cortex préfrontal qui décortique l’information

Mais à partit de là, l’hippocampe, les amygdales les qualifient  : c’est un plaisir ou c’est un déplaisir.  Après cette analyse qui va plus vite qu’un éclair la stratégie est décidée. FUIR ou RIPOSTER ?  Et les  mécanismes de la réaction sont immédiatement embrayés.

L’hypothalamus balance une série d’alerte au Système Nerveux Central et au Système Nerveux Autonome ou Végétatif via  des transmetteurs biochimiques et les systèmes neurovégétatifs, le système sympathique et le système parasympathique entre alors en action et inonde le corps de messages. Ceux-ci sont de nouveau analysés par des centres régionaux et locaux

Mise en jeu des processus hormonal, humoral et biochimique

Le système sympathique est un système spécifique

Il réagit à toute agression (on dit stress = agression = stimulus)  en agissant sur la glande surrénale (petite glande endocrinienne située au dessus de chaque rein) et déclenche la recréation d’une substance chimique la noradrénaline ou norépinéphrine composé organique ou hormone adrénergique qui sert à neuro transmettre les informations dans la cellule neurologique ou neurone.  La noradrénaline est un précurseur de l’adrénaline

Le système sympathique  et la noradrénaline produisent

instantanément, dans les glandes surrénales, la production d’adrénaline. On l’appelle aussi l’hormone du stress.

Le système sympathique est un système spécifique qui réagit à toute agression (on dit stress = agression = stimulus)
Le système sympathique est un système spécifique qui réagit à toute agression (on dit stress = agression = stimulus)

IL faut à cet instant faire une synthèse et bien comprendre que ce phénomène de déclenchement en chaine n’est pas l’apanage de l’émotion.

C’est un process général que l’organisme met en jeu pour se défendre ! ON l’appelle le Syndrome d’Adaptation décrit par  Selye. Si le stimulus est un virus, une bactérie, un champignon, un simple coup, une coupure, une gifle ou tout autre stimulus l’organisme humain, on parle d’économie systémique va réagir de la même manière. Pourquoi ? Pour une seule chose ! l’être vivant a horreur du déséquilibre (déséquilibre = mort potentielle) et va tout faire pour rétablir cet équilibre on parle d’HOMÉOSTASIE

l'être vivant a horreur du déséquilibre (déséquilibre = mort potentielle) et va tout faire pour rétablir cet équilibre on parle d'HOMÉOSTASIE...
l’être vivant a horreur du déséquilibre (déséquilibre = mort potentielle) et va tout faire pour rétablir cet équilibre on parle d’HOMÉOSTASIE…

 

Les hormones entrent en jeu

L’adrénaline, a une action hormonale, elle est sécrétée par la glande médullo-surrénale c’est-à-dire la zone centrale de la glande surrénale (la zone périphérique secrète les glucocorticoides) , bien qu’elle existe aussi dans le cerveau. La noradrénaline c’est le médiateur chimique des terminaisons nerveuses sympathiques. On parle de synapses qui est à dire le connecteur entre neurone, ou entre neurone et zone effectrice). Adrénaline, noradrénaline et  dopamine sont des catécholamines synthétisée à partir d’un acide aminé essentiel que l’organisme ne sait pas produire la phénylalanine

L’adrénaline déclenche des signes physiques. Elle accélère le rythme cardiaque, assèche la bouche, donne la chair de poule ou fait violemment transpirer. Ce sont ces processus somatiques expression de l’agression qui nous permettent de lire l’émotion. À la fois pour comprendre ce qu’elle nous provoque, mais surtout pour nous thérapeute pour l’analyser (on parle de sémiologie = étude des signes) et de la traiter. Mais un autre veilleur est avide de cette symptomatologie, c’est la conscience. C’est elle qui avec habileté utilisée par le thérapeute va guérir l’individu des émotions néfastes  (peurs pathologiques, phobies, tendances suicidaires, conduite addictives etc…)

Le second système végétatif, le système parasympathique,

fait tout préserver l’équilibre,  l’homéostasie, par le biais de l’acétylcholine, en agissant l’orage cérébral qu’a déclenché l’activité émotionnelle. L’acétylcholine est aussi un neuromédiateur à la fois du SNC (Système Nerveux Central) et du Système Végétatif et notamment parasympathique dont le rôle est de modérer les excès du système sympathique,

La chaine de déclenchement de l’émotion jusqu’à sa fin ne prend sur le plan cérébral et neurologique moins d’une fraction de seconde.

Mais les manifestations physiques de l’émotions, l’empreinte psychologique consciente, et les manifestations inconscientes peuvent durer beaucoup plus longtemps !

Le grand danger de cette émotion initiale c'est sa répétition. Les manifestations physiques, psychologiques s'additionnent.
Le grand danger de cette émotion initiale c’est sa répétition. Les manifestations physiques, psychologiques s’additionnent.

