3 théories :
L’une scientifique, la mécanique quantique
qui à travers ses principes essentiels, et ses applications en nanotechnologies nous laisse envisager l’émergence d’un homme hightech avec tous les problèmes éthiques inhérents à l’intelligence artificielle.
La deuxième philosophique, le lebenswelt,
La troisième est évolutive et neurobiologique.
Elle bénéficie des nouvelles technologies scientifiques et de l’apprentissage de plus en plus perfectionné que l’on a du cerveau à travers l’imagerie médicale cérébrale qui a permis de découvrir les formidables possibilités d’adaptations du cerveau à travers ce que l’on nomme sa plasticité et les interconnexions mentales que l’on commence à percevoir en IRMf depuis la découverte des neurones-miroirs.
La mécanique quantique, avec ses principes d’intrication et de délocalité,
acquiert des implications d’une telle portée concernant l’histoire de l’humanité, qu’elle pourrait nous obliger à reconsidérer dans leurs certitudes les interrogations métaphysiques les plus traditionnelles.
Et notamment la possibilité d’un stockage mémoriel
au sein de toute cellule sur le même principe que l’ADN et son information génétique. Chaque cellule et à fortiori les neurones seraient porteurs de toute la mémoire de l’humanité (archaïque), de la mémoire ancestrale, de la mémoire familiale et de la mémoire du vécu personnel… Ceci expliquerait les impressions de déjà-vu, de déjà-vécu, et surtout la toute puissance du subconscient qui ferait appel à ces mémoires pour la résolution des troubles émotionnels et psychiques, des guérisons « miraculeuses » etc. etc. et d’autre part, la découverte récente des neurones miroirs,si les grands espoirs qu’ils ont soulevés se révélaient exacts, ouvrirait la porte à un paradigme immense sur la conscience, le subconscient et les mémoires archaïques, ancestrales, familiales etc.