Thérapies sous Hypnose & PNL bilan de ces deux dernières années – Dr Belmere – Rabat Maroc

Hypnose en Conscience

Thérapies sous Hypnose & PNL, J’ai profité de cette assignation à résidence

Qu’est le confinement pour faire le point sur les thérapies entreprises depuis un peu plus de deux ans ici au Maroc, et leurs indications?

Souvent il y a association de plusieurs symptomatologies ou motifs de consultation. Pour cette raison je n’en n’ai pas dressé des statistiques strictes. 

Motifs généraux :

      • Phobies de toutes sortes,
      • Traumatismes : accident, décès, divorces…
      • dépression exogène,
      • anxiété, crises de panique,
      • stress et mal-être,
      • migraines,
      • insomnies,
      • cauchemars,
      • troubles obsessionnels et du comportement,
      • paralysie,
      • cécité,
      • surdité,
      • aphonie,
      • amnésie,
      • dysphagie,
      • reflux gastro-oesophagiens
      • tics,
      • hoquet,
      • bégaiement,
      • grossesse,
      • préparation préopératoire,
      • accouchement sans douleur,
      • dentisterie,
      • analgésie,
      • anesthésie et suites postopératoires ;

Lutte contre la douleur :

      • Douleur chronique,
      • examens médicaux pénibles,
      • cancer,
      • grand brûlé…
      • soutien durant le traitement du cancer, du sida et autres graves maladies,
      • ichtyose,
      • hémophilie, herpès génital ou labial,
      • leucémie,
      • diabète,
      • vaginisme,
      • frigidité,
      • anorgasmie,
      • dysménorrhée et aménorrhée,
      • impuissance,
      • éjaculation précoce,
      • infertilité,
      • énurésie,
      • coprorésie,
      • rétention urinaire,
      • pollakiurie,
      • excès de poids,
      • onychophagie,
      • boulimie,
      • anorexie,
      • toxicomanie,
      • tabagisme,
      • alcoolisme,

Maladies de la peau :

      • névrodermite,
      • psoriasis,
      • prurit,
      • verrues,
      • acné,
      • zona,
      • eczéma,
      • urticaire,
      • calvitie…
      • allergies ponctuelles ou chroniques,
      • asthme,
      • hypertension artérielle,
      • problèmes de vue,
      • troubles gastro-intestinaux,
      • problèmes de croissance (taille, seins),
      • syncopes, maladie de Raynaud,
      • hyperhydrose,
      • personnalité fractionnée,
      • procrastination,
      • hypocondrie,
      • manque de confiance en soi,
      • entraînement à la concentration, à la performance : sport, études, examens,
      • réorientation professionnelle ou personnelle,
      • prise de décision importante, dilemme, etc.

Les maladies lourdes, en association avec le traitement médical

type cancer, aux origines souvent existentielles (en complément du traitement médical),

Les problèmes d’ordre physique

à répétition et de cause inexpliquée (céphalée, mal de dos, mycoses, cystite et autres somatisations),

Les effets du patriarcat

(femmes qui se sous-estiment, qui n’ont pas de goût à la vie, qui restent en arrière-plan, derrière leur mari, qui souffrent de non-reconnaissance, etc.),

Les problèmes d’identité (y compris d’ordre sexuel),

      • les femmes trop « solaires » (coupées de leur féminin) et
      • les hommes trop « lunaires » (coupés de leur masculin),
      • orientation sexuelle, 
      • mal-être existentiel,
      • tristesse ou sentiment d’impuissance chronique,
      • sensation d’être dissocié, coupé du corps, de ses émotions et sentiments,
      • excès d’esprit d’analyse,
      • rumination,
      • loyautés familiales,
      • rancœur,
      • deuil,
      • être (ou se croire) toujours victime, prisonnier d’une situation, critiqué ou jugé par les autres,
      • timidité,
      • agressivité,
      • colères,
      • hyperactivité,
      • besoin de multiplier les relations affectives sans lendemain,
      • peur de l’abandon,
      • tendances suicidaires,
      • dialogue intérieur négatif dévalorisant, rabaissant,
      • impossibilité de construire un couple ou de maintenir un couple,
      • problèmes de couple,
      • infertilité psychologique,
      • échecs personnels ou professionnels à répétition,
      • sensation d’être transparent, inintéressant,
      • trop grande naïveté,
      • crédulité,
      • pessimisme,
      • sentiment d’injustice,
      • d’infériorité,
      • dépression endogène,
      • besoin de trouver sa voie,
      • manque de créativité,
      • perte du goût de la vie,
      • excès d’attente par rapport aux autres,
      • besoin excessif d’attirer l’attention, etc.

Nombre des troubles cités sont plus avantageusement et durablement traités grâce aux procédés l’hypnose en conscience que nous avons développé,  qui tient davantage compte de la psychologie profonde, de l’histoire de vie et des mécanismes émotionnels de la personne. 

L’hypnose analgésique ou hypnoanalgésie à Rabat

De nos jours, on constate indéniablement un regain d’intérêt pour l’hypnose dans le monde médical, non plus en opposition avec la science, mais appuyé cette fois par le développement des neurosciences, de la clinique et de la pratique médicale.

En effet, les techniques d’exploration cérébrale valident la fiabilité de l’analgésie hypnotique en démontrant son intervention sur l’activité cérébrale qui sous-tend l’expérience normale de la douleur (voir Jamieson, 2007).

Ces travaux soulignent l’utilité de l’hypnose non seulement comme méthode thérapeutique mais aussi en tant qu’outil de recherche permettant de préciser les mécanismes de la perception de la douleur et d’explorer les états de conscience.

Les résultats issus de l’imagerie cérébrale fonctionnelle tendent à confirmer la thèse selon laquelle les participants hypnotisés ne se contentent pas de satisfaire aux suggestions de leur thérapeute mais sont dans un état neurologique particulier.

Même si, aujourd’hui encore, les mécanismes de l’hypnose ne sont pas bien compris, les manifestations de l’activité cérébrale révèlent un état de conscience modifiée.

De plus, l’efficacité de cette technique est actuellement bien connue pour soulager les douleurs physiques et éviter ainsi les anesthésies médicamenteuses et chroniques (Faymonville, Joris et al. 2005).