Cette répétition peut survenir par la répétition des stimuli. Mais plus grave par la pensée, par le subconscient et entretenir un effet de stress. Cette répétition de stress entraine une réitération de ses mécanismes d’adaptation et notamment de la sécrétion des neuromédiateurs dont l’organisme se rassasie et s’enivre.  Et alors insconsciemment l’organisme produit ces drogues qui l’enivrent et nous mettent dans un état de stress, d’angoisse, d’anxiété dont nous n’arrivons plus à sortir et nous ne savons pas pourquoi. Et le recours à d’autres drogues, dites médicales, aggravent le processus, on nous rendant dépendants de médicaments… 

C’est tout l’enjeu de la Thérapie des Émotions Ancrées Mémorisées Enfouies vous sortir de ce cercle infernal.

 

TEAME Thérapie des Émotions Ancrées Mémorisées et Enfouies

Coaching Thérapie Développement Personnel by Mansouria El Bouchikhi Belmère et Jean-Victor Belmère

TEAME technique et mode

La fantasia un orage de feu
Une émotion c’est un ensemble de manifestations sensorielles. En ramenant à la surface, et en contrôlant, cette remontée des manifestations extrêmement vives vont apparaître.

Tout notre travail repose sur le fait que l’organisme vivant et notamment humain est capable de s’autoguerir. 

À la moindre agression l’organisme lance un processus dont le point de départ est le STRESS. Le but est de véhiculer sur les lieux de l’agression une équipe non-spécialisée capable de s’informer sur l’agression et de commencer à nettoyer.

Les informations sont transmises à trois niveaux (au moins) : un niveau local, un niveau régional et à un niveau cortical ou central… À chaque niveau il y a des rétro-contrôles et des feed backs. Si la première vague n’est pas suffisante ces centres mettent en jeu des actions plus spécifiques, et alors spécialisées qui peuvent être hormonales ou humorales, cellulaires (immunité), ou biochimiques !

Le but est la conservation de l’équilibre ou HOMÉOSTASIE ! 

Ces actions sont des relations automatiques que le cerveau et ses centres émotionnels peuvent inhiber ou potentialiser, les centres de contrôles sont capables de les guérir naturellement et l’on appelle cela la RESTITUTIO AD INTEGRUM…

Le neurone de base Quand je parle de cerveau il s’agit en fait de multiples centres dans le cerveau ou ailleurs qui par un contrôle cybernétique se parlent et se coordonnent
Le neurone ? La base
Quand je parle de cerveau il s’agit en fait de multiples centres dans le cerveau ou ailleurs qui par un contrôle cybernétique se parlent et se coordonnent et dont la base unitaire au plan cellulaire est le NEURONE

La TEAME repose sur ces principes de restitutio ad integrum 

La TEAME où Thérapie des Émotions Ancrées Mémorisées Enfouies repose sur une codification très stricte pour la conduire… 

Il s’agit en effet de ramener à la surface des expériences très désagréables qui ont laissé au patient des émotions très vives qu’il essaie d’enfouir pour les oublier ! 

Le cerveau qui Enfouit ces émotions pour les oublier, ne les contrôle plus… le fait de les ramener à la surface oblige le cerveau à les prendre en considération et à les analyser… et automatiquement se met en route le processus de réparation….

Une émotion c’est un ensemble de manifestations sensorielles. En ramenant à la surface, et en contrôlant, cette remontée des manifestations extrêmement vives vont apparaître. 

Cela va des manifestations somatiques végétatives liées au SNA (bouffées de chaleur. Sudation, augmentation du rythme cardiaque, étouffement etc) à des orages psychiques qui s’expriment par des manifestations fonctionnelles (anesthésies, paralysies, cécité, contractures…) sans lésion organique, des crises émotionnelles, éventuellement des phobies. des paralysies, des troubles de la parole ou de la sensibilité, des hallucinations et d’autres manifestations transitoires, tels que des crises pseudo-épileptiques ou des comas « psychogènes », toutes ces manifestations, trouble de la personnalité histrionique ou trouble somatoforme.

Le cerveau qui Enfouit ces émotions pour les oublier, ne les contrôle plus... le fait de les ramener à la surface oblige le cerveau à les prendre en considération et à les analyser... et automatiquement se met en route le processus de réparation....
Le Cerveau et ses acolytes
Le cerveau qui Enfouit ces émotions pour les oublier, ne les contrôle plus… le fait de les ramener à la surface oblige le cerveau à les prendre en considération et à les analyser… et automatiquement se met en route le processus de réparation….

Ce sont ces manifestations somatiques qui constituent pour le thérapeute la feuille de route de la thérapie. 

Ces expressions somatiques, à la fois, révélent et localisent l’émotion perturbante. La difficulté c’est la résistance de la conscience qui s’oppose à cette mise à nu.  Cette conscience va par des manifestations de brouillage, tenter de résister à l’intrusion. D’où ces orages cérébraux, ces crises émotionnelles, ces hallucinations etc.

Quand je parle de cerveau il s’agit en fait de multiples centres dans le cerveau ou ailleurs qui par un contrôle cybernétique se parlent et se coordonnent … chaque centre peut être comparait à un processeur d’ordinateur mais mille milliards de fois plus puissant… chaque information qui va et qui vient induit un potentiel d’action, ce qui explique le corps humain est un champ magnétique… tout repose sur l’ATP qui fournit l’énergie à chaque cellule ….

Les Fondamentaux du Coaching en entreprise

tu ne pas espérer si tu ne cherches pas l'inespéré

Coaching Thérapie Développement Personnel by Mansouria El Bouchikhi Belmère et Jean-Victor Belmère

Les apports du coach en entreprise relèvent de trois facteurs clés :

  • Sa capacité à comprendre les enjeux et le fonctionnement des systèmes d’entreprise complexes
  • Poser un diagnostic et élaborer une stratégie avec une feuille de route pour l’accompagnement qui prend en compte les 3 dimensions impactées : personnelle, équipe et interpersonnelle et organisationnelle
  • Viser l’atteinte des objectifs définis et en même temps l’apprentissage et le développement des individus.

Le Coach professionnel 

Le coach met en place un espace de confiance et de partenariat :

Il croit fondamentalement que le coaché détient sa propre solution.
Il autorise une expression et un travail fécond par son écoute active, bienveillante et sans à-priori.
Il aide à identifier et à dépasser les freins et les blocages qui empêchent d’avancer vers la réussite.


Le coach se focalise sur les informations prioritaires relevant de la problématique exposée :

Il facilite la prise de distance du coaché
Il ouvre une autre vision de la situation du coaché ; il amène à faire évoluer la perception de la situation et à libérer la créativité dans la recherche de réponses les plus adaptées
Le coach veille à l’alignement entre les valeurs personnelles du coaché et celles de l’entreprise et permet ainsi de réduire tout écart comportemental, souvent source de problèmes.
 

Coach Professionnel : Capacité à comprendre les enjeux et le fonctionnement des systèmes d’entreprise complexes
Coach Professionnel : Capacité à comprendre les enjeux et le fonctionnement des systèmes d’entreprise complexes. Rabat : Le Master Coach professionnel en entreprise aide à définir des objectifs précis et à dépasser les freins et les blocages pour une réussite complète

Le coach protège par ses interventions et stimule par sa confiance :

Il permet au coaché de s’écarter de sa « zone de confort » et d’explorer de nouveaux comportements
Il met le coaché en position de faire émerger sa solution et favorise le développement de son autonomie
Ainsi, il aide le coaché à trouver  dans son développement.
 
 

Notre Vision du Coaching

L’homme doit développer les facultés de son esprit comme un virtuose fait ses gammes Paul Valéry

Coaching Thérapie Développement Personnel by Mansouria El Bouchikhi Belmère et Jean-Victor Belmère

Le Coaching est un Révélateur,  un outil de valorisation de soi et pour l’entreprise un outil de performance de ses ressources humaines…

Toutes nos capacités sont LÀ ! RÉVÉLONS-LES !
Toutes nos capacités sont LÀ !        RÉVÉLONS-LES !

 

  • Coacher c’est accompagner pour révéler les capacités du coaché. Chaque être humain est doté de capacités extraordinaires. Son cerveau qui s’est développé aux cours des millénaires a acquis toutes les données nécessaires à son développement personnel vers l’harmonie et la réussite. Tout est mémorisé dans le cerveau et acquis d’une manière héréditaire. L’environnement socio-culturel et le train-train de la vie quotidienne anihile une grande partie de ces dispositions naturelles.

    Coacher c’est révéler !

    Le coach est un révélateur de toutes ces capacités cérébrales que nous détenons.   

  • La révélation de nos talents permet d’accroître notre efficacité individuelle et collective . Il ne s’agit pas d’obtenir de nouvelles compétences mais de révéler celles qui héritées de nos aïeux sommeillent en nous et ne sont pas exploitées ! 
  • Grâce au pouvoir illimité du cerveau le cadre du possible devient réalité et s’élargit . Nous développement toutes nos potentialités et ceci permet de stimuler motivation et engagement dans une spirale vertueuse de construction et de créativité.
  • L’individu est une économie, un système complexe qui obéit à des lois simples visant à protéger son équilibre.   Une fois révélé l’individu devient une machine de guerre pour sa propre réussite et sa propre performance. Ceux qui réussissent connaissent ces mécanismes de manière intuitive, ou les ont appris de leur milieu socio-culturel, ou de sages ou par un coaching structuré et professionnel.
  • Le coaching permet permet de fixer des objectifs et de réaliser une feuille de route pour les atteindre. Il précise ainsi les indicateurs de suivi et de mesure à la fois quantitatifs et qualitatifs. Mais attention le coaching ne fait que révéler ce qui est en vous, profondément enfoui dans votre cerveau. 

 

Gérer son dialogue interne et externe – Rabat Maroc

Calme et libération

Je le répète assez souvent, vos pensées créent votre réalité,

elles agissent sur vos émotions, vos sensations et influent sur votre comportement au quotidien. Et oui ! les mots et les pensées que vous choisissez sont puissants !

Votre dialogue interne et externe exerce une grande influence dans votre façon de vivre.

Ils définissent vos actions et vos actions ont un effet direct sur votre réalité souvent distordue et forme ainsi vos représentations qui ne sont pas forcément synonymes de réalité. « La carte n’est pas le territoire » un présupposé de la PNL qui a toute son importance, cela veut dire que ce que vous percevez, ce que vous ressentez, n’est pas la réalité mais votre représentation de celle ci. 

Nous avons tous eu des mauvais moments dans la vie,

il faut alors savoir les accueillir, les accepter et en faire par la suite un retour d’expérience, une force pour la suite. Nous aurons toujours des difficultés puisque nous le savons tous « la vie n’est pas un long fleuve tranquille » le tout est d’apprendre à gérer ses difficultés d’une autre manière, de les percevoir d’un autre angle et donc moins nuisible pour vous pour vos pensées mais aussi vos sensations. Ne l’oublions pas vos pensées négatives se répercutent sur votre corps. 

Faites de vos pensées négatives, des pensées encourageantes, gratifiantes, résiliantes.

Car… il n’y a rien que vous ne puissiez pas faire ! 

By Nadia BENZAOUIA

Thérapie brèves-Hypnose-PNL-Neurothérapie

Le confinement et la menace sanitaire du COVID-19

Ouverture du cabinet le 1er juin

Le confinement et la menace sanitaire du COVID-19 sont susceptibles d’avoir un fort impact psychologique sur les adultes et les enfants

que ce soit au niveau conscient ou inconscient. Cela peut aller des troubles du sommeil aux stress post-traumatiques, en passant par la dépression, les attaques de paniques, le bore-out ( ennuie, frustration, perte de sens par le manque voir la perte de travail , l’anxiété ( par l’idée d’être infectée par le virus ou pas le confinement ), le sentiment de claustrophobie, la multiplication des phobies, la boulimie, la perte de poids, l’urticaire, conflits conjugaux etc etc, nombreux sont les symptômes pouvant être liés à cette crise sanitaire. 

Mais rassurez vous il y a des solutions,

prenez donc un billet pour un embarquement immédiat vers la connaissance de soi et la libération de vos émotions et de vos maux. 

Quelques séances de neurothérapie pourront

vous aider à libérer votre charge émotionnelle bloquée dans votre psyché mais aussi au niveau sensorielle et donc dans votre corps. Les thérapies brèves, l’Hypnose et la PNL vous permettront également d’acquérir de nouveau comportements, de lâcher prise, combattre ces symptômes qui vous pourrissent la vie au quotidien de façon consciente ou inconsciente.

En dehors de cette crise sanitaire particulière pour tous,

je vous accompagne toujours dans l’atteinte de vos objectifs de vies et dans la résolutions de certaines de vos problématiques. Je suis heureuse de pouvoir vous accueillir de nouveau au cabinet à partir du Lundi 1er Juin 2020 et toujours à distance via whatsapp, zoom et via le site : mon-psy-enligne.com

 

Je vous dit donc à bientôt

Nadia 

Confinement Coronavirus Covid-19 Stop à la solitude – Rabat Maroc

Dépolluez votre esprit grâce aux thérapies brèves

𝗗𝗘́𝗦𝗜𝗡𝗙𝗘𝗖𝗧𝗜𝗢𝗡 𝗜𝗡𝗧𝗘𝗥𝗡𝗘 ! Dépolluez votre esprit grâce aux thérapies brèves et au master-coaching  pro

𝗦𝗲́𝗮𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗮̀ 𝗱𝗶𝘀𝘁𝗮𝗻𝗰𝗲 au Téléphone, Whatsapp, Zoom, Skype

L’équipe de Cotehy,  Mansouria El Bouchikhi, Nadia Benzaouia, Dr Jean-Victor Belmère, est à votre écoute en ces périodes difficiles pour vous dépolluer.

Dépolluer l’esprit des angoisses, paniques, anxiétés, TOC, phobies etc. qui viennent interférer dans votre vie en ces périodes d’incertitude. Incertitude de l’avenir, incertitude familiale, professionnel, des études etc.